TI Tchiè- chez nous

TI Tchiè- chez nous On vous fera voyager de vos téléphones à Ti TCHIÈ ( chez nous ).
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Bienvenue chez nous �� C'est tout un plaisir pour nous d'avoir votre attention�
Notre page, fait la valorisation du septentrion et en particulier de la population otammari.

Coucou la famille 🥰 il y a bien longtempsAlors nous sommes de retour avec de belles informations sur notre culture.Aujou...
01/09/2022

Coucou la famille 🥰 il y a bien longtemps
Alors nous sommes de retour avec de belles informations sur notre culture.
Aujourd'hui nous allons parler de la scarification chez les somba.
La scarification faciale du peuple Otammari est une œuvre d’art d’exception. Elle couvre la totalité du visage et est réalisée avec délicatesse, les traits bien rangés l’un à côté de l’autre avec des techniques traditionnelles, qui se transmettent de génération en génération. L’ensemble des traits est appelé Idouaguè en langue Ditammari.Chez les Bètammaribè, la scarification faciale est un rituel sacré, qui nécessite la bénédiction des dieux et des ancêtres. Cette carte d’identité culturelle qu’on ne retrouve nulle part ailleurs, permet d’identifier le clan ou l’ethnie à laquelle appartient un Otammari. Plus qu’un signe d’appartenance, elle est également un moyen de protection spirituelle.

La scarification faciale se fait au bas âge entre deux et trois ans, parfois plus tôt ou plus t**d. Elle se pratique sans anesthésie et avec un matériel de scarification traditionnelle, appelé Tèpôntè. En milieu Otammari, les scarificateurs s’appellent Bèdouabè.
Certaines familles conscientes de l’authenticité de leur carte d’identité culturelle, décident d’en faire un design architectural et reproduisent textuellement les signes de la scarification faciale sur leurs tatas.
Crédit photo :Lôrskâ Alïne

Bonsoir chez nous🏔 j'espère que, vous allez bienAujourd'hui je me ferai le plaisir de vous parlez de l'histoire et l'ori...
23/07/2022

Bonsoir chez nous🏔 j'espère que, vous allez bien

Aujourd'hui je me ferai le plaisir de vous parlez de l'histoire et l'origine des bètammaribè.
Les bètamaribè ( otammari au singulier) constituent une population d'Afrique de l'ouest vivant dans le massif et la vallée de l'atacora au nord du Bénin et Togo. Ils sont des bâtisseurs expert, de très bons agriculteurs, des chasseurs hors pair, sans oublier la maîtrise dans le domaine de la forgerie, c'est une société s'opposant à toutes formes de domination, d'asservissement et de chefferie. Le peuple otammari est retracé depuis la haute Volta actuel, Burkina Faso, venant de divers horizons, de petits groupes se sont installés dans l'atacora par vagues successives entre le 16 ième et le 18 ième siècle, conservant les traces des sociétés parmi lesquelles ils ont séjourné. Leur langue le gour ( nigero-congolaise parlé au Bénin, au Burkina Faso, en côte d'Ivoire, au Mali, au Niger, au Nigeria, au Ghana, et au Togo) constitue un point d'ancrage, qui connait de légère différences d'un groupe à l'autre, de même que leur cérémonies. Il est donc Hasardeux de soutenir qu'ils constituent un peuple homogène.
On distingue trois grands groupes :
Les bèsoribè, les bètchabè et les bètammaribè.
Peu importe leur groupe d'appartenance tous affirme avoir la même origine > le grand serpent femelle, invisible et sous terrain, qui jadis à Dinaba couva les dont sortirent, les premiers ancêtres les confiés par Kouyié grand Esprit de la lumière et son compagnon Moutan grand Esprit de la terre. Les bètammaribè parvint après des années d'errance à ce nouveau Dinaba qui représente pour eux la vallée de l'atacora, ce lieu devint le le.kur Koutammarikou : là où l'on construit en pétrissant la terre humide. Un nom impliquant un lien puissant avec la terre, à laquelle se réfère tout les rituels, la terre des profondeurs est le domaine des esprits des mort et l'univers des forces souterraines auxquelles les humains doivent leur survie et la nature, la faculté de se régénérer.

Source: les recherches ethnohistorique pionnieres de Paul Mercier ( 1922-1975 )
La Transmission de bouche à oreille des guides locaux et Sages.

Crédit photo :
César Garba, Okpa Victor, black photographie...

Modèle photo :
Assane Kassim, freeda N'dah.

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18/07/2022

Bon soir chez nous.
J'espère que vous allez bien🙏🏼
Moi c'est Wislande Nagnini TRAHINTA je suis somba de Tchapeta, dans la commune de boukombé. Mon peuple est appelé les Bètammaribè (au singulier otammari) ma langue c'est le ditammari. Je suis technicienne en tourisme j'ai choisis le tourisme, parceque c'est une mine de diamant brut à exploiter, tailler et donner de l'éclat.
Ma petite équipe et moi toutes ressortissantes du septentrion, avons constaté que notre peuple est inconnu, c'est notre devoir, nous la nouvelle graine de nous faire connaître montrer la beauté de notre culture nous valoriser.
À travers cette page, nous souhaitons vous embarquez dans un voyage de vos téléphones à CHEZ NOUS.
Il y aura un peu de tout :
Notre origine,
Notre architecture (très spécial),
Nos cérémonies,
Nos tenues traditionnelles,
Notre art culinaire,
Nos scarifications,
Nos fruits et légumes,
Nos danses, chansons,
Nos divinités etc...

Abonnez vous et invités vos amis sur notre page🙏🏼

À mes frères du nord, c'est une lutte Commune on mérite d'être connu et c'est ensemble qu'on le fera❤️ le coup de pouce doit venir de vous le peuple des montagnes🏔

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