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APERÇU DU PERSONNAGEL’esplanade de l'Amazone sera un point d’attraction et de rencontre. Le monument Amazone renvoie à u...
24/02/2023

APERÇU DU PERSONNAGE
L’esplanade de l'Amazone sera un point d’attraction et de rencontre. Le monument Amazone renvoie à un ancien régiment militaire entièrement féminin qui a existé jusqu'à la fin du XIXe siècledans le royaume de Danxomè.

Il s’agit d’un corps créé sous le règne de Tassi Hangbé (de 1708 à 1711) et dénommé « Agoodjié » ou encore "minons", puis restructuré par le roi Guézo.

*Monument Amazone - Bénin*
Monument Amazone
En l'honneur des guerrières du Bénin d'hier et d'aujourd'hui
*HAUTEUR* :
30 mètres hors socle
*POIDS*:
150 tonnes
*STRUCTURE* :
métallique
*REVÊTEMENT* :
en bronze

*DESCRIPTION*

La zone d’implantation présente un intérêt touristique avec beaucoup d’aménagements. Elle offre des possibilités de détente, d’activité de plein air pour les résidents et visiteurs. Le monument est érigé sur l’esplanade de l’Amazone.

Le personnage est en mouvement avec un pied posé sur un tertre et porte des armes de guerre.

*Les caractéristiques du monument* :

fabriqué en structure métallique ;
avec une enveloppe en bronze ;
une hauteur de 30 m.

*APERÇU DU PERSONNAGE*
L’esplanade de l'Amazone sera un point d’attraction et de rencontre. Le monument Amazone renvoie à un ancien régiment militaire entièrement féminin qui a existé jusqu'à la fin du XIXe siècledans le royaume de Danxomè.

Il s’agit d’un corps créé sous le règne de Tassi Hangbé (de 1708 à 1711) et dénommé « Agoodjié » ou encore "minons", puis restructuré par le roi Guézo.

*SENS ET PORTÉE*
L'Amazone représente :

une force féminine historique qui doit servir de repère aux générations actuelles et futures du Bénin;
un symbole de l’histoire du Bénin et de l’épopée des illustres personnages;
une source de fierté et un élan patriotique auprès de tous les Béninois ;
un intérêt pour la réappropriation du symbole identitaire fort de la femme béninoise ;
une perpétuation dans le contexte national moderne du rôle déterminant de la femme dans la culture et dans l’histoire du peuple béninois ;

Fierté Béninoise ❤️
12/11/2021

Fierté Béninoise ❤️

08/11/2021
Du  mardi 26 jusqu’au 31 octobre) s'ouvre au Musée du quai Branly à Paris l’exposition des 26 pièces du trésor d’Abomey,...
29/10/2021

Du mardi 26 jusqu’au 31 octobre) s'ouvre au Musée du quai Branly à Paris l’exposition des 26 pièces du trésor d’Abomey, avant que ces objets ne repartent début novembre au Bénin, leur pays d’origine. C'est la première importante restitution d’objets de collections publiques à un pays africain.

Le Bénin est un nid de paix, de cultures variées, d'histoire. Allons à la découverte du Bénin. On gagne forcément un plu...
27/10/2021

Le Bénin est un nid de paix, de cultures variées, d'histoire. Allons à la découverte du Bénin. On gagne forcément un plus dans les aventures. Une kyrielle de sites touristiques vous attendent. Des richesses cultuelles par milliers. 😊❤🇧🇯

Fête de l'ignameLa fête de l'igname est une fête traditionnelle saisonnière célébrée à la mi-août de chaque année au Bén...
15/08/2021

Fête de l'igname

La fête de l'igname est une fête traditionnelle saisonnière célébrée à la mi-août de chaque année au Bénin (prinicipalement à Savalou). Elle est devenue aujourd'hui une fête identitaire qui rassemble non seulement des peuples ayant la même expression culinaire et culturelle, mais aussi une occasion de discuter sur les problèmes que rencontre la commune et d’y apporter des solutions.C'est l'occasion pour le roi de Savalou d'autoriser officiellement la consommation des ignames fraîchement moissonnées des champs.

Histoire

Origine et signification
Les origines de la fête de l'igname remontent à la période coloniale. Il s’agissait d’une fête dédiée à vouer un culte aux divinités. Et ceci pour les remercier de l’abondance des moissons venant des champs, dont ils seraient les créateurs. En 1954, cette fête fût réadaptée en une célébration pour rassembler la diaspora de Savalou. À cette occasion, des sacrifices, des prières aux différentes divinités, mais aussi des activités culturelles sont organisés. La fête de l'igname a été instaurée par Tossoh Gbaguidi pour rassembler la diaspora de Savalou.

La célébration de la fête de l'igname a lieu le 15 août de chaque année et se concentre sur l’igname et plus spécifiquement celle appelée « laboco » parce qu’il s’agit de la première variété de tubercules récoltée au cours de la saison. Dès le 14 août de chaque année, des offrandes et des rites traditionnels aux ancêtres sont effectués.

Enjeux

Tourisme et culture

Cette réjouissance constitue une reconnaissance de tous les représentants de la commune de Savalou et de la culture Mahi, aux dieux pour leur assistance, leur protection et surtout pour les bonnes récoltes des tubercules d’igname. Au-delà de l’aspect religieux, cette réjouissance est l’occasion de discuter des problèmes que rencontre la commune et d’y apporter des solutions. Pour ce faire, chaque année, un thème est choisi et constitue le sujet principal des discussions.

Les chutes ou cascade de Tanougou sont des chutes d'eau situées à Tanougou, un village du département de l'Atacora au No...
09/08/2021

Les chutes ou cascade de Tanougou sont des chutes d'eau situées à Tanougou, un village du département de l'Atacora au Nord-Ouest du Bénin dans la commune de Tanguiéta. Juchées en pleine forêt, les chutes s’écoulent depuis l’Atakora, un massif montagneux qui culmine à 800 m.
L'eau des chutes tombent d’une hauteur de 20 mètres (environ) et sont recueillies dans une cuvette dont la profondeur atteint les 30 mètres. Ces chutes sont les plus connues du pays et des plus visitées parce que situées dans un village qui se trouve en bordure du parc animalier de la Pendjari que visitent les touristes.

😍😍😍😍

TATA SOMBA - BENINLes Tata somba sont un type d’habitation à étage du Nord du Bénin. « Somba » est un nom que les frança...
07/08/2021

TATA SOMBA - BENIN

Les Tata somba sont un type d’habitation à étage du Nord du Bénin. « Somba » est un nom que les français de l’époque coloniale ont donné aux maisons des peuples Bétiabé, Bétammaribé et Bésorbé
Ces maisons sont situées dans le Nord Ouest du Bénin et elles débordent un peu sur le Togo. Les Somba sont réputés pour leur architecture de qualité. Le nom même des Bétammaribè signifie « les bâtisseurs ». Par contre on a aujourd’hui encore des interrogations concernant l’origine historique de cette habitation. On distingue trois types de Tata Somba, avec au Nord un style dépouillé et à l’Est un style mélangé avec le style Peulh, c’est à l’Ouest que la forme en « château fort » est la plus marquée.

Cette habitation à étage se veut défensive dans une région ou la sécurité des hommes pouvait être compromise. Dans cet habitat, on pouvait stocker de la nourriture, des animaux et des hommes pour s’abriter et résister. Les Tata Somba tournent toujours le dos à l’Est pour laisser la porte d’entrée sur l’Ouest. Il semblerait que l’Est soit considéré comme une menace.

Bien sur la taille de la Tata Somba dépend du statut social de l’occupant et du nombre de personnes dans la maison. La construction se fait en malaxant de la terre, du ciment et de l’eau. Le torchis, intégrant des morceaux de paille, ne se retrouvent que dans les étages. Certaines habitations peuvent comporter plusieurs étages et dans ce cas un système ingénieux de circulation de l’air est prévu par des cheminées. La cuisine dispose de sa propre sortie d’évacuation, souvent au centre de la maison, loin des accès vers l’extérieur. La Tata Somba est d’ailleurs largement fermée puisque les ouvertures sont limitées pour garantir la sécurité au mieux. Les toitures sont tressées en fibre de mil et en paille. C’est en dernier qu’une couche d’argile et de bouse de vache sera mise sur la maison, pour garantir l’imperméabilité.

Aujourd’hui les Tata Somba sont entretenus pour garantir le patrimoine du bénin mais ces maisons sont fragiles et demandent beaucoup de travail de rénovation.

KÉTOU, Berceau du Guèlèdè, patrimoine culturel immatériel de l'Humanité.Dans l’extrême nord du département du Plateau, a...
05/08/2021

KÉTOU, Berceau du Guèlèdè, patrimoine culturel immatériel de l'Humanité.

Dans l’extrême nord du département du Plateau, au sud- est du Bénin, à proximité de la frontière avec le Nigeria, la Commune de Kétou passe pour terre où domine le sacré car disposant d’un patrimoine culturel riche et varié. Berceau du Guèlèdè, une déité à laquelle on voue un culte à travers des manifestations faites de chants et danses, Kétou a la particularité de disposer de la seule société secrète de masques connue dirigée par les femmes des communautés Yoruba et Nago. L’adage « Oju to ba ri Gèlèdè ti dé okpin iran » autrement dit « les yeux qui ont vu le Guèlèdè ont vu le spectacle ultime » témoigne de toute la richesse de ce masque sacré qui est inscrit par l’Unesco sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité depuis 2008.

La Commune de Kétou, outre les masques Guèlèdè qui représentent les figures d’animaux, c’est également la terre de prédilections de plusieurs autres cultes comme les Egungun ( culte dédié aux morts) et le Oro ( culte de purification de la cité).

Située à 138 km de Cotonou et étalée sur une superficie de 1755 km2, soit 54,38% du département du Plateau, La Commune de Kétou, dirigée par Lucie Ablawa Sessinou, est limitée au Nord par la Commune de Savè, au Sud par la Commune de Pobè, à l’Ouest par les Communes de Ouinhi et de Zangnanado et à l’Est par le Nigeria. Elle est divisée en six (06) arrondissements à savoir : Adakplamè, Idigny, Kétou, Kpankou, Odomèta, et Okpomèta qui font en tout 28 villages et 10 quartiers de ville. La population est estimée à plus de 160 000 habitants.

Les origines Yoruba de Kétou remontent à la cité mythique d’Ilé-Ifè dans l’actuel Nigeria et à son fondateur Oduduwa. L’histoire raconte qu’à sa mort, Oduduwa a laissé sept princes et princesses, ancêtres des différents groupes constituant le peuple Yoruba. Parmi eux, le deuxième enfant, une princesse, devint la mère d’Alaketu, ancêtre du peuple Kétou. D’après la tradi

ADBT- 🇧🇯 A la Découverte du Bénin Tourisme - Ensemble, découvrons le Bénin 🇧🇯1 - Histoire de Béhanzin [ Partie 2 ]      ...
04/08/2021

ADBT- 🇧🇯 A la Découverte du Bénin Tourisme - Ensemble, découvrons le Bénin 🇧🇯

1 - Histoire de Béhanzin [ Partie 2 ]



Le conflit prend fin le 15 janvier 1894, lorsque le roi Béhanzin signe sa reddition, après des cérémonies rituelles et un fameux discours d'adieu.
Il se rend au capitaine Privé, qui le conduit au général Dodds, à Goho. Le traité du 29 janvier 1894 marque la fin du conflit ; son article 6 interdit la traite des esclaves au Dahomey, ainsi que les sacrifices humains.

Déchu, il se soumet de son plein gré à la condition de pouvoir se rendre en France pour rencontrer le président Sadi Carnot, qu'il considère comme le « roi des Français », afin de trouver un accord concernant son pays ; il est capturé et aucune rencontre avec le président n'est organisée.

Conduit du poste de Goho à Cotonou, le roi Béhanzin connaît l'exil politique ; il ne reviendra pas au Dahomey.

Sa résistance, son astuce, le dégoût qu'il suscite par ses pratiques de l'esclavage et des sacrifices humains, les mystères entourant ses pouvoirs magiques, l'exotisme du Dahomey, auront donné une abondante matière aux gazettes et aux journaux français, de 1890 à 1894.

Le 30 mars 1894, Béhanzin est déporté par les autorités coloniales dans l'île de la Martinique. Avec sa famille et sa suite, il réside au Fort Tartenson puis dans une résidence surveillée sur les hauteurs de Fort De France. Malade et affaibli, il quitte la Martinique en 1906 après d'incessantes demandes pour rejoindre sa terre natale, toutes refusées puisqu'il est déplacé en Algérie alors française.

Le gouvernement français ne voudra jamais que l'ex-roi puisse regagner son pays où son souvenir parait sans doute trop présent. Après avoir résidé sous surveillance dans la ville de Blida, sa santé se dégradant, il est transporté à Alger où il décède d'une maladie pulmonaire le 10 décembre de l'année 1906.

Sa dépouille retrouve le sol ancestral en 1928, à la suite des démarches de son fils Ouanilo (ou Wanilo) : il est solennellement inhumé à Djimé, le 9 mars 1928

Pour déterminer le lieu de l'exil de Béhanzin, Dodds (d'origine en partie sénégalaise) hésite entre le Sénégal et le Gabon. Le gouverneur Ballot, né à Fort-de-France, suggère la Martinique, proposition soudaine qui emporte la décision. Sans doute pour la proximité de son climat avec celui du Dahomey.

La cour d'exil est composée de quelques membres de sa famille et d’alliés restés fidèles : quatre de ses épouses (Etiomi, Sénocom, Ménousoué et Dononcoué), ses trois filles (Mécougnon, Kpotassi et Abopanou) et son jeune fils Ouanilo.

À leurs côtés, un parent jouant le rôle de secrétaire : Adandédjan, ainsi qu’un interprète prénommé Pierre Fanon, accompagné de son épouse falégué.

Sous escorte du capitaine Privé, le roi déchu et sa cour embarquent à Cotonou, le 11 février 1894, à bord du croiseur Le Second. Ils font escale à Dakar. Puis débarquent en Martinique le 30 mars 1894, reçus par le gouverneur Delphino Moracchini. Les Martiniquais, curieux, viennent nombreux accueillir le roi déchu.

Tout d’abord, ils logent au Fort Tartenson, dans un modeste bâtiment, transformé en plusieurs petits appartements. Surveillés, ils sont libres de leurs mouvements. Béhanzin bénéficie d’une domesticité réduite composée d’une cuisinière et de deux servantes. Dès son arrivée, Béhanzin privilégie l’éducation de son fils Ouanilo, qu’il inscrit chez les Frères de l'instruction chrétienne de Ploërmel à Fort-de-France, puis au lycée de Saint-Pierre.

Après quelques semaines de célébrité, entretenue par les journaux de l’époque (La Défense coloniale, Le Réveil), Béhanzin est bien vite oublié par la population.

Il participe à des manifestations, des réceptions ou se promène dans l’île. Ainsi le 25 avril 1894, il reçoit l’élite de la Martinique. En octobre de la même année, il est invité à bord de la frégate Le Duquesne de passage aux Antilles. Le 3 juillet 1894, il assiste, à la Cathédrale Saint-Louis de Fort-de-France, à la cérémonie religieuse en hommage au président Sadi Carnot assassiné par l’anarchiste Caserio.

Le 21 août 1895, il assiste à la cérémonie de consécration des cloches de la cathédrale de Fort-de-France.
Le budget attribué pour les dépenses d'installation et d’entretien courant de sa cour, jugé excessif diminue. Ses frais sont payés par les autorités coloniales du Dahomey, le gouverneur Victor Ballot les réduit de 27 000 francs par an à 18 000 francs.

Béhanzin et sa famille sont transférés dans une villa : la Villa des Bosquets, située au-dessus de l’hôpital civil, à un bon kilomètre de Fort-de-France.

Loin des siens et de son royaume, Béhanzin continue, sans relâche, à relancer le gouvernement français pour retourner dans son pays natal.

Tous les six mois, il adresse une lettre au président de la République, dans laquelle il réitère son vœu de revoir sa terre. Il va même jusqu’à se montrer coopératif et conciliant en affirmant son attachement à la France.

En 1897, il licencie son interprète Fanon et sa femme, renvoyés au Dahomey. Durant son exil, sa petite famille s’agrandit : sa fille Abopanou donne naissance, en 1901, à un garçon prénommé Frédéric, fruit d'une relation incestueuse avec son jeune frère, Ouanilo.

Quelques mois plus t**d, l'une de ses épouses, Mécougnon, accouche d’un garçon nommé Gabriel.

En 1905, Abopanou accouche d’un deuxième enfant, une fille prénommée Andréa, née de l'officier Louis Souffleur.

À la mort de son secrétaire, en 1899, son fils Ouanilo lui succède, devenant le secrétaire particulier et l'interprète de son père, car il maîtrise parfaitement la langue française.

ALLADA, la cité d'Adjahouto, des origines à la modernité.La Commune d'Allada, ville stratégique au cœur du département d...
03/08/2021

ALLADA, la cité d'Adjahouto, des origines à la modernité.

La Commune d'Allada, ville stratégique au cœur du département de l’Atlantique, couvre une superficie de 381 km2. Escale prisée des voyageurs sur la route du Centre et du Nord Benin, elle est limitée au Nord par la Commune de Toffo, au Sud par la Commune de Tori-Bossito, à l'Est par la Commune de Zè; à l'Ouest par les Communes de Kpomassè et de Bopa. Elle compte 12 arrondissements que sont : Agbanou, Ahouannonzoun, Allada, Attogon, Avakpa, Ayou, Hinvi, Lissègazoun, Lon-Agonmey, Sékou, Togoudo, Tokpo-Avagoudo, pour un décompte de 84 villages et quartiers de ville. Elle est dirigée par le Maire Joseph Cakpo.

La Commune d’Allada est aujourd’hui une cité historique et religieuse qui possède de nombreux temples et sanctuaires vodoun. C’est le berceau par excellence de l’ethnie fon venue de Adja.
Allada perpétue la tradition commune aux royaumes du Danxomè et de Hogbonou, issus d’un même clan au départ. Elle est considérée aussi comme la capitale du Vodoun.

La création du Royaume d’Allada a fait l’objet de nombreuses publications historiques. Et à la mémoire collective de retenir que tout serait parti de Tâdo, plus précisément de l’exode de Kokpon et des siens.

Un jour, alors qu'il était sur le trône, il fût victime d'un complot qui entraîna son expulsion du royaume et qui faillit lui coûter la vie. De retour dans son royaume, il punit le frère qui lui ravit son trône et cassa la calebasse symbolique (ADJAKA) dans laquelle buvaient les rois pour qu'aucun roi ne bût plus jamais dans ce récipient.
Son forfait accompli, il quitta Tadô avec sa famille et ses partisans. Après une longue marche, il s'arrêta dans une région qui retint son attention. Il y fit transplanter un fromager et créa ainsi le village Adanhounsa (berceau de la ville d'Allada) et se surnomma Adohoué-Adjahoutô. Il mourût après quelques années de règne, laissant trois fils, dont l'un succéda à son père. Les deux autres fils s’en allèrent fond

ADBT- 🇧🇯 A la Découverte du Bénin Tourisme - Ensemble, découvrons le Bénin 🇧🇯1 - Histoire de Béhanzin [ Partie 1 ]      ...
02/08/2021

ADBT- 🇧🇯 A la Découverte du Bénin Tourisme - Ensemble, découvrons le Bénin 🇧🇯

1 - Histoire de Béhanzin [ Partie 1 ]

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Béhanzin (Gbêhanzin, Gbèhanzin) ou Gbèhin azi bô ayidjlè Ahossou Gbowelé, né en 1845 et mort en 1906 est un roi d'Abomey.

Fils du roi Da-Da Glèlè Kini-Kini, il est d’abord connu sous le nom d'Ahokponu puis de prince Kondo à partir de 1875. Il est traditionnellement (sans compter Adandozan) le douzième roi d'Abomey. Durant son règne, le royaume du Dahomey est défait, pour constituer la colonie du Dahomey, avec le rattachement de Porto-Novo du roi Toffa, son cousin et son ennemi.

Roi du Dahomey du 6 janvier 1890 au 15 janvier 1894, date de sa reddition, déchu de son trône dès 1892, il décède en exil à Alger le 10 décembre 1906.

Behanzin est considéré comme un héros par nombre de Béninois. C'est un personnage incontournable et populaire de la mémoire collective nationale.

En 1875, le prince Ahokponu est désigné par son père, le roi Da-Da Glélé Kini-Kini, comme héritier du royaume sous le nom de Kondo.

En 1889, le roi Glé-Glé mène des razzias contre les concessions françaises ; il attaque le Porto-Novo, qui a passé une alliance avec les Français.

Le gouverneur Jean-Marie Bayol est retenu à Abomey, le 21 novembre 1889 ; le prince Kondo décide pour son père le roi, devenu incapable. Il conteste le traité conclu le 19 avril 1878, notamment l'attribution des droits de douane de Cotonou à la France.

La délégation française assiste à des cérémonies comportant plus de deux cents sacrifices humains et voit les esclaves du roi.

Le prince Kondo est couronné roi Béhanzin le 6 janvier 1890, après la mort de son père le 28 décembre 1889, au terme de près de quarante années de règne, son demi-frère Ahanhanzo, héritier direct du trône, étant mort mystérieusement. Son couronnement est notamment marqué par des sacrifices humains.

Le prince Kondo gouverne en se choisissant le nom de Béhanzin.

C'est un roi de quarante-cinq ans, qui baigne dans les conflits depuis son enfance. Les troupiers français le surnomment « Bec en zinc ».

Le 19 février 1890, les troupes françaises débarquent à Cotonou. Elles sont insuffisantes pour contenir l'armée royale ; la France tergiverse. Terrillon, chef militaire, et Bayol, gouverneur, entretiennent une forte mésentente. Les forces françaises sont en échec.

Le roi Béhanzin combat les Français, eux-mêmes un temps en rivalité sur place avec les Allemands et les Portugais. Les attaques sont incessantes. Du 23 février au 5 mai 1890, Béhanzin prend des Français en otages, dont le père Alexandre Dorgère, négociateur entre lui et le pouvoir français ; il les détient à Abomey.
En mars 1890, Béhanzin échoue à reprendre Cotonou.

Le 18 avril 1890, Terrillon conduit une bataille victorieuse, à Atioupa (ou Atchoupa). La saison des pluies, ainsi que les maladies, figent les opérations militaires jusqu'à l'automne.

Passant par Lagos, les renforts militaires du colonel Dodds arrivent à Porto-Novo le 5 août 1890.

Le 3 octobre 1890, la France installe un protectorat sur le Dahomey. En contrepartie, elle verse une rente annuelle de 20 000 francs au roi Béhanzin
L'attribution des droits de douane revenant au roi par les Français entretient les tensions.
Cette perte de revenus motive les hostilités.
Béhanzin prépare la guerre en se procurant une forte livraison de fusils modernes et de balles, et même de canons, auprès des Allemands, en échange d'esclaves également désignés comme « travailleurs ».

Le roi est particulièrement actif pour équiper sa troupe d'armes récentes et puissantes. Il s'adjoint même les services de conseillers militaires, Belges et Allemands.
Les escarmouches sont incessantes. Le 27 mars 1892, les troupes fons, incluant les redoutables amazones du Dahomey attaquent un navire de guerre français. La guerre contre les troupes françaises commandées par le colonel, bientôt général Alfred Dodds débute en 1892.

Le 19 septembre 1892, les Français sont vainqueurs à la bataille de Dogba.

Le 4 novembre 1892, Alfred Dodds a vaincu l'armée du roi Béhanzin ; le palais royal d'Abomey est pris, incendié par Béhanzin, lequel a pris la fuite, sans remettre les armes aux Français. Les Français découvrent les crânes humains décorant le palais.

Béhanzin est grand amateur de vins français : sa cave fait le bonheur des troupes qui occupent son palais.

Le 6 novembre 1892, après la chute de la ville royale sainte de Cana, Dodds reçoit ses étoiles de général. Dans un communiqué de décembre 1892, Dodds salue « le courage et l'énergie » de Béhanzin.

Réfugié à Atchérigbé, le roi déchu Béhanzin organise un astucieux système d'espionnage et de détection des mouvements français, qui lui permet d'échapper sans cesse aux expéditions lancées à sa recherche.

La résistance de Béhanzin serait appuyée de pouvoirs magiques : il aurait emporté l'amulette du Dahomey, un bétyle

A demain pour la suite ....

Source : Wikipédia

HistoireAux origines, la terre de l’actuel Bénin était occupée par plusieurs royaumes. Les plus en vue s’appelaient Danh...
01/08/2021

Histoire
Aux origines, la terre de l’actuel Bénin était occupée par plusieurs royaumes. Les plus en vue s’appelaient Danhomé (Abomey), Xogbonou (Porto-Novo), Allada, Nikki, Kouandé, Kandi… .

Les premiers souverains d’Abomey et de Porto-Novo sont issus de la migration Adja-Fon, venue du Togo voisin (Tado). Les autres peuples proviennent de l’actuel Nigéria, Niger ou Burkina-Faso. Ainsi, le pays était jadis un foyer de civilisations anciennes et brillantes, bâties autour de ces royaumes : des cités-États.

Ces entités politiques, bien structurées, étaient pourvues de centres urbains fonctionnels. Elles avaient développé un commerce local, basé dès le XVIIe siècle sur la traite des esclaves, puis sur celle du palmier à huile après l’abolition du commerce négrier en 1807.

Cette économie de traite a favorisé l’installation, le long de la côte (surnommée « Côte des esclaves »), de comptoirs commerciaux contrôlés par les Anglais, les Danois, les Portugais et quelques Français. En 1704, la France est autorisée à construire un port à Ouidah tandis qu’en 1752, les Portugais découvraient Porto-Novo.

En 1863, le premier protectorat français est établi avec le roi Toffa de Porto-Novo qui recherche de l’aide face aux prétentions du roi d’Abomey et attaques des Anglais implantés à Lagos. La même année, Glèlè, roi d’Abomey, autorise les Français à s’établir à Cotonou. En 1882, le souverain du royaume de Porto-Novo signe un nouvel accord de protectorat avec la France qui envoie un « résident français » chargé d’assister le roi.

En 1894, les Français, vainqueurs des rois locaux, ont créé la colonie du Dahomey et dépendances. Le territoire prend le nom du royaume le plus prépondérant et le plus résistant à l’occupation étrangère : Danhomé avec son légendaire roi Béhanzin.

Proclamé République le 4 décembre 1958, le Bénin a accédé à la souveraineté internationale le 1er août 1960, sous le nom du Dahomey. Le pays est connu pour « l’exemplarité » de son processus démocratique entamé en février 1990, suite à la Conférence nationale des forces vives. Depuis lors, plusieurs élections présidentielles, législatives et locales ont sanctionné la dévolution du pouvoir politique. En quinze ans, le libéralisme politique a généré trois alternances au faîte deu l’État.

Il a connu véritablement deux vagues de démocratisation, couronnées d’élections dont sont issus les gouvernants. La première remonte à l’aube de l’indépendance avec les élections générales de décembre 1960. Cette période reste marquée par l’inachèvement du mandat du président de la République, balayé par un coup d’État militaire en 1963. En outre, la vie politique souffrait du monolithisme, car très rapidement le nouveau président a inspiré la fusion des partis politiques en un seul officiel : le Parti Dahoméen de l’Unité (PDU). La deuxième vague de démocratisation est en cours depuis février 1990. Sa spécificité est qu’elle s’inscrit dans la durée et permet une stabilité des institutions démocratiques.

Plus globalement, l’histoire politique contemporaine du pays peut être séquencée en trois temps majeurs : le temps de l’instabilité politique, le temps militaro-marxiste, et le temps du Renouveau démocratique.

Le temps de l’instabilité politique marqua les douze premières années de l’indépendance. Une série de coups d’État se suivaient jusqu’en 1970, valant au pays le nom « d’enfant malade de l’Afrique ». L’acte fondateur de cette instabilité est le putsch du colonel Christophe Soglo qui renversa le 28 octobre 1963 Hubert MAGA, le père de l’indépendance, démocratiquement élu.

En effet, avec la nouvelle Constitution adoptée en novembre 1960, les élections générales, tenues le 11 décembre suivant, ont consacré le maintien d’Hubert Maga au pouvoir. Mais profitant des troubles sociaux dans le pays, l’armée prit le pouvoir en 1963. Trois mois après, la gestion du pays fut confiée à un gouvernement civil.

Sourou Migan Apithy devint président de la République et Justin Ahomadégbé son Premier Ministre et vice-président. Une nouvelle Constitution fut adoptée par référendum le 5 janvier 1964. Mais ces deux dirigeants du gouvernement n’arrivaient pas à accorder leurs violons. Le 1er décembre 1965, l’armée les força à démissionner. Pour autant, les civils conservaient le pouvoir. Il échut au président de l’Assemblée nationale, Taïrou Congacou. Peu satisfait de sa gouvernance, Christophe Soglo, devenu général, propulsa à nouveau l’armée au devant de la scène.

Le 22 décembre 1965, il se proclama président de la République de facto. Il fut renversé à son tour par les jeunes officiers militaires le 17 décembre 1967. Le Commandant Maurice Kouandété, cerveau du coup d’État, confia trois jours après les destinées du pays au chef de l’Armée, le lieutenant-colonel Alphonse Alley.

En mai 1968, des élections présidentielles sont organisées par les officiers afin de remettre à nouveau le sceptre du Dahomey à une autorité civile. Cependant, les trois leaders politiques traditionnels du pays qu’étaient Hubert Maga, Sourou Migan Apithy et Justin Ahomadégbé ne sont pas autorisés à se présenter. Ils appelaient alors au boycott de ces élections.

En leur absence, un inconnu fut porté par le peuple. Seulement, le candidat élu, le docteur Basile Adjou Moumouni donnait du grain à moudre aux militaires. Fonctionnaire international de l’Organisation mondiale de la Santé en poste à Brazzaville, le chef de l’État élu n’était pas du sérail politique et ne rassurait pas les militaires. Ces derniers nourrissaient certainement des inquiétudes quant au maintien de leurs privilèges.

Ce faisant, les militaires prétextaient de la faible participation pour annuler le résultat de ces élections. Dans la foulée, face aux pressions, le 17 juillet 1968, ils installèrent un civil de rechange à la Présidence : Émile Derlin Zinsou.

Le nouveau chef de l’État, ancien élu à l’Assemblée de l’Union française, était en réalité le quatrième ténor politique du pays. Habitué de la vie politique dahoméenne, il faisait le consensus au sein du Comité Militaire Révolutionnaire (CMR).

Les vieux démons habitant toujours l’Armée, elle s’invitait à nouveau sous les feux de la rampe. Le colonel Maurice Kouandété éjecta Emile Zinsou du pouvoir le 12 décembre 1969. Comme à son habitude, il ne dirigea pas le pays. Il en confia la gestion à un autre officier, le lieutenant-colonel Paul Emile de Souza. Les militaires s’engagèrent en mai 1970 à quitter la tête de l’Exécutif. Pour conjurer le sort de l’instabilité, une nouvelle formule fut trouvée : une présidence tournante fut instaurée. Elle consistait en la formation d’un gouvernement dirigé à tour de rôle par les trois principaux acteurs politiques civils : Maga, Apithy et Ahomadégbé.

Les trois leaders politiques du pays, solidement ancrés électoralement à une région, devraient se succéder à la magistrature suprême tous les deux ans. À la fin du mandat d’Hubert Maga en mai 1972, Justin Ahomadégbé prit le relais. Mais la formule ne fit pas longtemps recette. Le 26 octobre 1972, l’Armée s’empara à nouveau du pouvoir, avec le chef de Bataillon Mathieu Kérékou. Il balaya ce triumvirat, raillé comme un « monstre à trois têtes ». C’est le début du deuxième temps politique fort du pays.

Le deuxième temps, militaro-marxiste, s’étale de cette prise de pouvoir à la Conférence nationale de février 1990. En 1975, le gouvernement militaire opéra des choix stratégiques et idéologiques décisifs. La République du Dahomey est rebaptisée République populaire du Bénin. Elle proclama son adhésion à l’économie socialiste d’orientation marxiste-léniniste. Le pays fut drapé d’une chape dictatoriale. Plusieurs opposants sont assassinés, torturés et exilés. À partir du milieu des années 1980, le pouvoir est acculé par une conjoncture économique sans précédent et qui dérive d’une série de facteurs : la morosité internationale, la gabegie, la concussion, et l’impéritie.

En banqueroute, l’État cessa de payer les salaires. Face à cette situation nourrie par les idéologues du Parti communiste du Dahomey, la rue gronda par des manifestations protestataires. Désarmée, la junte militaro-marxiste se résigna à opérer des réformes politiques, économiques, et sociales. Le 06 décembre 1989, elle abandonna le socialisme comme orientation idéologique de l’État et convoqua une Conférence nationale. De plus, les condamnés politiques furent amnistiés et pouvaient rentrer pour participer à ces « États généraux » annoncés pour le mois de février.

Le temps du Renouveau démocratique, consacré par cette grand-messe des forces vives de la Nation, est toujours en cours. Du 19 au 28 février 1990, la Conférence nationale réunit plus d’un demi millier de délégués des différentes composantes du pays à l’hôtel PLM Alédjo sous la présidence de Monseigneur Isidore de Souza.

Deux principales décisions en sont issues. La première instaura le libéralisme économique et politique, la démocratie et l’État de droit. La deuxième nomma un Premier ministre pour seconder le général Mathieu Kérékou maintenu à la présidence, mais vidé de l’essentiel de ses prérogatives. Un vent de renouveau démocratique enveloppa le Bénin.

Le Premier ministre nommé par la Conférence nationale, Nicéphore Soglo, administrateur de la Banque mondiale, est chargé de conduire le gouvernement de la période transitoire. Ce gouvernement a pour mission de mettre en œuvre les principales mesures devant conduire à l’adoption d’une nouvelle Constitution et à l’organisation des élections générales. Contrairement aux autres expériences transitoires des pays de la sous-région, les deux acteurs principaux de cette période, le président Mathieu Kérékou et le Premier ministre Nicéphore Soglo, ont su jouer loyalement leur partition et accorder leurs violons pendant les douze mois de sa durée.

Le 11 décembre 1990, une nouvelle loi fondamentale, celle de la Ve République, fut promulguée après son adoption par voie référendaire. Elle reflète bien les décisions de la Conférence nationale. Elle a pour trame la démocratie et l’État de droit. Elle opte pour un régime républicain présidentiel avec séparation des trois pouvoirs : l’exécutif, le législatif, et le judiciaire.

Trois mois plus t**d, les élections législatives et présidentielles sanctionnent la fin de la période de transition. La nouvelle Assemblée nationale, monocamérale, est élue pour quatre ans. Elle est présidée par Maître Adrien Houngbédji, avocat et ancien exilé politique.

Au deuxième tour des présidentielles, Nicéphore Soglo triomphe de Mathieu Kérékou. Mais en 1996, il dut céder son fauteuil présidentiel à Mathieu Kérékou au terme des élections présidentielles. Cinq ans plus t**d, les Béninois accordent à nouveau leur confiance au général Mathieu Kérékou.

En 2006, en l’absence de Mathieu Kérékou et de Nicéphore Soglo, le jeu politique devient plus ouvert. Le premier tour des élections s’est tenu le 5 mars 2006. Vingt six candidats briguaient la magistrature suprême : des habitués et de nouveaux venus. Parmi eux, Adrien Houngbédji et Bruno Amoussou, tous deux anciens ministres de Kérékou et anciens présidents de l’Assemblée nationale. Contre toute attente, c’est Boni Yayi, dépeint par ses adversaires comme l’émanation d’ « une génération spontanée en politique », qui ravit la vedette à ces derniers. Il emporta la décision finale avec plus de 75% des suffrages exprimés. L’année suivante, ses partisans réunis au sein des Forces Cauris pour un Bénin Emergeant (FCBE) gagnèrent les législatives. Dans la foulée, le président de l’Assemblée nationale élu Mathurin Nago est issu de ce mouvement.

Deux principaux acteurs émergent alors au sein de la classe politique béninoise : le président de la République Boni Yayi et son challenger du second tour, Adrien Houngbédji, qui fait office de « principal opposant » au pouvoir.

En 2011, Boni Yayi est réélu pour un nouveau mandat de cinq ans à la Présidence de la République, et ce dès le premier tour des élections présidentielles.

En mars 2016, le peuple béninois porte son choix sur le président Patrice TALON à l’issue du 2ème tour de la présidentielle. Le 06 avril 2016, le président Patrice TALON prête serment et prend les rênes du pouvoir.

Source : Le Bénin révélé
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