MelodieRiver

MelodieRiver Tourisme en Amazonie
Melodie River est un bateau confortable, tout en bois, pour aller à la rencontre des communautés et de la nature amazonienne.

C'est l'histoire de la construction du bateau Mélodie River en Amazonie puis, lorsque le bateau sera fini de nos aventures avec les touristes sur les rio Beni, Madre de Dios et Horton. La première étape raconte les aventures de Bruno et François pour la construction de la coque par une communauté située pas très loin du Pérou sur le Rio Madre de Dios à quatre jours de bateau de Riberalta.

C' est une petite ville super propre, où les gens sont à la fois très calmes et très sympas, avec un bord de rio aménagé...
27/04/2015

C' est une petite ville super propre, où les gens sont à la fois très calmes et très sympas, avec un bord de rio aménagé où l'on trouve des petits restos de plein air (le poisson y est délicieux) et même une piscine toute neuve !

Le mois dernier, je suis allé à Riberalta, puis on a pris la moto pour aller à San Roque voir comment la construction de...
27/04/2015

Le mois dernier, je suis allé à Riberalta, puis on a pris la moto pour aller à San Roque voir comment la construction de la coque avance. Nous nous sommes d'abord perdus en plein Beni puis nous avons du faire demi-tour : trop de boue pour notre pauvre petite moto.
Vous trouverez ci-dessous quelques photos de cette expédition.
Nous devrions recevoir la coque fin-mai et les travaux techniques (installation du moteur, boite marine, les 6 réservoirs de fuel et d'eau, les pompes, etc.) vont pouvoir commencer....

19/02/2015

Me voici de retour à la Paz après pas loin de 2 mois d'absence. Je viens de passer les 4 jours de carnaval : c'était un peu la folie à la Paz. Je pars, je pense ce lundi en Amazonie rejoindre Bruno, puis nous allons voyager jusqu'à San Roque pour voir où en est la coque. Juan nous a dit que nous ne l'aurions pas avant avril ce qui ne nous arrange pas franchement, vu le boulot que l'on a à faire dessus avant la fin de l'année. Je pense que toutes les personnes de la communauté sont occupées à chercher des noix du Brésil dans la forêt. Je sais que c'est leur activité économique principale qui va leur procurer un peu de cash pour un an mais bon... Enfin, nous allons voir ça sur place. J'ai un nouvel appareil photo. J'espère que je ne perdrai pas celui là et que je pourrais vous proposer quelques photos.
A suivre...

19/12/2014

J'ai eu Bruno au téléphone, il y a 2 ou 3 jours. Il a a eu des nouvelles d'une façon assez bizarre : il a vu arriver à Riberalta Juan (le monsieur de la communauté de San Roque qui nous construit la coque), dans un état proche de l'agonie : moitié inconscient, 40 de fièvre et des furoncles infectés partout sur le corps (septicémie ?). Il s'en est occupé avec notre ami médecin Denis. Et apparemment très bien puisque Juan est reparti une semaine après pour San Roque. Il a quand même eu le temps de nous dire que, enfin, ils travaillaient à la construction de la coque. Donc, on a des chances de l'avoir pour début février.
Par ailleurs, le malheureux Bruno s'est cassé une côte en grimpant dans un arbre pour aller chercher un paresseux (aï) qui s'était égaré en plein Riberalta. Il l'a sauvé quand même.
De mon coté, vous trouverez de mes nouvelles ici : https://www.facebook.com/pages/Club-de-P%C3%A9tanque-Association-de-Solidarit%C3%A9-Francaise/1442505062633093
Je vais partir pour un mois et demi à la Réunion et l'Ile Maurice. Joyeux Noël et bonne année 2015 à toutes et à tous !

L’ Association de Solidarité Française (A.S.F.) est née officiellement le 14 janvier 2005. Le C

24/11/2014

Arrivé à Riberalta, il faut faire monter la "cola" et son l'hélice sur le moteur : 3 jours d'attente pendant lesquels nous préparons le voyage : achats de bidons pour l'essence, bâche, hamacs, moustiquaires, bidons d'eau, outils, huile, etc. Une fois le moteur récupéré, il pèse plus de 60 kg ! quasi impossible de le porter à deux...Une fois ce moteur en place sur le bateau, nous pouvons immatriculer le tout. Bon, vient le moment émouvant où nous allons pouvoir le démarrer pour la première fois. Et là...patatras. Il refuse de démarrer. Au bout de 2 heures, on y parvient enfin. Un petit tour, et il s'arrête en plein milieu du rio, heureusement un autre bateau nous prend en remorque pour nous ramener parce qu'avec le courant, nous étions partis pour le Brésil !
Nous allons passer 5 jours à ré-éditer cet épisode, en fait à chaque fois qu'un "spécialiste" nous le "répare"... Le découragement nous gagne, nous qui avions acheté un moteur neuf pour éviter d'avoir des problèmes...
Enfin, il y en a un qui nous démonte le carbu et qui nous le répare avec un joint minuscule récupéré dans un briquet jetable !
On va pouvoir faire le sarpé : l'essence est subventionné par l'état en Bolivie, le litre est autour de 40 centimes d'Euro le litre et bien sûr, il y a un maximum de trafic avec le Pérou et le Brésil où l'essence est beaucoup plus chère. Encore 2 jours pour faire les papiers et enfin nous pouvons partir.
Nous naviguons environ 3 heures et nous nous arrêtons sur une plage. Bruno se tente à la pêche (sans trop de succès), nous préparons notre feu, nous installons les hamacs dans le bateau, nous mangeons et hop au lit, il doit être 8 heures du soir et la nuit est tombée depuis 1h30. C'est cool tout va bien.
Le lendemain matin, le rio a baissé et on est complètement planté sur le sable. C'est la première fois d'une jolie série, la navigation, c'est physique !
Au bout d'une demi-heure d'efforts, nous sommes dégagés mais entre temps il s'est mis à pleuvoir très fort et on y voit plus rien. Nous allons passer 4 heures à attendre, assis face à face dans le bateau le temps que cela passe.
En tout, nous mettrons 5 jours à arriver à la communauté de San Roque. C'est très beau, mais nous ne voyons pas beaucoup d'animaux : ils sont dans la forêt qui nous entoure sur des km et des km, et ne se montrent pas trop sauf la nuit pour aller boire (on voit plein de traces sur les bords).
L’accueil dans la communauté est très sympathique. Le lendemain de notre arrivée, nous partons à la pêche avec des enfants et ados du village. Nous nous retrouvons à une petite vingtaine dans le bateau. Nous allons dans un bras mort du Madre de Dios, et pour le rejoindre, nous devons traverser la forêt pendant une bonne 1/2 heure. Impressionnant ...
Arrivé au petit étang, il y a deux crocodiles sur un bord. Tout le monde va patauger quand même jusqu'à la ceinture dans un mélange de vase et d'eau. Ils pêchent avec des éperviers. En moins de 2 heures, ils ont du prendre une bonne centaine de kilos de poissons qui seront partagés entre toutes les familles de la communauté. Malheureusement, je me suis fait piqué mon appareil photo dans le bus du retour, donc je ne peux pas vous montrer la moindre photo...
En revanche, en ce qui concerne le projet lui même, ce n'est pas la joie. Juan, à qui nous avons donné 50% du montant total de la coque, s'est immédiatement acheté une maison à Riberalta avec cet argent. Du coup, il ne peut pas payer ceux qui devaient travailler à la construction, qui sont partis travailler ailleurs.
Je vous passe les détails pour les retrouver et les convaincre de revenir (en payant bien sûr).
Ils ont quand même coupé les arbres Itahuba. En fait, pour la coque de 21m x 6,5m, il suffit de 3 arbres.
Le seul problème est qu'ils sont à 10-12 km du village pour le plus proche ! En plus, ils nous ont racontés qu'ils avaient du travailler de nuit à cause des guêpes... Enfin, pour ramener le bois, il va falloir qu'ils construisent une route praticable en 4x4 ! Respect...
Du coup, nous avons été plutôt arrangeants.
Ensuite, ils devraient construire la coque sur une plate-forme à quelques mètres au dessus du Rio et il n'y aura plus qu'à attendre les pluies pour que le niveau du rio monte et pouvoir mettre la coque à l'eau !!!
Ce qui est clair, c'est que nous n'aurons pas la coque avant fin janvier - début février 2015 !
Ce qui, finalement, ne me dérange pas trop car je pars à la Réunion du 20/12 au 31/01.

07/10/2014

Ca y est. J'ai acheté le moteur pour la barque hier avec mon ami Pierrot. Je prends le car demain matin pour l'accompagner (le moteur, pas Pierrot) jusqu'à Riberalta : au moins 36 heures si il ne pleut pas (et ça c'est pas gagné!). Ensuite, demande d'immatriculation du bateau, demande pour acheter au moins 200 litres d'essence (comme il y a du trafic d'essence avec le Brésil, il faut justifier sa consommation auprès de autorités), essai du bateau quand on aura monté une hélice sur le moteur et préparation du voyage. On n'a pas intérêt à oublier les allumettes ou le sel!
Et puis, ce sera le départ pour au moins 8 jours de navigation sur le Rio.
Je vous raconterai tout ça au retour mais je ne pourrais pas vous mettre de photos : nous nous sommes tout fait voler au Pérou il y a 10 jours de retour d'un trek jusqu'au Machu Pichu. Plus de sacs à dos(4), plus de PC, plus d'appareil photo, adieu nos jolis duvets en plumes tout neufs, les chaussures de marche, etc.
Bon, à dans une quinzaine de jours...

Une dernière image avant de compléter l'album Riberalta. Je suis rentré en car (36h). Là, on a éclaté un pneu : 1/4 d'he...
11/09/2014

Une dernière image avant de compléter l'album Riberalta. Je suis rentré en car (36h). Là, on a éclaté un pneu : 1/4 d'heure de pose.

Des poissons...et notre resto de poissons au bord du rio.
11/09/2014

Des poissons...et notre resto de poissons au bord du rio.

Notre bateau, c'est celui qui dépasse. Il y en a un autre petit devant. Voici l'appartement de Bruno. Il est au 1er. C'e...
11/09/2014

Notre bateau, c'est celui qui dépasse. Il y en a un autre petit devant. Voici l'appartement de Bruno. Il est au 1er. C'est ça le style "Alto". Notre Gorrioncillo. Et le vrai. Un bateau de chercheur d'or (il y en a beaucoup sur le rio).

03/09/2014

Ca y est, nous avons acheté un bateau « annexe » ; il fait quand même 13 m ! Nicolas va nous le remettre à neuf et dans un peu plus d’un mois, on embarque pour une dizaine de jours aller / retour sur le rio Madre de Dios jusqu’à la communauté San Roque. Nous devrons assurer au moins 4 jours d’autonomie : de la bouffe, de l’eau, du répulsif à moustique, les hamacs, les moustiquaires, l’essence, l’huile moteur, pièces de rechange, …

29/08/2014

Me voilà à Riberalta après un petit voyage sans problème. Départ mercredi à l’aube de l’aéroport militaire de l’alto pour prendre le petit bimoteur qui va jusqu’à Rurrenabaque. Belle vue sur la cordilière puis le plongeon sur l’Amazonie pour atterrir, 50 mn après le départ, dans le petit aéroport de Rurren en pleine nature. De là, un petit taxi moto pour aller à la gare routière et moins d’une heure après l’atterrissage, je suis dans le bus qui va à Riberalta.
Arrivé à Riberalta vers 8 heures du soir. Bruno vient me chercher avec notre nouvelle moto, la « Gorrioncilla ». Toutes les motos ont un nom ici : le gorrioncilla est un petit oiseau dont tout le monde se moque car il prépare le nid, va chercher à manger, en bref, il se met en 4 pour sa femme… Puis nous allons directement manger au resto avec notre amie Grace qui tient le bar de jus de fruits Asai Mania sur la place centrale. Super soirée.

Petit détail rigolo, Bruno habite dans un appartement dans une maison du pur style Alto.

Le jeudi, nous rencontrons la famille qui va nous construire la coque. Ils ont l’air correct. Nous réglons les derniers détails et convenons de nous voir ce vendredi pour faire le contrat chez un notaire/avocat. Le bateau sera construit à Sena dans le Pando, à 4 jours de pirogue d’ici et 2,5 jours pour revenir avec le courant (ou une journée de bus et 3 heures de moto).
Voilà c’est parti.

En attendant, on va voir pour acheter ou se faire fabriquer une pirogue pour aller reconnaître notre parcours touristique, et surtout en premier lieu, aller voir la construction de notre coque.
Il y a un bateau à vendre à peu près dans nos prix. On va voir Nicolas, un personnage très sympa, moitié rasta, moitié philosophe, qui vit sur un bateau de chercheur d’or sur le rio, pour nous faire un devis pour le remettre à neuf. Ca va, ça a l’air correct. Le seul problème est le moteur qu’il faut acheter neuf et là ça coûte un bras ! Va encore falloir réviser le budget.
Bon on a rendez-vous demain pour négocier un peu.

J’adore Riberalta. C’est une petite ville bien tranquille, peuplé de gens à la fois nonchalants, souriants et ouverts. C’est très propre. La vie y est paisible. Je vais faire quelques photos. Seul problème mais de taille, les connexions internet y sont affreuses : 10 mn pour avoir la mire google… Va falloir se pencher sur ce problème, nous aurons besoin d'avoir une connexion internet valable même sur le bateau...

Images de Melodie River issues du logiciel 3D dont je me suis servi pour faire les plans.
21/08/2014

Images de Melodie River issues du logiciel 3D dont je me suis servi pour faire les plans.

21/08/2014

Je pars la semaine prochaine en Amazonie à Riberalta (c'est dans le nord de la Bolivie vers le Brésil) pour retrouver Bruno, visiter les différents artisans et peut être pouvoir enfin lancer la construction.
Ça fait déjà 5 fois que l'on est prêt à signer et qu'au dernier moment, les prix proposés sont multipliés par 3 ou 4 quand ce n'est pas par 10... Somos gringos...
Bon, il faut avoir le moral.
Je vais me servir de ce site pour vous décrire de temps en temps l'état d'avancement, nos joies et nos peines.
Je vais mettre quelques vues des plans en attendant.
bises à tous
François

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