Le voyageur étonné

Le voyageur étonné Il s'agit donc d'un espace dédié à tous ceux qui désirent écrire quelques lignes, quelques pages plus avec leurs cœurs que leurs plumes.

Enfin un grand livre virtuel pour la RDC, une virée au cœur du Congo profond, sa redécouverte par ses dignes fils et filles, une réécriture au quotidien de son histoire pour la sauvegarde de la mémoire collective. Le voyageur étonné est une page ouverte aux congolais vivant en RDC, ces fils et filles du pays qui découvrent la RDC au quotidien, parlent de ses réalités, touchent son cœur, découvrent

sa diversité et sa richesse à travers les cultures, les endroits, les hommes, la richesse du sol et du sous-sol... ces gens ordinaires qui découvrent des gens extraordinaires, qui croient ferme en ce pays, malgré les adversités, ces personnes qui font vivre leurs villages, leurs villes, ces villes et villages qui nourrissent et des hommes au destin forgé : BÂTIR un pays plus beau qu'avant. Un rendez-vous avez l'histoire, ou donner et recevoir du Congo devient un devoir, une passion, pour un Congo plus beau qu'avant. Nous le devons à nos pères d’indépendance, mais aussi à nos fils et filles, mais encore plus au futures générations....
Participer et écrire sur ce pays, c'est garantir un avenir radieux pour ceux qui viendront après nous....

Partagez votre opinion : êtes-vous pour ou contre la levée du moratoire sur l'exécution de la peine de mort en RDC ?
15/03/2024

Partagez votre opinion : êtes-vous pour ou contre la levée du moratoire sur l'exécution de la peine de mort en RDC ?

🔥 Débat en cours : Pour ou contre la levée du moratoire sur l'exécution de la peine de mort en RDC? 💬Dites-nous ce que v...
15/03/2024

🔥 Débat en cours : Pour ou contre la levée du moratoire sur l'exécution de la peine de mort en RDC? 💬

Dites-nous ce que vous en pensez.

11/03/2024

Le transport aérien en RDC et lacustre ( sur le lac Kivu) doit être réglementé sérieusement. Deux incidents aériens et quatres sur le lac en un mois. Une catastrophe est à nos portes !

Le loisir là je n'ai jamais compris ! On ne devrait pas quitter le loisir dans ce pays ? quel génie m'explique le sens d...
04/02/2024

Le loisir là je n'ai jamais compris ! On ne devrait pas quitter le loisir dans ce pays ? quel génie m'explique le sens de ce loisir ? ( les jeunes s'interrogent )

25/01/2024

Bukavu, masomo ( école secondaire) ina patiyana mugongo n'a bar-nightclub-hotel ( selon ma cherches 5$ prix chambre) bazazi bana juwa Wala abina one ? Exigeons la qualité ! Tu ambie mu commentaire

Oh mon Dieu, la SNCC !Vous venez d'être dotée de navettes rapides pour relier le Sud-Kivu et le Nord-Kivu par le lac Kiv...
14/12/2023

Oh mon Dieu, la SNCC !

Vous venez d'être dotée de navettes rapides pour relier le Sud-Kivu et le Nord-Kivu par le lac Kivu, et vous nous présentez une communication comme ça ?

C'est quoi ce truc ?

Un document écrit à la main, oups au feutre sur une feuille volante ?

C'est sérieux, ça ?

Vous n'avez pas d'ordinateur à la SNCC ?

Des maisons d'impressions, on en trouve à tous les coins de Bukavu.

C'est pas cher, l'impression.

Mais non, vous préférez nous présenter un document qui fait pitié.

C'est de la négligence ?

Un problème de culture ?

On dirait un travail de collégien !

C'est à se demander si la SNCC est vraiment capable de gérer des navettes rapides.

Avec un tel niveau de sérieux, on peut s'attendre à tout.

"Élections en RDC : La Jeunesse Victime du Syndrome de Stockholm, Abusée et Manipulée"Durant cette campagne électorale, ...
13/12/2023

"Élections en RDC : La Jeunesse Victime du Syndrome de Stockholm, Abusée et Manipulée"

Durant cette campagne électorale, une nausée persistante m'a habité. Mais ce n'était que le prélude. Rien ne surpasse le dégoût profond ressenti en observant la jeunesse, utilisée et manipulée sans vergogne. Elle est traitée comme une marionnette, offerte en pâture pour quelques maigres billets, des bribes ramassées sur la table des prédateurs politiques. Ces jeunes sont chargés d'une mission abjecte : insulter, nuire, et semer la discorde, tout cela au nom d'une poignée de billets.

Cette jeunesse, exploitée et aveuglée, s'engouffre dans le jeu dangereux de l'ethnie et de la tribu, sacrifiant toute réflexion pour une subsistance éphémère. Même l'élite intellectuelle succombe au piège, étouffée par le besoin primal de survie, se transformant en porte-paroles glorifiant leurs propres oppresseurs. C'est le syndrome de Stockholm à l'œuvre.

Il est révoltant de voir ces jeunes, pour qui l'éducation devrait être un rempart, se transformer en instruments de ceux qui les maintiennent dans la misère. Leur potentiel, leur intelligence, sont corrompus et détournés pour servir des intérêts égoïstes et destructeurs. C'est un véritable gâchis de talents, une trahison envers leur propre avenir.

Il est temps que cette jeunesse se libère de ces chaînes, qu'elle prenne conscience de sa valeur et de son pouvoir. Le futur de la RDC repose sur ses épaules, et il est primordial qu'elle reprenne les rênes de son destin, loin des manipulations et des pièges tendus par ceux qui cherchent à la maintenir sous leur emprise.

Oublier l'Histoire Politique de la RDC : Un Péril AveuglantLe constat lancé est brutal mais crucial : nos dirigeants sem...
13/12/2023

Oublier l'Histoire Politique de la RDC : Un Péril Aveuglant
Le constat lancé est brutal mais crucial : nos dirigeants semblent avoir choisi l'amnésie vis-à-vis de l'Histoire politique mouvementée de la République Démocratique du Congo. Cette histoire, faite de tumultes et de soubresauts, est jalonnée de violence, de luttes fratricides et de tragédies.
Leur amnésie les éloigne de la réalité qui a marqué cette nation. Un vice-président incarcéré à la Cour Pénale Internationale, un président en exercice assassiné dans l'intimité de son bureau, une rébellion ayant forcé un président à fuir : autant d'épisodes douloureux qui tracent les lignes sombres du passé récent.
Cette succession de faits dramatiques devrait pourtant constituer une sonnette d'alarme, une leçon de modestie et d'empathie. Une leçon qui crie que le pouvoir ne garantit pas l'immunité, que l'histoire ne se réécrit pas à volonté. Ces événements imposent un devoir de vigilance, d'humilité et de compréhension envers les souffrances et les aspirations du peuple.
Il est urgent que nos dirigeants intègrent cette histoire dans leur réflexion politique. L'oublier, c'est condamner le pays à revivre les erreurs passées, à répéter un cycle infernal de violences et de tragédies. Ce n'est pas seulement un devoir envers le passé, mais surtout envers l'avenir de cette nation.
Cette amnésie sélective des hauts dirigeants ne peut plus être tolérée. Le pouvoir doit être exercé avec une conscience aiguë des risques et des défis hérités du passé. Ils doivent se souvenir que derrière chaque décision, chaque action, se trouve une population meurtrie et désireuse de paix, de stabilité et de progrès.
En fin de compte, le message est clair : l'Histoire est le miroir dans lequel se reflète le présent et se dessine l'avenir. Il est temps que nos frères du pouvoir embrassent cette vérité, reconnaissent l'urgence de l'heure, et se montrent humbles et attentifs aux besoins et aux aspirations du peuple qu'ils sont censés servir.
( Pacom Bagula : inspiré par YMK )

Chronique : "L'improvisation politique en RDC : la gangrène de notre avenir"Au cœur de la République Démocratique du Con...
13/12/2023

Chronique : "L'improvisation politique en RDC : la gangrène de notre avenir"

Au cœur de la République Démocratique du Congo,
un mal insidieux se propage, minant les racines de notre avenir politique : l'improvisation politique.

Cette épidémie s'infiltre sournoisement dans chaque aspect de notre société, corrompant les fondements même de notre gouvernance.

Dans un pays où les opportunités d'emploi se font rares et où les écarts entre les riches et les démunis s'élargissent dangereusement, la politique se transforme en un jeu perfide. C'est dans cette arène que les intérêts personnels priment sur l'intérêt collectif.

La ruée vers la députation devient l'unique voie pour certains assoiffés de pouvoir et de privilèges. Mais derrière les ors de la députation se dissimulent bien souvent des motivations égoïstes, des ambitions démesurées et une avidité insatiable.

Certains politiques, commerçants enrichis aux dépens de la nation et autres acteurs avides se disputent férocement pour maintenir leurs acquis, reléguant le peuple, qu'ils sont pourtant censés servir, à l'arrière-plan.

Cette farce politique n'offre de noble que la superficialité des rétributions financières, des avantages matériels éphémères et des honneurs passagers. Pendant que cette comédie se perpétue, le véritable perdant demeure le peuple, sacrifié sur l'autel des promesses vaines et des discours creux sur un avenir meilleur.

Il est impératif de dénoncer cette mascarade politicienne, de briser les chaînes de cette improvisation destructrice. L'avenir de notre nation ne peut reposer sur des bases aussi fragiles. Nous devons exiger des comptes, promouvoir une politique intègre et véritablement orientée vers le bien-être collectif. Seule une transformation profonde et une détermination inébranlable à servir réellement la population permettront à la RDC d'accéder à un avenir politique authentiquement honorable.

Ce système politique devient l'ultime refuge de certains assoiffés, des vétérans militants érodés par des années passées à faire l'éloge dans les couloirs des partis politiques. Une entrée dorée vers un festin démesuré, où l'appétit vorace se repaît sans retenue. Un cycle pernicieux de gavage, de satiété écoeurante, de régurgitation puis de nouvelle dégustation, sans la moindre once de dégoût.

Ce lieu autrefois consacré à la défense des valeurs patriotiques s'est métamorphosé en un sanctuaire de décadence, en un repaire où s'effritent les principes politiques de notre nation magnifique et fière. Les sans-emploi y trouvent une maigre pitance, les manipulateurs sans scrupules s'y délectent sous l'ombre de billets verts et d'autres faveurs, se courbant sans vergogne devant le fardeau du peuple.

C'est là, dans ce temple de dépravation, que se cristallisent les démons qui rongent notre société. Il est temps de mettre fin à cette mascarade, de briser les chaînes qui entravent notre avenir. L'heure est venue de redonner un sens véritable à notre politique, de restaurer les valeurs qui élèvent notre grand pays.

Il nous faut rejeter cette culture de l'opportunisme éhonté, exiger des comptes et insuffler un vent de renouveau basé sur l'intégrité, la dignité et le véritable service envers notre peuple. Seule cette révolution morale pourra libérer notre nation de cette emprise destructrice, pour un avenir où la politique retrouve son véritable sens : servir et représenter dignement chaque citoyen de ce pays. ( Voyageur étonné )

Oublier l'Histoire Politique de la RDC : Un Péril AveuglantLe constat lancé est brutal mais crucial : nos dirigeants sem...
13/12/2023

Oublier l'Histoire Politique de la RDC : Un Péril Aveuglant

Le constat lancé est brutal mais crucial : nos dirigeants semblent avoir choisi l'amnésie vis-à-vis de l'Histoire politique mouvementée de la République Démocratique du Congo. Cette histoire, faite de tumultes et de soubresauts, est jalonnée de violence, de luttes fratricides et de tragédies.

Leur amnésie les éloigne de la réalité qui a marqué cette nation. Un vice-président incarcéré à la Cour Pénale Internationale, un président en exercice assassiné dans l'intimité de son bureau, une rébellion ayant forcé un président à fuir : autant d'épisodes douloureux qui tracent les lignes sombres du passé récent.

Cette succession de faits dramatiques devrait pourtant constituer une sonnette d'alarme, une leçon de modestie et d'empathie. Une leçon qui crie que le pouvoir ne garantit pas l'immunité, que l'histoire ne se réécrit pas à volonté. Ces événements imposent un devoir de vigilance, d'humilité et de compréhension envers les souffrances et les aspirations du peuple.

Il est urgent que nos dirigeants intègrent cette histoire dans leur réflexion politique. L'oublier, c'est condamner le pays à revivre les erreurs passées, à répéter un cycle infernal de violences et de tragédies. Ce n'est pas seulement un devoir envers le passé, mais surtout envers l'avenir de cette nation.

Cette amnésie sélective des hauts dirigeants ne peut plus être tolérée. Le pouvoir doit être exercé avec une conscience aiguë des risques et des défis hérités du passé. Ils doivent se souvenir que derrière chaque décision, chaque action, se trouve une population meurtrie et désireuse de paix, de stabilité et de progrès.

En fin de compte, le message est clair : l'Histoire est le miroir dans lequel se reflète le présent et se dessine l'avenir. Il est temps que nos frères du pouvoir embrassent cette vérité, reconnaissent l'urgence de l'heure, et se montrent humbles et attentifs aux besoins et aux aspirations du peuple qu'ils sont censés servir.

( Pacom Bagula : inspiré par YMK )

ISP BUKAVU on fire...À défaut ya camion anti-incendie 🚒 Tuzimishe moto 🔥n'a mayani ya migomba, na madekere, na bishogolo...
02/07/2023

ISP BUKAVU on fire...
À défaut ya camion anti-incendie 🚒 Tuzimishe moto 🔥n'a mayani ya migomba, na madekere, na bishogolo, n'a sombe, n'a lenga lenga, tropicalisons la gestion des incendies.

63 ans après l'indépendance de la RDC : Un bilan amer, une colère légitime et des perspectives politiques crucialesPar P...
30/06/2023

63 ans après l'indépendance de la RDC : Un bilan amer, une colère légitime et des perspectives politiques cruciales

Par Pacom Bagula, Penseur congolais libre.

*Kinshasa, République Démocratique du Congo - aujourd'hui, alors que nous sommes censés célébrer le 63e anniversaire de notre indépendance, je ne peux m'empêcher de ressentir une colère profonde et une amertume face au bilan désastreux de 63 années de gestion de ce pays continent, crachant sur les luttes des pères de notre indépendance et de ceux qui ont donné leur vie et qui continuent à payer le prix fort pour la décolonisation totale de la RDC.

Est-ce vraiment un moment de fête ? Devrions-nous plutôt laisser éclater notre colère face aux défis persistants et aux responsabilités non assumées, en particulier par notre jeunesse ? Il est grand temps de regarder en face la triste réalité qui découle de ces 63 années d'indépendance volée.

Nos ressources naturelles, qui devaient être notre source de richesse et de prospérité, ont été pillées par une certaine élite corrompue et par des multinationales sans scrupules, laissant derrière elles un marasme économique et financier qui ne dit pas son nom. Pendant ce temps, notre peuple croupit dans la pauvreté, privé de ses droits fondamentaux et de la dignité qui lui revient de droit.

La jeunesse congolaise, cette génération sacrifiée, est abandonnée à son triste sort, réduit à un outil électoral, une machine à voter pour des politiciens, à courir dans les rues, à scander et à chanter la gloire de politiciens véreux. Une jeunesse à qui l'on a ôté le rêve ; rêver d'un Congo prospère, d'une ascension et d'une vie digne. Au lieu d'être le moteur du changement, elle est marginalisée, exploitée sans emploi, sans éducation adéquate et sans espoir. Le système éducatif est en agonie malgré quelques maigres avancées.

Pendant que nos dirigeants se vautrent dans la corruption, le luxe et la jouissance, nos jeunes sont condamnés à une existence désespérée, victimes de la violence dans plusieurs coins du pays, exploités par des systèmes prédateurs et des pseudo-employeurs, sans aucune perspective.
Face à ce contexte effroyable, l'avenir de la RDC semble plus incertain que jamais, plus sombre qu'hier.

L'indépendance culturelle ? Un leurre, car notre riche patrimoine est piétiné et notre identité étouffée par des influences étrangères oppressives, sous les bénédictions de ceux qui sont censés renverser la donne.

L'indépendance économique ? Une illusion, car nos richesses sont pillées, nos industries détruites, laissant notre peuple dans la misère et la dépendance. Notre économie repose sur l'extérieur, nourrie par des pays voisins, alors que nous avons les plus grandes étendues de terres, un sol arable et arrosé du nord au sud, de l'est à l'ouest par une multitude de cours d'eau, de lacs et de rivières.

L'indépendance diplomatique ? Une farce, la main occidentale plane toujours sur certains de nos dirigeants comme le soleil. Certains se soumettent aux intérêts étrangers et bradent notre souveraineté au plus offrant, pour des intérêts égoïstes. Certains partenariats louches, des contrats camouflés, ne servent qu'à l'intérêt d'une caste sociale.

L'indépendance sociale ? Un mirage, car les inégalités explosent, la violence règne et les droits humains sont bafoués au quotidien. Certains coins du pays sont devenus des véritables Far West où trônent des seigneurs de guerre et autres bandits, créant une insécurité chronique en semant la mort.

Nous ne devons pas rester silencieux face à cette injustice insupportable. Devons-nous nous taire ou célébrer cette journée ? Nous devons exiger un changement radical. Les pistes de sortie sont là, à portée de main, mais nous devons les saisir avec détermination et courage. Il est temps de changer ce système qui nous étouffe depuis plusieurs décennies. Il est temps de lutter pour une éducation de qualité accessible à tous, une éducation technique pour reconstruire ce pays, pour des emplois décents, pour des soins de santé accessibles, pour la justice sociale et pour une gouvernance transparente et responsable. Il est temps de briser les chaînes de l'oppression et de reconstruire notre nation sur des fondations solides de dignité, d'égalité et de justice.

Nous devons nous unir en tant que peuple congolais, dépasser les divisions artificielles, les clivages tribalo-ethniques tirés par des ficelles de certains notables sans vergogne, et construire ensemble un avenir meilleur, qui ne repose pas sur des slogans.

La lutte sera difficile, mais notre engagement en tant que peuple et notre détermination sont notre force. Nous ne pouvons plus nous permettre de rester passifs face à la destruction de notre pays.
En ce 63e anniversaire de notre indépendance, engageons-nous, mes frères et sœurs congolais ! Faisons résonner nos voix dans les urnes.

Exigeons un changement radical, une véritable indépendance pour notre pays. Cela passera par des élections libres et transparentes, et par nos votes. Votez pour vous et pour l'avenir de vos enfants. Le vote responsable est la seule issue digne pour ce pays. Ne laissons plus les corrompus et les exploiteurs décider de notre destin.

Que notre engagement légitime ouvre la voie à de nouvelles perspectives politiques, à une RDC où la justice, l'égalité et le bien-être de notre peuple ne seront plus de vains mots, mais une réalité concrète.
Que Dieu bénisse la République Démocratique du Congo, et que notre colère soit la force qui la transforme !

29/06/2023

Pendant que les jeunes cherchent des solutions, ceux qui administrent ternissent l'image de la lutte.
Toute honte bue...laissez un commentaire...

Rencontre entre   et Égide Kitumaini.Foire de l'entrepreneuriat du Sud-Kivu organisée par l'incubateur orheol.
29/06/2023

Rencontre entre et Égide Kitumaini.
Foire de l'entrepreneuriat du Sud-Kivu organisée par l'incubateur orheol.

19/06/2023

Quelque soit la source, chaque lumière a sa limite et sa frontière avec l'ombre. Même le soleil ☀️, plus grande source éclaire la terre à moitié, une partie le jour, une autre la nuit. Connaître ses limites, sa lumière et son ombre est la première source de connaissance.

Esprits limités s'abstenir.

Dossier : MATADI KIBALALes victimes devraient-ils porter pleine contre la SNEL ?
03/02/2022

Dossier : MATADI KIBALA
Les victimes devraient-ils porter pleine contre la SNEL ?

Les responsabilités ?Comment est ce possible ?
03/02/2022

Les responsabilités ?
Comment est ce possible ?

20/07/2021

ZWAZO SE CACHE POUR POURRIR

Ceci est une fiction, un quelconque rapprochement ou coïncidence avec des personnages, lieux et événements ne serait qu'un pure hasard....

Ça rappelle l'histoire insolite de Zwazo. Pour des raisons d'éthique nous allons taire son vrai nom.

Venu de Bukavu monsieur le pseudo abbé avait eu le culot et le cran de célébrer une messe dans un domicile privé à Goma pour couple fraichement marié à Bukavu.

Le bateau était à deux heures de Bukavu, Zwazo était Calme, décontracté, réservé et observateur, les lunettes pendues sur son nez, un pull tricoté, geutait une proie, son instinct avait conduit son regard vers un couple appartement amoureux, il savait que rien n'était aussi fragile que des gens qui réfléchissaient avec le coeur, il savait que l'amour était vulnérable devant le sensitionnel. il se décida de faire la ronde sur le bateau, dans l'objectif s'attirer l'attention, il se mit à réciter son chapelet de manière silencieuse, en mettant en évidence les mouvements de ses mains. Chemise à col romain, le Charlot se fait passer pour un prêtre qu'il n'est pas, des excuses, des bonjour padri... Grosse croix en bois pendue au coup, chaussettes d'hiver dans des sandales en cuire, le zuave, enfant de coeur de son état, venait de dérober sans se faire remarqur une valise chapelle dans une paroisse catholique de Bukavu. Il n'avait pas trop étudié, mais avait passé des années au près des séminaristes, des abbés, des curés; il avait appris la liturgie, connaissait la sacristie, les cérémonies liturgiques, il avait lu des centaines des fois le missile, il avait mûrit son plan des années durant...il était afin prêt, réaliser l'arnaque du siècle, se fondre dans le clergé sous une fausse identité, pour des objectifs précis... Zwazo finit pas aborder le couple qui l'invite respectueusement sur sa table. Les discussions n'en finiront pas, il se mit à parler des couvents qu'il n'avait jamais visité, parler des quartiers de Rome qu'il n'avait jamais fréquenté, de ses faux souvenirs, pour la plupart ramassés dans des vielles histoires entendus des sacristains, ou de certains prête après quelques verres de vin; il avait accès au couvent de la paroisse, il y passait ses dimanches, avait appris à manger comme un prête, parler, prier, rire, oui il avait sorti son sourire narquois et le couple tombait encore plus sous son charme.
Le couple était tombé comme par enchantement et de manière fortuite dans les filets et sur la toute première expérimentation farfelue de l'apprenti sorcier. Doux, et beau parleur il parvint à convaincre le jeune couple de venir bénir leur nouvelle maison et leur foyer; quelques verres de vin se clôtureront par une bénédiction limite urbi et orbi, à l'arrivée au quai, quelques amen et le rendez vous était pris 4 jours plus t**d.
En cet après midi de saison sèche, l'usurpateur était au rendez vous pile à l'heure comme tout bon padri... Et il célébra la messe de A à Z, Missel en main, aube, et tout l'arsenal Mr dit la messe dans le domicile du couple berné à la satisfaction de toute la famille, évangile, action de grâce, consécration...rien n'avait échappé à l'escroc. Comme on le dit, le diable se trouve dans les détails, il n'était pas dans le bénitier cette fois là, la supercherie fut de très courte durée...

Découverte : Une guitare, une voix, une musique autrement, il choisit de naviguer à contre courant :  Moïse Apostolos, u...
19/07/2021

Découverte : Une guitare, une voix, une musique autrement, il choisit de naviguer à contre courant : Moïse Apostolos, une étoile est née. https://youtu.be/HDLDmABiRmI

《Momo est une Grand-mère qui, après une vie honnête et charitable, passe ses tout derniers instants sur terre à prodiguer à son petit-fils des conseils sur l...

01/07/2021

Je réitère mon appel à mes compatriotes hommes d’affaires et entrepreneurs à ne pas baisser les bras afin d’obtenir notre indépendance économique et alimentaire. Réfléchissons, faisons notre part et l’état fera la sienne. 1/3 ( Bod Ditend )

Congo indépendant, soixante et une année d'amnésie collective? Billet-retour au coeur de l'espoir et du désespoir d'un p...
30/06/2021

Congo indépendant, soixante et une année d'amnésie collective? Billet-retour au coeur de l'espoir et du désespoir d'un peuple. ( PARTIE 1)

40 ans avant les indépendances Africaines, Simon Kimbangu est traité de sectaire, ses enseignements jugés subversifs, on attendra les début des années 1956 pour assister aux premières revendications de l’émancipation au pays; en tête le cardinal Joseph Malula, et Joseph Ileo.
1957, des radicaux parmi lesquels Joseph Kasavubu, et plus t**d Patrice Emery Lumumba poussent le bouton de l’émancipation immédiate.
Trois ans après Kinshasa chante indépendance cha cha, mais il y aura un prix à payer. Les trois années qui auront précédées cette journée du 30 juin seront marquées par des cacophonies, des émeutes et des grosses pressions, l’élite congolaise sera t elle au point la veille du 30 juin 1960? Sera question reste posée 61 ans après.

Le peuple forge ses espoirs ce revirement, espère oublier les années des colonisation et de l'esclavage, mais hélas les espoirs ne seront que de courte durée.
Au lendemain de l'indépendance, Patrice Lumumba se fait des ennemis. Pour des prises de position, il devient gênant, il sera l'homme à abattre, rien ne filtrera directement de son assassinat, plus t**d, on assistera à des révélations, plus de 50 ans après, la justice n'a pas été faite, le pays revendique ses reliques.
Après ces événements, le régime Kasavabu ne faira plus grand feu, ce dernier, ne t**dera plus au pouvoir, Le colonel Mobutu renverse le régime après un coup d'État militaire, nous sommes à la veille des années Zaïre.

Plus t**d Maréchal, Mobutu sera l'homme de la situation, il matte des rébellions, impose un leadership fort et devient celui sur qui reposeront les espoirs des milliers de zaïrois. 1974, c'est la zairianisation, puis l'émergence du grand Zaïre ne sera qu'éphémère, début des années 90 Kinshasa sombre, puis le Zaïre, grèves, pillages ; Le Maréchal perd petit à petit sa crédibilité, l'armée se meurt à petit feu, Mobutu se fait des ennemis intérieurs et extérieurs. 1996, il tombe malade, ses forces le lâche, ses alliés aussi; pendant ce temps en vaillant conquérant populaire, l'homme fort de l'AFdL ,Mzee Laurent Désiré Kabila, lui que Mobutu sous-estime drainé des foules, reçoit le soutien du peuple qui veut en finir avec Mobutu, celui ci perd une grosse partie du territoire, Kabila le surprendra à la porte Kinshasa, une année plus t**d, Le Mzee aura marche sur le grand Zaïre accompagné d'enfants soldats et des alliés Rwandais et Ougandais; Mobutu n'aura d'autre option que l'exiler au Maroc, ou il trouvera plus t**d la mort; 32 ans au pouvoir son corps n'est toujours pas rapatrié au pays. Le pays redevient Congo, Mzee change de monnaie, signe des accords, amorce des gros changements, mais ses alliances ne connaîtront de gloire. Tout clash à Kinshasa, les alliés sont sommés de quittez la RDC, c'est la naissance des premières grosses rébellions, le RCD, le MLC, ...voient le jour, le pays est divisé en plusieurs morceaux, à l'instar de son prédécesseur, Mzee Kabila se fait plusieurs ennemis, à l'intérieur tout comme à l'extérieur. Mzee Kabila est fusillé un soir dans son bureau par un des ses gardes du corps. 61 années après l'indépendance, des zones d'ombre planent toujours l'assassinat de mzee.

Pour la succession de Kabisa père, La RDC connaîtra alors l'un de ses mythiques président, Joseph Kabila. Le Raiss, marque la réunification de RDC, place le pays sur la voie de la démocratie en organisant les premières élections. 18 ans plus t**d, au delà des rébellions et des contextes politiques, diplomatiques, sociaux, économiques, et géopolitiques complexes et fragiles, Shina Rambo, barbue et décontracté cède le pouvoir à son successeur, une première dans l'histoire de la RDC, au nom de l'alternance politique, le fils du Sphinx de limite succède au Raiss, une première passation démocratique que le pays aura connu. 61 années plus t**d, c'est à Félix Antoine Thisekedi que le flambeau du destin de la nation sera remis. Un destin lourd par son passé, lourd par son histoire, lourd par les zones d'ombres, lourds par ce peuple fatigué par 61 années d'attente, de patience, d'instabilité institutionnelles. Un destin qui finalement puise des forces et ses faiblesses dans son credo, debout Congolais, En 61 années, 61 générations auront attendus, auront subis les affres de la geurre, des rébellions, des groupes armés, des pillages, elles attendent toujours bâtir un pays plus beau qu'avant dans la paix, un peuple debout depuis 61 années, serait il fatigué depuis ? unis par le sort, ce sort jeté et scellé depuis le 30 juin 1960, Des front dressés depuis 61 années, malgré les vicissitudes. 61 années après le rendez-vous est pris avec l'histoire...

Le voyageur étonné.

28/05/2021

Quelle journée!

« Il faut partir. » Ce regard timide de ma mère me rends un peu triste, quand je lui dis ce que je penses de la décision de l’autorité d’évacuer la ville de Goma. Nous habitons à Mabanga Nord, l’un des quartiers identifiés comme à risque. Je viens à peine d’arriver dans la ville. Mon père a préparé un petit sac à dos où elle a mis ses biens de première nécessité: des titres fonciers et nos documents académiques. Je conseilles donc à mes parents de prendre la route Rutshuru. Ma mère hésite: où allons-nous dormir là bas? Je la rassures « Nous trouverons une solution ». Avec mon grand frère au téléphone, nous essayons d’organiser leur évacuation de toute la famille. Mes parents, ma belle sœur et ma ma sœur avec leurs enfants. Nous avons reçu à louer deux bus, un à Kiwanja, prêt à remonter sur Kibati, et l’autre à Goma qui doit remonter avec la famille jusqu’à l’endroit où la lave a coupé la route.
Rassuré, je me jettes rapidement dans la do**he, je dois être au bureau à 08h00. J’ai été obligé d’interrompre mes vacances pour rejoindre une cellule de crise travaillant sur l’urgence de l’éruption. Je dis à peine au revoir, quand je me jettes sur une moto, qui coûte désormais quatre fois plus cher que d’habitude. Sur la petite route goudronnée de Katoyi, c’est la panique. Une femme très souriante parcoure la route en criant à qui veut l’attendre l’appel à se repentir avant la fin du monde, bible à la main. Je reçois un appel, un ami de Kin, « Mon cher, il faut évacuer maintenant ». Je sais qu’il a raison de s’inquiéter pour moi, j’ai pourtant choisi de rester pour essayer d’apporter ma contribution à la préparation de l’assistance aux sinistrés. Le mot**d, plein d’humour me rappele que le Nord-Kivu est la partie du pays où on trouve tout ce qu’il faut pour tuer. Covid19, Ebola, guerre, kidnapping, éruption. Il est arrivé à décrocher mon sourire dans ce matin où embouteillages se mêlent avec incertitude. Niachiye apa. Je sautes rapidement de la moto pour me précipiter au bureau. A peine que je parcours mes premiers mails, je reçois un appel de mon grand-frère: « ils viennent de traverser la lave, ils attendent le bus qui vient de Rutshuru de l’autre côté ». Je me sens très soulagé. En fin, je peux me concentrer au travail. Une amie qui m’écrit de Suisse me laisse un WhatsApp : « Est ce que tu ne quittes pas? ...C’est une situation très dangereuse ». Ce message parvient à mes tirer de mes rapports. Je me rappeles alors que je n’ai pas parlé à ma femme depuis le matin. J’appelle. Depuis Kinshasa, elle s’inquiète pour moi, et pour nos familles. J’essaie de la rassurer. « Tout va bien ici ».
Je suis de retour devant mon ordinateur, le temps passent très rapidement devant ma liste des choses à faire. Il est 13heures. Ma famille doit déjà être arrivé à destination. J’appelle ma mère. « Nous attendons encore ici, le bus de Kiwanja n’est pas encore arrivé ». Je sens une petite colère monter, ma famille est resté à Kibati en plein en attendant un bus bloqué dans les embouteillages sur la route Rutshuru. A peine raccroché, je dois rentrer dans une réunion. Je discutes ensuite avec mes collègues sur les chiffres des personnes déplacés. Dans ma tête, je me rappeles qu’il ne s’agit pas des chiffres mais de mon père, de ma mère, de mes sœurs, de ma belle sœur, de mes cousins et de mes nièces qui sont en ce moment entassés au bord de la route, qui sont partis sans rien emporté. A 15h, je rappeles ma mère, « Ie bus n’est toujours pas arrivé ». Je sens une hésitation dans la voix de ma mère, je sens que quelque chose se passe. « Qu’est ce qu’il y a »? Ma mère qui a toujours été très diplomate me lache: « La santé de ta sœur se détériore ». Ma sœur avait accouché samedi passée par césarienne pendant que le volcan entrait en éruption. Quel héros ces medecins! Ils ont dû la libérer rapidement pour l’aider à évacuer. La traversée à pieds des pres de deux kilomètres de laves l’a essoufflé. A ce moment, je mesures mon impuissance face à la situation. Je tentes désespérément d’appeler le chauffeur pour qu’il arrive rapidement. « Nous sommes toujours bloqué dans les embouteillages. Rien à faire ». Je décides alors d’appliquer la règle apprise pendant plus de 25 ans de guerre à l’Est. Laisser Dieu agir. En langage humanitaire, on appele cela de la résilience. Retour sur mon ordinateur. J’en ai marre d’avoir des nouvelles. Je décidais de mettre me téléphone en charge pour garder ma conscience tranquille face aux appels en absence. A 17h00, je me rappeles que je ne sais pas encore où je vais dormir. Un collègue parvient à décrocher une chambre à l’hôtel. Dans les périmètres supposés sécurisés à l’Ouest de la ville, les hôtels sont déjà pleins, acceptent désormais de loger toute famille dans une chambre. Je décides de déposer rapidement mon sac à dos à l’hôtel avant de revenir rapidement au bureau pour un briefing prévu entre 18h30 et 19h00. C’est après la réunion que je me rappeles que je n’ai pas mangé depuis le matin. A 19h passée, dans une ville vidée de ses habitants, les restaurants doivent être complètement fermés. Pendant que j’y penses, mon chef m’invite à l’accompagner avec d’autres collègues à une petite rencontre de travail dans un hôtel de la ville. La chance. Leur restaurant est encore ouverte. “Poisson braisé et frites, avec un sucré bien frais”.( désolé la bière aurait peut être eu un effet beaucoup plus apaisant, mais je suis protestant, quel dommage). C’est avec un vendre plein que je décides d’appeler. Ma femme m’annonce la nouvelle. “ l’institutrice de Yohanne a dit que demandé à son école de prier pour toi parceque tu es dans le volcan”, j’ai envie de verser une larme face à ce message, je demandes qu’on me passe ma fille. J’essaie de trouver les mots justes pour expliquer à un ma fille de 4 ans l’importance de ce que je fais ici. “Merci Papa Wassy”. Rassuré d’avoir rassurer ma fille, j’appelle ma mère. Il est 21h, “Nous allons bien, ta sœur a repris la force. Le bus n’est toujours pas arrivé, mais le pasteur d’ici nous a logé”. Je sautes rapidement dans la voiture qui me ramène à l’hôtel. Je peux en fin dormir. Un dernièr appel à ma femme. “Dors bien ma chérie.”. Quelle journée!

( Texte de : Wassi kambale )

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Goma

Téléphone

+243994077585

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