23/02/2021
LE TOURISME CONGOLAIS :IMAGE TERNIE. La mort du diplomate italien projette une image très négative de notre destination non pas parceque c'est un italien c'est tout simplement puisque les médias internationaux vont répercuter des messages sans discontinue. En matière d'image il y a deux choses qui sont prises en considération : les victimes et la capacité de la destination de déjouer des attaques. Peu importe le nombre d'attaque si la destination a un plan de contingence qui fonctionne c'est-à-dire, qui déjoue des attaques, l'image de la destination ne sera pas alternée comme c'est le cas aujourd'hui. Dans une zone réputée comme telle dangereuse, il faut un plan de contingence qui fonctionne et cela s'appelle la gestion des risques qui commence par l'identification des ces dernières. Tous risques c'est d'abord des incertitudes : il y a des incertitudes qu'on appelle inconnus connus et des inconnus, inconnus. Dans le cas de la mort du diplomate il s'agissait de l'inconnu connu et comme tel l'ICCN devait disposer d'un plan de contingence. Aujourd'hui à travers le monde la gestion des risques est enseignée et il y a des thèses qui sont soutenues dans ce domaine. L'importance de la gestion de risques devient une obligation. Il faut beaucoup pour améliorer cette image du Kivu qui affecte aussi celle de toute la République. Le touriste étant "l'animal"le plus craintif, il faut un plan de contingence. Une fois j'attends le secteur du tourisme et celui de l'environnement pour voir comment ils vont s'y prendre. C Bankimy