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Nous tenons à vous mettre au courant de la fausse page nommée ”KAVUMU EXPLORER“ et qui porte notre logo. Malheureusement...
30/03/2024

Nous tenons à vous mettre au courant de la fausse page nommée ”KAVUMU EXPLORER“ et qui porte notre logo.
Malheureusement, cette même page arnaque les gens soit disant qu'elle est disponible pour différents services que nous ne disposons pas.
Pour rappel, notre page a plus de 6.400 abonnés contrairement à la fausse qui n'a que 93 abonnés. Votre vigilance 🙏🏽

 On parle d'inondation lorsque l'eau déborde des limites normales d'un cours d'eau, d'une rivière ou d'un autre plan d'e...
25/03/2024


On parle d'inondation lorsque l'eau déborde des limites normales d'un cours d'eau, d'une rivière ou d'un autre plan d'eau ou s'accumule dans une zone habituellement sèche.
Le risque inondation peut avoir des conséquences :

Les inondations peuvent engendrer une prolifération de moustiques dans les eaux stagnantes et, quelque temps après, une transmission accrue de la dengue, du chikungunya et/ou du paludisme

Des établissements scolaires touchés par des inondations, il y en a qui ont fermé leurs portes tandis que d'autres se sont complètement effondrés.
📷 FFiston Wasanga HQ

🗞️ TÉMOIGNAGE D'UN RESCAPÉ DU MASSACRE DE KAVUMU DU 2 AOÛT 1998 🗞️🚨 Un vrai fils de kavumu doit lire jusqu'à la fin et p...
22/03/2024

🗞️ TÉMOIGNAGE D'UN RESCAPÉ DU MASSACRE DE KAVUMU DU 2 AOÛT 1998 🗞️

🚨 Un vrai fils de kavumu doit lire jusqu'à la fin et partager.
👉🏿 N'hésitez pas de vous abonner à la page

La mémoire fait partie intégrante de l’histoire. Oublier le passé c’est oublier notre histoire. L’histoire fait l’identité de la personne. Un rescapé du .massacre de Kavumu du 02 aout 1998 nous témoigne de ce triste événement. C’est une page de notre histoire contemporaine qui ne peut pas être oubliée. Et cela parce que nous voulons ne plus répéter des choses pareilles.

🔰 Témoignage 🔰

Massacre des officiers congolais à Kavumu, le 2 août 1998

Ce dimanche 2 août, je suis à mon bureau du Quartier Général de la 222ème Brigade d’Infanterie lorsque j’apprends qu’une réunion tenue à Cyangugu, la veille, avait regroupé tous les grands officiers de la Brigade ainsi que d’autres venus d’Uvira et de Goma. Nous venons de toucher notre solde et personne ne nous rapporte ce qui s’est dit dans ladite rencontre. Les collègues m’ont chargé d’aller recouvrer les créances auprès de certains soldats du bataillon de Nyangezi, à 25 km au Sud de Bukavu, envers la mutuelle des officiers. Dès que j’y arrive, je suis frappé par la quantité inhabituelle d’armes lourdes déployées partout, au bord de la route, dans les bananeraies et derrière les maisons, sur ordre du Commandant du bataillon local, un munyamulenge du nom de Budurege. Je constate tout de suite que seuls les Banyamulenge sont armés, ce qui me surprend également au plus haut point.

La nuit est déjà tombée quand je décide de rentrer à Bukavu; je demande un véhicule au Commandant Budurege. Il refuse et essaie plutôt de me convaincre de passer la nuit à Nyangezi. Une sorte d’intuition me dit de quitter cette localité au plus tôt. Heureusement un taxi-bus arrive et le chauffeur accepte de me prendre jusqu’à Bukavu. Vers vingt heures, des amis viennent me prendre pour m’amener partager un verre à la Kermesse. Nous n’étions pas encore arrivés Place de la Poste où se tient la kermesse quand nous entendons des rafales d’armes automatiques venant de tous les coins de la ville.

Nous demandons des nouvelles par talkie-walkie aux officiers, mais personne ne peut nous répondre de manière satisfaisante.

Quelques instants après, nous sommes aux environs du QG quand plusieurs soldats en formation de combat arrivent à pied, revenant du centre-ville. Ils nous apprennent que le Commandant Brigade Tshapul Mpalanga est en résidence surveillée, sans rien nous dire d’autre. Nous jugeons préférable de passer tous ensemble la nuit au Q.G. Je fais libérer les soldats détenus dans les cachots du QG et ordonne à tout le monde de se tenir prêts à toute éventualité.

Un peu plus t**d, le Commandant Sion Malekera m’appelle au Motorola et demande qu’on lui envoie, par porteur, les dossiers qui sont sur la table de son bureau. Je lui réponds que personne n’osera sortir pour s’exposer parce que nous continuons à entendre des fusillades de plus en plus proches. Il nous explique alors que le régime a changé et que le nouveau président de
la République est attendu, avec les membres du nouveau gouvernement. Ceux-ci viendront par Cyangugu au Rwanda. Il nous conseille ensuite de rentrer chez nous mais nous n’en faisons rien.

Vers le milieu de la nuit, le capitaine Bolika Mavungu, chargé de la logistique pour la ville de Bukavu, nous réjouit et nous apprend que les soldats rwandais sont dans la ville et que nous devions, le lendemain, nous rassembler à l’aéroport de Kavumu pour y accueillir des renforts en hommes et en matériel de guerre en provenance de Kinshasa en vue de parer à l’attaque des rwandais.

Je lui dis tout de suite mon scepticisme face à l’avenir immédiat, lui faisant comprendre que je dois, avant toute chose, mettre ma famille en lieu sûr. Nous partons avec sa camionnette chez moi et je prends ma femme et mes enfants pour les déposer à Bagira, chez ma soeur.

Après cela, nous décidons de nous rendre cette nuit-là même, à Kavumu, pour voir les préparatifs d’accueil des renforts attendus au lendemain. Arrivés au village de Miti, des gens que nous ne voyons pas à cause de l’obscurité tirent sur nous, embusqués dans les bananeraies. L’un des soldats qui nous accompagnent à l’arrière de la camionnette, est blessé.

Nous ripostons, et sans nous arrêter à Kavumu, nous fonçons vers l’hôpital de la Fomulac, à Katana, pour y laisser le blessé. Nous reprenons le chemin de l’aéroport; nous y retrouvons le Commandant de bataillon Mutshapa, le Commandant de la logistique Juvénal Kachungunu et quelques autres officiers. Bolika explique les raisons de notre arrivée t**dive en insistant sur les tirs que nous venions d’essuyer à Miti et notre détour par Fomulac-Katana. Kachungunu dit à Mutshapa de lui donner deux ou trois compagnies de soldats pour qu’il aille voir qui tire à Miti, mais ce dernier refuse, arguant que le Commandant Brigade a donné ordre à tout le monde doit rester à l’aéroport. Fatigué, je m’endors tant bien que mal dans la cabine de l’Hilux avec le lieutenant Bilembo. Pendant ce temps, les autres officiers s’en vont se divertir dans la cité toute proche, malgré la gravité de la situation, laissant les centaines de soldats passer le reste de la nuit chacun à sa guise.

Lundi 3 Août, il est sept heures du matin, nous attendons toujours les ordres et les renforts. Le Commandant Bolika prend un canon 7.5 et quelques soldats à bord d’un camion; il veut aller voir qui nous a tirés dessus la nuit dernière, à Miti. Sur place, la population nous dit qu’il y a effectivement des soldats Tutsi qui ont passé la nuit dans les bananeraies et qui se sont dirigés, très tôt, vers Chivanga, à l’entrée du Parc national de Kahuzi-Biega. De retour à Kavumu, nous apprenons que le Commandant Tshapul vient d’envoyer un ordre nous intimant de venir l’attendre à Amsar, à une quinzaine de kilomètres de Bukavu, avant Miti. Nous embarquons dans tous les véhicules disponibles et rebroussons le chemin vers Bukavu. Arrivés à Amsar, nus y rencontrons le Commandant Brigade à la tête d’une compagnie entière du 106ème Bataillon sous le commandement du Capitaine Musemenge.

Tshapul nous informe qu’il n’a pas encore la communication avec Kinshasa. Bolika, Bilembo et moi décidons d’aller demander de l’essence aux prêtres du couvent de Murhesa, très proche de l’endroit où nous nous trouvons avec le Commandant Brigade. En cours de route, nous sommes alertés par des paysans qui nous affirment que des soldats suspects circulent dans les environs. Effectivement, quelques temps après, alors que nous sortons de chez les prêtres, nous tombons dans une embuscade de soldats rwandais qui canardent notre véhicule; ils sont une trentaine. Notre camionnette est criblée de b***es mais miraculeusement aucun de nous trois n’est blessé. J’ai eu le temps de dégainer ma kalachnikov et de tirer dans le tas.

A Amsar, des soldats nous attendent pour nous dire que nous devons rejoindre le Commandant Brigade et tous les autres à l’aéroport. Arrivés à Kavumu, nous sommes étonnés en voyant Tshapul qui essaie d’obliger un groupe d’officiers de déposer leurs armes. La plupart obtempèrent à l’exception de son Secrétaire particulier, Epelela et du Chef Logistique, Juvénal Kachungunu; ils lui tournent le dos et s’en vont. C’est ce geste qui les aura sauvés.

En effet, sur la piste d’atterrissage, un groupe de soldats, pour la plupart des rwandais, fait face à un autre composé principalement de congolais. Entre les deux groupes, se tient Tshapul, entouré de Sion Malekera, Thierry Ilunga, Kilofuka et de Mutshapa. Deux infirmiers militaires se trouvent dans le groupe des congolais; Tshapul leur demande d’ôter leurs blouses, les fixe au bout de deux bâtons en appelant au calme. Il avait senti que la tension commençait à monter et que les soldats congolais se doutaient maintenant de quelque chose. Puis tout se passe très rapidement. Le groupe des Rwandais ordonne aux congolais de garder les mains en l’air, ayant déjà déposé leurs armes sur instructions de Tshapul. Les rwandais ramassent les armes, et ordonnent à tous les soldats désarmés de s’allonger à même l’asphalte de la piste. Nous sommes fouillés l’un après l’autre; un de ces salauds s’empare de ma montre et des 640 francs congolais* qui m’avaient été remis à Nyangezi pour la mutuelle des officiers.

Nous sommes tous couchés sur le dos, les mains sous la nuque, exceptés Tshapul, Malekera, Kilopoka, Ilunga et Mutshapa ainsi que trois officiers de l’APR que je n’avais jamais vus et que je ne reverrais plus jamais.

Le Commandant Kifuita , Chef du Personnel de la Brigade, se met à pleurer, suppliant qu’on lui laisse la vie en en échange d’un sac plein d’argent qu’il a laissé dans sa voiture, à quelques mètres de là. Le Commandant Eric, rwandais, fils de Kasongo Kayijamahe, propriétaire de l’hôtel Tanganyika de Bukavu, sort son pistolet et tire une b***e dans l’oreille de Kifuita ; celui-ci s’écroule.

Nous ne bronchons pas et restons couchés pendant que Tshapul, Ilunga et Malekera se retirent au milieu de la piste d’aviation. Après quelques instants de conciliabule, ils reviennent. Ils nous ordonnent de nous relever, ce que nous faisons avec empressement. Nous sommes divisés en trois groupes, les officiers d’un côté, les ex-FAZ de l’autre et les kadogos*, au milieu. Obéissant à je ne sais quel instinct, je me mets dans le groupe des kadogo, ce qui ne m’est pas difficile à cause de ma petite taille.

Tshapul nous dit de nous déshabiller et de jeter nos vêtements loin de nous. En un clin d’oeil, nous sommes tous en caleçon. Nouveau conciliabule autour de Tshapul, pendant lequel, les rwandais nous obligent à chanter des chants religieux. Cela dure une quinzaine des minutes, puis Tshapul et ses hommes reviennent. Il doit être environ onze heures.

De nouveau on sépare, par catégories, le groupes des officiers : les chefs de peloton, les chefs de section, les infirmiers, les administratifs… Moi je reste toujours dans le groupe des kadogos. On nous ordonne de chanter la chanson militaire «Tunapangia wajinga»*, une chanson qu’on apprend aux soldats en formation. Tshapu ne dit rien, même quand un des officiers rwandais nous dit de faire notre prière car notre dernière heure est arrivée.

Le Commandant Eric dit à un autre officier rwandais de faire avancer quarante kadogo avec leurs armes : le massacre commence. On débute par les officiers. Eric lui-même donne les ordres : il fait sortir les officiers des rangs par groupe de dix, fait signe aux Kadogo qui tirent dans le tas. Quatre vingt-six officiers meurent en moins de cinq minutes. Ensuite, ils nous regroupent ensemble, ex-FAZ non officiers et Kadogo et nous ordonnent de continuer à chanter.

Un rwandais passe au milieu des cadavres avec son revolver et tire sur tout officier qui semble encore en vie. Ensuite, il s’avance vers nous. Il est rejoint par un jeune soldat de l’escorte de Tshapul. Ce dernier pointe du doigt les ex-FAZ et toute autre personne qui ne lui plait pas. A chaque fois que le jeune homme montre quelqu’un du doigt, le Rwandais lève son pistolet et l’abat. Arrivé devant moi, le jeune soldat me pointe du doigt puis se ravise immédiatement et désigne celui qui est à mon côté. Il m’a bien regardé dans les yeux et un éclair est passé dans son regard, comme s’il m’avait reconnu. La piste n’est plus qu’une mare de sang, un amas de cadavres. L’holocauste a duré une trentaine de minutes. On nous dit de nous rasseoir par terre.

Une demi-heure après, un soldat munyamulenge, de la famille du Vice-Gouverneur Benjamin Serukiza, avec qui j’avais souvent partagé un verre m’attire à côté pendant que les autres ont le dos tourné. Il me fait monter dans sa Land-Rover et me remet une tenue militaire qui était sous le siège du conducteur. Il me dit de faire comme si j’étais son garde du corps en me confiant que j’avais de la chance car nul ne devait échapper au carnage. Quand il se rend compte que les autres sont distraits, il m’amène à l’écart et m’enferme dans un des containers vides de l’aéroport en promettant de venir me chercher plus t**d.

Il revient effectivement à la nuit tombée, me fait sortir et m’informe que les corps ont été enterrés au bord de la piste, d’autres brûlés à l’essence. Tshapul, Ilunga et Malekera sont déjà rentrés à Bukavu. L’officier me remet dans le groupe des soldats restés vivants à l’aéroport, en assurant qu’il reviendrait me prendre.
Quelques heures après le départ de mon « sauveur », un officier tutsi passe et demande à tous ceux d’entre nous qui savent lire et écrire de lever la main. Une fois de plus, une force inexplicable m’empêche de le faire. D’autres lèvent leurs mains espérant trouver ainsi le salut. Ils sont écartés du groupe et rangés à part. Parmi eux, ceux résidant à Bukavu sont triés et amenés devant les hangars de la Régie des Voies Aériennes.

Moins de cinq minutes plus t**d, de longues salves de mitraillettes crépitent, suivis de cris horribles. Je profite de l’obscurité et de la distraction de l’unique gardien resté pour nous surveiller et je m’éclipse discrètement dans les champs de manioc jouxtant la piste; je rampe jusqu’au bord d’un ruisseau où je reste étendu toute la nuit sans bouger ni faire le moindre bruit. Durant tout ce temps, les fusillades continuent du côté des hangars de l’aéroport.

Aux premières lueurs de l’aube, je m’avance prudemment à travers champs et bananeraies jusqu’à Kavumu village. Je pénètre dans un enclos, fonce dans une hutte d’où sort de la fumée; un vieux assis devant un feu de bois est surpris, et prend peur, en voyant un soldat faire irruption chez lui, tout sale. Je le tranquillise, prend place au coin du feu et me mets à lui expliquer ce qui m’est arrivé.

Le vieux est pris de pitié; il a entendu toutes les fusillades de la veille et de toute la nuit. Il m’offre l’hospitalité et me prie de rester caché chez lui jusqu’au jour où je pourrais juger de partir sans peur.

Deux jours après, le mercredi 5 août, je décide de partir. Je ne peux aller en tenue militaire; le vieux me donne des vêtements sales, un vieux manteau en lambeaux et un chapeau en paille fatigué. Il me prête une houe ébréchée et m’accompagne jusqu’à Kazingo, à l’entrée de Bagira. Il récupère la houe et rebrousse chemin. C’est ainsi que, déguisé en cultivateur, j’arrive à Bagira le soir, affamé, assoiffé, exténué. Aujourd’hui encore tous ceux à qui j’ai raconté mon histoire m’appelle «May-May », celui qui est invulnérable aux b***es.

Une semaine après la «libération de Bukavu», le lundi 10 août, tous les soldats de la garnison sont convoqués à une prise d’armes au Camp Saïo. Je m’y rends. Tshapul sursaute en me reconnaissant au moment où je le salue. Il tente de m’intimider sous prétexte que je me présente sans arme à la parade. Je lui demande par quel miracle je pouvais encore avoir un fusil après ce qui s’est passé à Kavumu. Il me fait signe de ne jamais rien dire à personne. Après la prise d’arme, il m’ordonne de monter dans son véhicule et me dépose devant la place de l’Indépendance. Il me remet trois billets de cent dollars et m’assure que je peux toujours lui demander n’importe quel service, il le fera.

Après plusieurs semaines, j’ai su que Juvénal Kachungunu et Epelela avaient réussi à s’enfuir, faisant le pied de Kavumu jusqu’à Kindu en passant par Bunyakiri. De Kindu, chef-lieu du Maniema, le Général Kalume qui y commandait l’armée régulière, les avait mis dans un avion militaire jusqu’à Kinshasa.

Tous les officiers présents à Bukavu avaient été au courant des préparatifs de la guerre; certains ont assisté aux réunions préliminaires qui avaient eu lieu à Cyangugu, au Rwanda. Les quatre-vingt-six officiers tués à Kavumu ont payé de leurs vies leur refus de trahir le pays en cautionnant l’agression rwando-ougandaise contre leur patrie. Ils ont été tués parce qu’ils n’ont pas obéi aux ordres de Tshapul qui dépassaient le cadre du coup d’Etat non sanglant planifié !

UN RESCAPÉ DU MASSACRE DE KAVUMU 😭

😭C'est avec tristesse que nous venons d'apprendre ta disparition la matinée de ce jeudi 14 mars 2024 cher grand frère et...
14/03/2024

😭C'est avec tristesse que nous venons d'apprendre ta disparition la matinée de ce jeudi 14 mars 2024 cher grand frère et ami, Vital lurhendeka, président de la nouvelle dynamique de la société civile noyau de bugorhe.
Avec des larmes Aux, car c'est notre chemin tous, repose en paix
[ BARACK ASHUZA JOURNALISTE ]

12/03/2024
Kavumu en deuil. Monsieur Blaise LUBAKABAKA(BANGE) vient de finir sa course après un moment de souffrance. Paix à son âm...
12/03/2024

Kavumu en deuil.
Monsieur Blaise LUBAKABAKA(BANGE) vient de finir sa course après un moment de souffrance.
Paix à son âme.
JK Kovo

♥️ Kavumu Explorer
11/03/2024

♥️ Kavumu Explorer

🔴   | Une jeune femme, âgée de 24 ans, donne naissance à deux bébés siamois  (jumeaux ou jumelles rattachés l’un à l’aut...
11/03/2024

🔴 | Une jeune femme, âgée de 24 ans, donne naissance à deux bébés siamois (jumeaux ou jumelles rattachés l’un à l’autre par deux parties symétriques de leur corps), en territoire de Kabare ( Sud-Kivu). "Ces bébés siamois sont nés avec des malformations congénitales et ont rendu l’âme aussitôt après leur naissance. Tandis que la jeune femme est en vie et que sa santé évolue normalement."

Bon dimanche à tous.Ne manquez pas de visiter cet endroit en achetant quelques choses dans leur magasin. Nous sommes au ...
10/03/2024

Bon dimanche à tous.
Ne manquez pas de visiter cet endroit en achetant quelques choses dans leur magasin.
Nous sommes au monastère Clarté Dieu des sœurs trappistines de Murhesa sur la route BUKAVU - KAVUMU, à 10km de kavumu.

Lui c'est David charles Ils fait notre fierté dans l'humour de chez nous.alors pour lui donner un maximum d'applaudissem...
09/03/2024

Lui c'est David charles
Ils fait notre fierté dans l'humour de chez nous.
alors pour lui donner un maximum d'applaudissements, abonnez-vous à sa page Facebook 👆🏾.

⚠️🚨 ALERTE 🚨⚠️Monsieur Maombi cinyanya dit Ludisi est entre la vie et la mort à l'hôpital de karhanda depuis le matin de...
06/03/2024

⚠️🚨 ALERTE 🚨⚠️

Monsieur Maombi cinyanya dit Ludisi est entre la vie et la mort à l'hôpital de karhanda depuis le matin de ce mercredi 6 mars 2023.

Selon une source familière, celui-ci a été tabassé par les militaires loyalistes après un malentendu avec l'un des ces militaires et la victime dans son champ à mbayu, où le militaire a tenté de tiré sur Monsieur Ludisi mais celui-ci a réussi à lui ravir son arme et l'a Rémi au chef de son village hier mardi 5 mars.
La même source signale que les militaires sont arrivés et ont récupéré l'arme chez le chef et sont partis avec la victime mais par une grande surprise,la victime a été retrouvée à l'hôpital de karhanda dans un état très critique.
Rappelons que c'est ne pas le premier cas, plusieurs personnes sont actuellement victimes de plusieurs Actes de ces militaires qui ravissent téléphones, argent et d'autres biens de valeur surtout dans les heures vespérales.
L'heure est grave à kavumu mais aucun des leaders du milieu ne hausse la voix.
Il faut qu'il y est mort d'homme encore pour marcher ?
BARACK ASHUZA JOURNALISTE

Kavumu 🥰📷 Illustration
04/03/2024

Kavumu 🥰
📷 Illustration

🥰🥰
01/03/2024

🥰🥰

Accident : le bus de transport des étudiants de l’université catholique de Bukavu ,venait de commettre un accident après...
26/02/2024

Accident : le bus de transport des étudiants de l’université catholique de Bukavu ,venait de commettre un accident après un problème de frein au moment où il voulait se joindre au campus de kalambo . Heureusement aucun mort n’a été identifié . Rappelons que les bus sont toujours trop surchargés semant la crainte dans la population.
Thaïs ben l'humoriste

Bonjour !,Hier, on m'a volé une mallette contenant des batteries, un chargeur pour mon appareil photo, ma machine ordina...
25/02/2024

Bonjour !,

Hier, on m'a volé une mallette contenant des batteries, un chargeur pour mon appareil photo, ma machine ordinateur ( marque Lenovo T460s verrouillés par empreinte et mot de pass ) et nombreux autres accessoires photographiques.

Je vous prie de nous signaler si quelqu'un essaie de vous les vendre ou si vous avez des soupçons concernant un suspect.
Merci pour votre générosité.

Rubin Koko"
R cloud visual

Légendes 😂
20/02/2024

Légendes 😂

Une des stratégies pour sauver la ville de Bukavu serait d'encourager ses habitants à se lancer, sans t**der, dans l'opé...
20/02/2024

Une des stratégies pour sauver la ville de Bukavu serait d'encourager ses habitants à se lancer, sans t**der, dans l'opération "TURUDI VIJIJINI". Et ça, Maître Aime Muhimuzi l'a compris. Un pionnier!!!

Sauver la ville de Bukavu passer par le désengorgement progressif de la ville, d'abord VOLONTAIRE, puis FORCÉ. Une ville ne peut pas se développer si les zones rurales qui l'entourent sont sous-développées.

Depuis quelques mois, Maître est en train de faire sortir de terre ce bijoux. Objectif : avoir sa résidence loin de l'agitation de Bukavu, dans un coin où l'on peut respirer l'air frais, où l'on peut avoir un jardin aménagé, faire son potager, etc. Sur la route menant vers l'aéroport de Kavumu, à une dizaine de kilomètres du centre-ville de Bukavu, Maître Aimé, qui est déjà un grand bâtisseur (propriétaire des Résidences ABM, en plein centre-ville de Bukavu), nous impressionne à travers ce chantier qui ne laisse personne indifférent. Tous ceux qui passent par là sont impressionnés par l'immensité et la finesse des travaux qu'il entreprend.

, mkubwa Aimé!

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18/02/2024

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Mentionne le drapeau de ton pays
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15/02/2024
Bukavu ville ♥️Suivez-nous sur 👇Kavumu Explorer
14/02/2024

Bukavu ville ♥️
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12/02/2024

Riez un peu 😁😁😁😁

L'appareil qui nous donne des bonnes images. Merci à Fiston Wasanga HQ
12/02/2024

L'appareil qui nous donne des bonnes images.
Merci à Fiston Wasanga HQ

10/02/2024

0 🇿🇦 🔴🟢🟢🟢🟢🟢🟢
0 🇨🇩 🟢🟢🟢🟢🔴🟢🔴

La RDC à la 4e place dans cette CAN. 🇨🇩0(5-6)0🇿🇦
10/02/2024

La RDC à la 4e place dans cette CAN.
🇨🇩0(5-6)0🇿🇦

Concentrons nous à la guerre qui menace notre pays 🇨🇩Force au léopard de la république démocratique du Congo 🇨🇩
07/02/2024

Concentrons nous à la guerre qui menace notre pays 🇨🇩
Force au léopard de la république démocratique du Congo 🇨🇩

07/02/2024

Côte d'ivoire ouvre le score
🇨🇮1-0🇨🇩

07/02/2024

Nigeria Qualifié 🇳🇬

Plus jamais seul.Le Kivu mérite mieux ❣️Nous voulons la paix 😭
06/02/2024

Plus jamais seul.
Le Kivu mérite mieux ❣️
Nous voulons la paix 😭

NOUS SOMMES EN GUERRE 🇨🇩😢
05/02/2024

NOUS SOMMES EN GUERRE 🇨🇩😢

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