Groupe d'actions Pour la Reconciliation et la Paix

24/05/2024

Marmaille dans l'industrie du Livre en Côte d'Ivoire
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IL URGE QUE LES ÉCRIVAINS ET L'ENSEMBLE DES AUTEURS SE FORMENT EN VUE DE CONNAITRE LEURS DROITS.
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Par l'écrivain Sylvain Kean Zoh
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Ces dernières années, l'industrie ivoirienne du livre connait un véritable essort avec l'émergence de nouveaux écrivains et de nouvelles maisons d'édition. Le nombre d'acteurs du livre présents chaque année au SILA l'atteste d'ailleurs.

Il est cependant indéniable qu'à quelques rares exceptions par ailleurs à saluer, l'industrie du livre de Côte d'Ivoire est en proie à des maux qui, s'ils ne sont pas éradiqués, risquent de faire d'elle un simple lieu de prédilection de prédateurs n'ayant aucun respect pour le livre et pour l'auteur.

Au nombre de ces maux, mentionnons le refus de certains acteurs de l'industrie du livre, ici des éditeurs véreux, d'appliquer les lois, règlements et conventions en vigueur.

C'est le lieu de rappeler aux jeunes auteurs, et même aux anciens, que pour protéger le livre et son auteur, la Côte d'Ivoire s'est dotée de lois dont la loi relative aux droits d'auteur et la loi relative à l'industrie du livre. Elle a également ratifié des conventions internationales telles que le code de la propriété intellectuelle. Tout auteur soucieux de sa carrière doit s'approprier ces textes.

En réalité, un éditeur malveillant jouera sur la méconnaissance de ces lois par l'auteur pour lui proposer un contrat de nature à le spolier au maximun de ses redevances d'auteur. A ce propos, il faut encourager le ministre de la Culture à se doter d'agents littéraires ou à donner les pouvoirs nécessaires à ceux qui existent déjà afin qu'ils encadrent efficacement les auteurs.

Pour information, en matière d'édition de livre, il y a plusieurs types de contrat auxquels je consacrerai mon prochain post.
Dans cette attente, demeurons unis pour la cause du livre et de l'auteur.
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25/03/2024

Industrie du livre en Côte d'Ivoire
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JE REPRENDS MON COMBAT CONTRE LA MARMAILLE QUI EMPÊCHE LES ÉCRIVAINS IVOIRIENS DE VIVRE DE LEUR ART.
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Dès ce jour, lundi 25 mars 2024, je reprends mon combat pour la cause de l'écrivain ivoirien.

C'est un combat que j'avais engagé en 2012 mais qui a été boycotté par le groupuscule de personnes qui, sans le mériter nécessairement, profite de l'industrie du livre en Côte d'Ivoire.

Je ne cherche ni médaille ni décoration. J'ai déjà la reconnaissance de l'État de Côte d'Ivoire qui, en plus d'avoir agréé deux de mes romans au programme scolaire, en 4e et 1ere, et recommandé un troisième sans précision de classe, a plusieurs fois tiré des sujets d'examens et concours de mes oeuvres.

Mon objectif, en relançant mon combat pour la cause de l'écrivain ivoirien, est que les auteurs qui le méritent puissent vivre de leur art, et que soit mis fin à la rétrograde conception expressément entretenue selon laquelle l'écriture n'est pas un métier dont l'on peut vivre

Je partirai de mon exemple personnel vous montrer à tous comment la mauvaise foi et l'affairisme de certains acteurs de l'industrie du livre tuent les écrivains ivoiriens malgré l'existence de lois qui les protègent.

Il importe de noter qu'à priori, ce combat n'est nullement dirigé contre le gouvernement ivoirien. C'est un combat qui devrait plutôt l'aider à mieux structurer l'industrie du livre afin que les écrivains n'en soient plus les parents pauvres.
Que Dieu protège les écrivains.
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Sylvain KEAN Zoh
Écrivain en lutte.
(Photo d'archives)

17/04/2023

ON PEUT ÊTRE UTILE À SON PAYS PARTOUT
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Je n'ai plus beaucoup mal à la tête depuis que j'ai arrêté de me prononcer sur l'actualité politique en Côte d'Ivoire. Je vais garder cette position pendant longtemps encore. En effet, faire la politique, c'est aussi savoir se taire à un moment pour observer. Et puis, il n'y a pas que la politique dans la vie. Il y a par exemple l'organisation socio-économique, culturelle, sportive et touristique de nos différentes localités.Je m'attelle actuellement à me rendre utile sur ces derniers points en ce qui concerne mon Canton (le canton OUA) situé dans le département de Danané, à l'ouest de la Côte d'Ivoire.
Politique d'accord mais bien-être des populations d'abord.
Je ne suis contre personne. Je suis pour la Côte d'Ivoire et invite ceux qui le peuvent à faire comme moi.
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Sylvain KEAN ZOH
Écrivain, momentanément Président du Comité Scientifique de la mutuelle pour le développement du canton OUA.

02/03/2023

Politique ivoirienne et sourde oreille du pouvoir Ouattara
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JE VAIS DÉSORMAIS ME TAIRE ET OBSERVER.
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Il se dit en Côte d'Ivoire que l'opposition ne fait pas de proposition constructive. Ce n'est pas vrai. Les vrais opposants (je ne parle pas de ceux qui dorment à l'ouest, au sud, à l'est ou au centre et qui se réveillent tous les matins à Kong) font chaque jour des propositions pour faire avancer notre pays.

Le problème est plutôt que le pouvoir Ouattara, dans sa volonté de réduire l'opposition à sa plus simple expression, n'écoute que ceux qui lui disent qu'ils ont faim et négocient des postes pour se nourrir.

En ce qui me concerne, si malgré la sourde oreille du régime Ouattara, j'ai toujours fait des propositions, notamment à propos de la réconciliation, des élections et du coût de la vie, c'est parce que je refuse de voir la Côte d'Ivoire s'embourber à nouveau, les Ivoiriens ayant déjà beaucoup souffert.

Mais à l'impossible, nul n'est tenu. Si quelqu'un tue son coq et décide de le manger seul alors que tout le monde autour de lui a faim, il faut le laisser faire jusqu'à ce qu'il n'ait plus de nourriture. Il comprendra alors le sens du partage. En politique en effet, comme dans la vie tout court, il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas.

Je le répète toutefois, les embellis qu'on nous montre chaque jour à la télévision ne sont que des embellis de façade qui ne sauraient être substitués a la nécessité d'une vraie réconciliation, à la nécessité d'un partage équitable des fruits de notre richesse et à la nécessité de créer ensemble les conditions d'élections paisibles, inclusives, transparentes et démocratiques.

Apparemment, avec le pouvoir Ouattara, c'est prêcher dans le désert que de rappeler tous ces points. C'est pour cela que je vais me taire et observer jusqu'en 2025 dans l'espoir que d'ici là, Dieu Lui-même aura parlé aux tenants du pouvoir.
Ce n'est donc qu'un au revoir, le temps pour moi, tout en observant de loin, de me consacrer à mes mémoires.
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Sylvain KEAN Zoh
Toujours avec la Côte d'Ivoire

22/08/2022

28/06/2021

08/03/2020

PRESIDENTIELLES 2020 EN CÔTE D'IVOIRE
L'UMP en conclave le 15 mars pour une dernière relecture de son projet de société.

05/12/2018

Côte d'Ivoire
Sylvain Kean Zoh appelle les Ivoiriens à écrire autrement l'histoire du pays, sans Ouattara ni Bédié.
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La bonne question aujourd'hui en Côte d'Ivoire n'est plus de savoir si Ouattara et Bédié seront candidats à la présidentielle de 2020.
En effet, pour qui connait ces deux personnalités et la volonté de l'une de s'imposer definitivement à l'autre, il n'y a plus de doute qu'à défaut de dauphins compétents et compétitifs, ils seront tous candidats en 2020.
La bonne question est donc de savoir combien d'Ivoiriens sont véritablement prêts à suivre Bédié ou Ouattara dans leur opposition sans fin et nuisible à la Côte d'Ivoire.
Autrement, les Ivoiriens seront-ils politiquement assez matures pour ne pas suivre Ouattara et Bédié en 2020 ? Il faut l'espérer pour l'alternance et le renouveau.
C'est, en effet, le temps de se déterminer et d'écrire autrement l'histoire de la Côte d'Ivoire, sans Ouattara ni Bédié que leurs éternels suiveurs veulent nous présenter comme étant les seuls à construire la Côte d'Ivoire.
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Sylvain Kean Zoh
Ècrivain
Président de l'Ump
«Pour l'alternance et le renouveau »

26/01/2018

"Face à l'incapacité notoire du régime Ouattara à trouver de vraies solutions aux problèmes des Ivoiriens, nous exigeons un gouvernement d'union nationale".
Sylvain Kean Zoh
Président de l'Ump
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Avec les Ivoiriens et le monde entier, nous faisons l'amer constat de l'incapacité du régime Ouattara à répondre aux attentes du peuple.
Cette incapacité qui s'apparente à de la négligence voulue, nous oblige à veiller aux grains pour que soit mis fin à la souffrance des Ivoiriens.
Nous saluons d'ailleurs la détermination du peuple ivoirien grâce à qui Alassane Ouattara vient de suspendre l'annexe fiscale pour une meilleure révision. Mais nous savons tous que le serpent n'est pas encore mort et restons vigilants.
En effet, même si cette reculade de Ouattara peut être interprétée comme une victoire, nous avons encore de nombreuses revendications qui restent insatisfaites telles l'urgente question d'un gouvernement d"union nationale qui sera chargé d'apporter de manière transparente des réponses aux besoins pressants du pays.
Ouattara est certes le président élu mais il doit avoir l'humilité de comprendre qu'en l'état actuel des difficultés du pays, il ne pourra pas trouver des solutions à lui seul et qu'en se renfermant sur lui-même, c'est notre avenir collectif qu'il met en péril.
Il n'y donc qu'un gouvernement d'union nationale qui pourra jeter les bases d'une véritable réconciliation, lutter efficacement contre l'insécurité, influencer à la baisse le coût de la vie, ...et préparer des maintenant les conditions des élections transparentes en 2020.
Dès lors, la formation d'un gouvernement d'union nationale devient non plus une doléance mais une exigence à laquelle nul ne peut et ne doit s'opposer.
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Sylvain Kean Zoh
Président de l'Ump
Pour l'alternance et le renouveau.

12/01/2018

"Lâchez-moi un peu les baskets!
Rien ne me fera changer de cap."
Sylvain Kean Zoh
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Quand dans un pays le peuple est confronté au chômage, à la cherté de la vie, au manque se sécurité sociale,...etc;
Quand dans un tel pays, le chef d'état major des armées, malgré toute sa garde, se fait voler son téléphone portable et son argent;
Quand dans ce même pays, des éléments des forces de défense et de sécurité en arrivent à se faire la guerre à l'arme lourde, les uns allant jusqu'à exiger le départ des autres, alors que seule leur hiérarchie peut déterminer leurs lieux d'affectation;
Quand enfin dans ce pays, l'école est "dirigée" par les élèves, que les enfants microbes agissent impunément et que les braqueurs font la loi;
Il ne faut pas avoir peur d'attirer l'attention des autorités sur les risques que court le pays.
Pourtant, en Côte d'Ivoire, ceux qui élèvent la voix pour dire la vérité récoltent récriminations et menaces de mise à l'écart s'ils ne sont simplement pas considérés comme des ennemis de la république.
Mais je veux le dire tout net. Ceux qui, agissant pour les besoins de leurs ventres, croient pouvoir me décourager par leurs petites manigances se trompent de combat. Allez chercher vos ennemis ailleurs!
Par ailleurs, je n'ai pas créé un parti politique pour me taire. Je parlais déjà avant de faire mon entrée en politique et je continuerai à parler même après avoir pris ma retraite politique. Je ne me laisserai donc intimider par personne. Ma place est avec le digne peuple de Côte d'Ivoire et je m'y sens bien. Lâchez-moi donc un peu les baskets!
A bon entendeur, ...Salut.
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Sylvain Kean Zoh.
Pour l'alternance et le renouveau

24/08/2017

"La réconciliation et la paix sont des mots faciles à prononcer mais difficiles à mettre en oeuvre. Ne les réussit pas qui veut mais qui en a les atouts". Sylvain Kean Zoh.