Djibouti faucon du golfe SARL

10/09/2023

Le projet a débuté début 2022 avec une étude de faisabilité entreprise par Toyota Royaume-Uni et Toyota Motor Europe. Le financement obtenu auprès du gouvernement britannique a permis le lancement du programme de conception et développement, dans l’usine Toyota de Derby (Angleterre), dès le 1er juillet 2022. La construction du prototype a commencé le 5 juin de cette année et le premier véhicule (d’une série de dix qui seront construits d'ici fin 2023) a été achevé en à peine plus de trois semaines.

Ces délais peu courants dans le domaine de l’automobile ont été rendus possibles par la réutilisation des éléments centraux de la pile à hydrogène de la Toyota Mirai. S'y ajoute l’appui d’un groupe de sous-traitants hyperspécialisés dans la production de voitures à hydrogène (Ricardo, ETL, D2H Advanced Technologies, Thatcham Research).

25/08/2023

Points forts
Plongez avec les requins-baleines et les raies manta
Ambiance intime avec seulement 14 invités
Assistez à des migrations uniques de la vie marine
Le superbe MSY Elegante est une goélette en bois traditionnelle offrant des croisières à Djibouti chaque année entre novembre et janvier. Durant cette période, les eaux sont riches en nutriments et en plancton et les requins-baleines s'y arrêtent durant leur migration annuelle pour se nourrir. En plus des requins-baleines, les plongeurs pourront également rencontrer des raies mantas, et plonger sur de spectaculaires récifs et épaves, loin des foules de la mer Rouge.

À la surface, le MS/Y Elegante peut héberger 14 passagers dans 7 cabines. Chaque cabine dispose d'un lit double/lits jumeaux, salle de bain et climatisation. Les espaces communs incluent un salon intérieur avec espace de divertissement et un salon restaurant extérieur couvert, l'endroit parfait pour se détendre sous la brise en admirant le paysage.

Pour tout renseignement contactez
[email protected]

25/08/2023

Une envie irrésistible de panoramas étonnants ? C’est au creux de la Corne de l'Afrique que Djibouti déploie un contraste incroyable entre désert et mer. Resté en marge des destinations prisées, ce petit pays regorge de paysages grandioses. Découvrez l’aridité saisissante du lac Assal, l'un des points les plus bas du continent africain. Férus de plongée, ou de snorkeling ? Les étendues bleutées du golfe de Tadjourah en mer Rouge vous raviront, c'est un lieu prisé des plongeurs pour sa richesse en faune marine.

05/05/2023

23/03/2023

16/01/2023

JUMCA MUBARAK

07/01/2023

08/11/2022

08/11/2022

05/08/2022

01/08/2022

Sailing in SW Greenland is magical and nerve wracking at the same time. Navigating around big icebergs like this one is easy, it’s the smaller bergs bits and growlers that demand constant attention. But it’s definitely worth the stress, it’s a true wilderness.

We saw 4 other sailboats in 1700 miles between Lewisporte, Newfoundland and Hafnarfjourer Iceland.

Thanks to Levi for capturing this drone shot of Quetzal sailing past the iceberg.

26/12/2021

22/12/2021

A Man from Afar with a beautiful Woman from Wollo.

Afar people also known as the Danakil, Adali and Odali, are an ethnic Cush*tic peoples inhabiting the Horn of Africa.

Wollo is a historical region and province in the northeastern part of Ethiopia, with its capital city at Dessie.

Photo via promise land

11/10/2021

26/01/2020

Le Temps
Le Temps - Site média Suisse
Plus d'information sur l'imageBader Muhareb al-Deeri est tombé dans les griffes de la fauconnerie il y a presque trente-cinq ans.
© Sebastian Castelier
ENVIRONNEMENT
Au Koweït, l’engouement croissant pour les faucons sauvages et illégaux
Au Koweït, la faucon mania a conquis la jeunesse du pays. Le rapace s’achète et s’offre comme un signe de prestige et une marque de respect. Malgré cela, le traditionnel savoir-faire relatif à l’histoire du Golfe s’efface au profit de la parade égocentrique

Quentin Müller, Koweït - Photos : Sebastian Castelier
Publié vendredi 2 août 2019 à 15:42, modifié mardi 6 août 2019 à 18:34.



Un pigeon déplumé boite lentement à l’intérieur d’une petite cour. Quand il franchit le pas d’une porte donnant sur un salon climatisé, une femme en abaya noire crie: «Oh non! Fais-le sortir! Les oiseaux, ça suffit!» Bader Muhareb al-Deeri suit le pas lent du pigeon avec attention, puis lance un regard désolé à sa femme. L’homme est tombé dans les griffes de la fauconnerie il y a presque trente-cinq ans. Depuis, il n’a jamais cessé de s’intéresser aux animaux ailés.

Shareefa, son épouse, se rappelle: «Pendant notre lune de miel, son meilleur faucon est tombé malade. Alors il m’a laissé seule pour aller le soigner dans une clinique spécialisée au Bahreïn.» «Les faucons, c’est notre sang», lui rétorque Bader, le sourire aux lèvres. Dans le Golfe, le faucon a longtemps été un animal vital à la survie des tribus nomades du désert. Le prédateur dompté servait à chasser le petit gibier. Mais depuis la sédentarisation des populations du Golfe et l’exploitation du pétrole, le Koweït et les autres émirats n’en ont plus l’utilité pour se nourrir. Le rapace est cependant resté très présent dans la culture et l’imaginaire local.

Un des faucons de Bader Muhareb al-Deeri. Sebastian Castelier
Un faucon pour faire joli
Dans son salon, Bader s’est assis sur son canapé gris. Des dattes et du café arabe parfumé à la cardamome ont été déposés sur un plateau argenté. Il se sert, puis entame une réflexion sur le paysage de la fauconnerie dans son pays. «Il y a trente ans, il n’y avait pas autant de fauconniers. Mais, de nos jours, tous ne sont pas de vrais professionnels. Certains veulent simplement acheter un faucon pour faire joli dans un Majlis [pièce de discussion réservée aux hommes] ou pour parader devant les filles. D’autres personnes n’utilisent les faucons que pour les courses», souffle Bader tout en caressant sa large barbe.

07/01/2020

Marine Blodiversity SENCKENBERG https: /dolorg/10.1007/s12526-018-00934-8 COURTE COMMUNICATION CrussMark Requin baleine se nourrissant de poissons-appâts au large de Djibouti G.Boldrocchi 'o • R. Bettinetti Reçu le 14 septembre 2018 / Révisé le 6 décembre 2018 / Accepté: 14 décembre 2016 O Senckenberg Gesellschaft für Naturforschung 2019 Résumé Dans le golfe de Tadjoura, en République de Djibouti, les requins-baleines (Rhincendon typus Smith, 1828) sont connus pour se nourrir d'une grande variété d'organismes du zooplancton. Pourtant. pour la première fois dans cette zone, sept requins baleines juvéniles ont été filmés se nourrissant d'un banc de poissons-appâts (anchois). Au cours de l'événement, des échantillons de zooplancton ont été prélevés et de la biomasse a été calculée.Les résultats soutiennent l'hypothèse selon laquelle, lorsque des pateches denses de z0oplancton ne sont pas disponibles dans le golfe de Tadjoura, les requins-baleines restent dans la région et se nourrissent de proies alternatives riches en énergie, telles que les poissons-appâts. , pour répondre à leurs demandes énergétiques. Mots-clés Excréments de filtres - écologie alimentaire Bain-ball Golfe d'Aden Introduction Storai 2010), en utilisant cet arcu comme terrain d'alimentation pendant ces mois (Boldrocchi et al.2018). L'occurrence du requin baleine Le requin baleine (Rhincodon typus Smith, 1828) est un filtreur d'alimentation qui habite tous les océans, des latitudes tropicales aux régions tempérées (Colman 1997). Plusieurs études sur ses préférences indiquent que les requins-baleines se rassemblent dans les habitats côtiers pour se nourrir de plaques denses d'organismes du zooplancton (Colman 1997; Compagno 2001; Stevens 2007; Rowat et Brooks 2012). Les proies inéludent les copépodes (Clark et Nelson 1997), le krill (Gunn et al.1999; Wilson et al, 2001: Taylor 2007), le crabe larvue (Meckan et al.2009). les sergestides (Rohner et al, 2015), le frai des poissons (Heyman et al.2001: De la Parra Venegas et al.2011). 20oplancton gélatineux et chaetognathes (Rowat et al. 2007: Taylor 2007). Des études récentes indiquent que les requins-baleines se nourrissent sur une aire d'alimentation plus large. y compris le macrozooplancton démersal et en eau profonde et les poissons (Duffy 2002; Borrell et al.2011: Rohner et al.2013: Marcus et al, 2016). À Djibouti, les requins-baleines se regroupent régulièrement d'octobre à février (Rowat et al.2007, 2011; Rezzolla et pourraient être liés à une augmentation de la biomasse de zooplonkton due à la remontée des monsons du sud-ouest (Boldrocchi et al.2018). À Djibouti , des requins baleines ont été observés ciblant des plaques denses de copépodes chaetognaths, salpes et larves de crevettes mantes (Rowat et al. 2007; Rezzolla et Storai 2010). Dans la présente note, nous fournissons la première observation de guêpes de baleines se nourrissant sur une école de poissons appâts (anchois) au début de la période d'agrégation Matériel et méthodes Le 16 octobre 2017 dans le golfe de Tadjoura (11 "34,596 'N 42 47.468' E) à 11h30, sept requins baleines ont été filmés et photographiés se nourrissant d'un école d'anchois (Fig. 1. séquences vidéo complètes fournies dans la ressource en ligne 1). La reconnaissance des poissons-appâts a été faite par le Dr Moussa du Centre d'Erudde et de Recherche de Djibouti, qui a été témoin de l'événement. Pendant l'alimentation déseribée événement, un zoo un échantillon de plancton a été prélevé à proximité (

07/12/2019

Djibouti a été désignée capitale mondiale du tourisme et de la culture pour 2018. Une importante cérémonie de remise des documents officiels par une délégation du Conseil européen du tourisme et de la culture, conduite par son président, a eu lieu jeudi à Djibouti-Ville en présence notamment du chef de l'Etat djiboutien, Ismaïl Omar Guelleh.

"Cette distinction, aussi méritoire qu'elle soit, nous ne la prenons ni comme une consécration, ni comme une récompense. Mais comme un encouragement. Un encouragement à persévérer sur la voie que nous nous sommes tracée dans le développement du tourisme", a déclaré le président Guelleh, reconnu en mars en tant que "leader mondial du tourisme" et membre de l'Académie européenne du tourisme.

Il a surtout tenu à rappeler que beaucoup de personnes de par le monde réduisent encore son pays "à des clichés et à des étiquettes anachroniques."

Il y a, a-t-il dit, différentes façons de définir et de percevoir Djibouti. "Certains parlent de nous comme d'un caillou au milieu du désert. D'autres, sans doute nostalgiques d'une époque coloniale pourtant révolue, nous réduisent à une pancarte sur laquelle est écrite 'Territoire (français) des Afars et des Issas'. Les plus innovants nous identifient à une base géostratégique pour les puissances militaires."

"Pour nous et pour tous ces citoyens du monde qui ont eu l'occasion de séjourner dans notre pays, Djibouti, c'est cette terre de rencontres et d'échanges aux confluents de toutes les routes, maritimes, terrestres et aériennes. Djibouti, c'est une histoire et même une préhistoire que la géologie, la géographie et l'archéologie ne cessent de raconter à travers les temps et les âges", a-t-il insisté.

"Djibouti a fait le choix d'un tourisme de niche, qui met en relation les individus, les cultures et les civilisations. Le choix d'un tourisme qui a un rôle important à jouer dans le dialogue des cultures et dans le vivre ensemble. Le choix de l'équilibre entre nos objectifs de développement et l'indispensable protection de nos patrimoines sociaux, culturels et environnementaux", a-t-il dit.

"C'est un choix difficile dont les dividendes, bien que prometteurs, sont pour l'heure encore maigres. Mais un choix que mon pays assume par devoir d'équité et de justice vis-à-vis des générations futures de notre pays", a reconnu enfin le chef de l'Etat djiboutien

02/12/2019

Biodiversité marine SENCKENBERG https // dolorg / 10.1007 / s12526-018-00934-8 COMMUNICATION SUCCINCTE CrssMark Requin-baleine se nourrissant de poissons-appâts au large de Djibouti G. Boldrocchi'o R. Bettinetti Reçu: le 14 septembre 2018 / révisé le 6 décembre 2018 / accepté: le 14 décembre 2018 Senckenberg Gesellschaft für Naturforschung 2019 Résumé Dans le Golfe de Tadjoura, dans la République de Djibouti, les requins baleines (Rhincodon typus Smith, 1828) se nourrissent d'une grande variété d'organismes zooplanctoniques. Toutefois. pour la première fois dans cette région, sept jeunes requins baleines ont été filmés en train de se nourrir d'un banc de baifish (anchois). Pendant l'événement Des échantillons de zooplancton ont été recueillis et la biomasse calculée, les résultats confirment l'hypothèse voulant que, lorsque des zones denses de zooplancton ne sont pas disponibles dans le golfe de Tadjourn, les requins-baleines restent dans la région et se nourrissent de proies riches en énergie, telles que les poissons-appâts, pour répondre à leurs besoins énergétiques. demandes. Mots-clés Filtres filtrants Cologie de l'alimentation Bait-ball Giulfof Aden Introduction Storai 2010), utilisant cette arca comme terrain d'alimentation pendant ces mois (Boldrocchi et al. 2018). Présence de requin-baleine Le requin-baleine (Rhineodon typus Smith, 1828) pourrait être lié à une augmentation de la biomasse de zooplancton due au filtre-filtre qui habite tous les océans, de l'upwelling de mousson (Boldrocchiet al. 2018) tempéré latitudes (Colman 1997). À Djibouti, plusieurs études portant sur des requins-baleines ciblant des zones denses indiquent que les requins-baleines se rassemblent dans des zones côtières de copépodes chaetognaths, salps et crevettes mantis pour se nourrir de zones denses d'organismes de zooplancton (Colman, 1997; Compagno, 2001). : Stevens 2007: note présente, nous fournissons la première observation de requins-baleines (Rowat et Brooks 2012). Les proies comprennent les copépodes (Clark se nourrissant sur un banc de poissons-appâts (anchois) au début et Nelson 1997), le krill (Gunn et al. 1999; Wilson et al. La période d'agrégation. 2001: Taylor 2007), le larvac de crabe (Meckan et al. 2009). sergestides (Rohncr et al. 2015), ponte de poissons (Heyman et al. 2001: De la Parra Venegas et al. 2011). Matériel et méthodes gélatineux zoplancton et chaetognaths (Rowat et al. 2007: Taylor 2007). Des études récentes indiquent que les requins-baleines se nourrissent dans une aire d'alimentation plus large, y compris les eaux démersales et profondes 42 47,468 E) à 11 h 30, sept requins-baleines ont été filmés avec du macrozooplancton et des poissons (Duffy, 2002; Borrell et al. Et photographiés se nourrissant banc d’anchois (Fig. 2011: Rohner et al. 2013: Marcus et al. 2016). À Djibouti, les requins baleines s’agglomèrent régulièrement à partir de la reconnaissance des poissons hait par le Dr Moussa du Centre d’octobre à février (Rowat et al., 1996). 2007. 2011: Rezolla et d'Fude et de Recherche de Dijibouti, témoin aux larves (Rowat et al. 2007; Rezzolla et Storai 2010), le 16 octobre 2017 dans le golfe de Tadjoura (11 ° 34.596). Complétez la séquence vidéo fournie dans la ressource en ligne 1. L'événement Au cours de l'événement d'alimentation souhaité, un échantillon de zooplancton a été prélevé à proximité (

13/11/2019

Le lac Assal

République de Djibouti (N 11°41’-E 42°25’)

Le Lac Assal est un lieu unique au monde : une vaste dépression à cent cinquante mètres au-dessous du niveau de la mer (à peine distante de quelques kilomètres). Toute la partie ouest est formée d'un grand croissant de sel qui a plus de soixante mètres d'épaisseur. L'eau du lac est très salée et la vie y est presque absente. Des volcans dont la lave borde le lac sont situés dans la partie est et l'on trouve une source d'eau chaude à proximité. Les Afars opposent le lac Assal au Ghoubet : le premier est le lac blanc et lumineux (ado bad) et le second est le lac sombre et obscur (data bad).

13/11/2019

Le lac Assal fait partie du territoire des Assayammara de Tadjourah. En 1866, les Afars d'Awasa prétendirent s'en emparer et ils brûlèrent Tadjourah. Mais peu après les Assayamara reprirent possession du lac Assal, dont ils sont traditionnellement les maîtres. L'idée d'exploiter industriellement le sel est ancienne. Rimbaud en parle mais pense la chose impossible car il aurait fallu convoyer le sel vers le Ghoubet, ce qui nécessitait selon lui la construction d'un petit chemin de fer (decauville), impossible à réaliser à l'époque.

Au début de la période coloniale, vers 1886, un Français prit une concession pour l'exploitation de sel, mais rien ne fut entrepris. La Côte Française des Somalis produira beaucoup de sel, mais à Djibouti où seront installées des salines extrayant le sel de mer.
La première exploitation démarre avec Le Fay en 1899 et sera poursuivie par la Compagnie des Salines créée en 1910. Elle se développera au fil des années et connaîtra un essor considérable puisque la production atteindra plusieurs milliers de tonnes par an.

07/02/2019

La Ville d’Obock est la capitale Régionale de la Région d’Obock située au Nord de la République de Djibouti. Elle est située à l’entrée de la Mer Rouge prés du Détroit du Mab-El-Mandeb qui sépare l’Afrique et l’Arabie.

31/01/2019

Ras siyan

22/01/2019

Obock. Dernière ville septentrionale de Djibouti. Tout au Nord, coincée entre la mer bleue et l’Erythrée, ancienne capitale de Djibouti, de 1860 à 1880, avant que le site de l’actuelle Djibouti ne soit retenu pour édifier le port et être la terminaison (nerveuse) de la ligne de chemin de fer reliant ce territoire de nomadisme à Addis-Abeba. Obock qui déroule ses journées, toutes semblables les unes aux autres, dans le petit périmètre de son urbanisation centenaire, et dans la chaleur de l’hiver, une rue principale, piétonne de fait, sans besoin d’arrêté municipal, peu de voitures montent jusque là, et qui a la léthargie des villes côtières un peu oubliées, déclinantes, tenues à distance respectable des lieux des pouvoir et de marasme des vraies métropoles.

25/12/2018

Retrouvailles avec de amis de longue date au mangrove de godoria

La mangrove de Godoria est composée de Ceriops tagal avec une frange de Avicennia marina et de Rhizophora mucronata. Elle est située sur la côte nord, entre Obock et Khor Angar et est la plus importante du pays.

25/12/2018

La mangrove de Ras Syan est composée uniquement d’Avicennia marina. Cette mangrove est une longue et étroite lisière qui longe la plage située à proximité de la baie aux eaux peu profondes de Ras Siyan. Ces arbres jouent un rôle significatif de stabilisateur des côtes.

20/12/2018

Je vais terminer cette année par une nouvelle immersion dans la nature obockois ! Un retour sur 7 frères. de plateau que j'ai sillonné ...

13/12/2018

Une Sortie du cohésion au lac assal

08/12/2018

LE PHARE DU RAS BIR

Ce phare se trouve à Obock, au nord du Golfe de Djibouti.

" La case Lagarde ", devenue résidence du commandant de cercle, a été sauvée du pic des démolisseurs. Mais le pénitencier et le hizaret (...) tant l'ancienne tour carrée qui servait d'amer et que domine aujourd'hui le moderne phare de Ras Bir. Commandant l'entrée du passage maritime important que constitue le détroit de Bab el-Mandeb, cet édifice ne comportait pourtant, dix ans avant l'indépendance, qu'une grosse lampe à pression fonctionnant au gas-oil alimentée par des bidons portés à dos d'homme le long de ses 238 marches, dont les quatre degrés de l'échelle métallique terminale, " travail pénible, mais exécuté sans défaillance par des bédouins sédentarisés ". Un des anciens commandants de cercle nous disait à propos de ce travail à la bonne exécution duquel il avait concouru pendant plusieurs années ; " A l'époque, veiller au fonctionnement du phare de Ras Bir, c'était ma façon de veiller, à mon modeste niveau, au salut de l'Empire. "

Nous remercions Jean-Louis pour ces photos et la documentation.

RETOUR

07/12/2018

Le souvenir d'un beau vieux temps.

06/12/2018

Depuis toujours Voyageurs du Monde est fidèle à cette évidence devenue aujourd’hui principe. « On ne parle bien que des pays que l’on connaît par cœur ». C’est pourquoi à Paris comme dans nos 14 agences de voyage régionales, chaque conseiller Djibouti est un véritable spécialiste de cette destination.

Pour certains, natifs du pays, pour d’autres, passionnés depuis toujours par le Djibouti, tous sont à même, par leur parfaite connaissance du terrain, de vous conseiller, de vous guider et de vous faire découvrir toutes les richesses et particularités du Djibouti.

Quand certaines agences de voyages au Djibouti ne regardent que la seule formation touristique de leur personnel, Voyageurs du Monde privilégie la connaissance et la passion. Ainsi certains de vos interlocuteurs sont historiens, géographes, professeurs en langue orientale ou simplement fous de voyages.

Conscient de cette particularité qui fait tout l’esprit Voyageurs du Monde, nous consacrons une partie importante de notre budget à la formation sur le terrain. Visiter les nouveaux hôtels, suivre sur place l’évolution des structures d’accueil, se tenir informé des nouveaux lieux culturels, et tout cela sans jamais hésiter à sortir des sentiers battus, font partie intégrante du métier de Conseiller Spécialiste Voyageurs du Monde.

C’est pourquoi si vous ne trouviez, dans une de nos agences de voyage régionales, le spécialiste que vous recherchez, soyez sûr que vous serez immédiatement mis en rapport avec celui d’une autre agence