Blida ville des roses

Blida ville des roses Informations de contact, plan et itinéraire, formulaire de contact, heures d'ouverture, services, évaluations, photos, vidéos et annonces de Blida ville des roses, Rue el bey khaled bt A blida, Blida.

28/02/2024
20/12/2023
11/09/2023

📌هااام للشعب العلمية ‼️
توقيت حصص يوم الثلاثاء 12 سبتمبر
على الساعة 9:00
على الساعة 13:30
#بكالوريا مرحبا بالجميع 🌺❤️🌸

11/09/2023

مع اقتراب الدخول المدرسي 📚📕📖📌 تقترح عليكم مدرستنا ورشة للسنة 1 و 2 ابتدائي 🥰🤩🌸 و يتضمن برنامج الورشة :
✅ مراجعة الحروف و الأرقام
✅تحسين الخط
✅الإملاء
✅التلوين
تحت شعار
مرحبا بالجميع 👌❤️

11/09/2023

📣مفاجأة سارة للأولياء الراغبين في تسجيل أبنائهم في اقسام السوروبان 🤩
التسجيلات متواصلة على مستوى مؤسستنا و ✅ سارعوا في التسجيل البداية تكون يوم 9 سبتمبر القادم مع مدربة المدربين 👩‍🏫 سارة #السوروبان
تواصلوا معنا على الرقم 📲0542064122
📍 مقرنا : الحي الجديد : #الزاوية تحت قاعة الحفلات الغزال #البليدة
رشاد سكول 💯✅🌸

11/09/2023

مؤسسة رشاد لتعليم اللغات و الدعم المدرسي
إبتدائي - متوسط - ثانوي - جامعي
دورات تكوينية

11/09/2023

هااام ‼️ لشعبة تعلن مدرستنا عن حصص مجانية في مادة #محاسبة تحت إشراف الأستاذة عتو
مرحبا بالجميع 🌺🌸❤️

29/11/2021

SUITE LES IMPOTS DIFFERES
4- Différences temporelles

Il y a pour certains produits et charges des différences temporelles donnant lieu à des impôts différés actifs et impôts différés passifs :
Ce sont les différences entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif figurant au bilan et sa base fiscale (valeur) telles que définies ci- dessus. Elles peuvent être :

- soit des différences temporelles imposables ; ce sont celles qui généreront des montants imposables dans la détermination du résultat imposable (perte fiscale) d’exercices futurs, au moment où la valeur comptable de l’actif (ou du passif) sera recouvrée (ou réglée) ;

- soit des différences temporelles déductibles : ce sont celles qui généreront des montants qui seront déductibles dans la détermination du résultat imposable (perte fiscale) d’exercices futurs, au moment où la valeur comptable de l’actif (ou du passif) sera recouvrée (ou réglée) ;

- soit des différences permanentes (charges non déductibles et produits non imposables).

Exemple 1:

Au bilan de l’entreprise X figure une provision pour engagement de retraite au titre de l’exercice N de 20 000 KDA comptabilisée en application des règles du SCF. La règlementation fiscale impose que cette charge n’est déductible que sur les (l’) exercice (s) de son paiement effectif. La base comptable qui est le montant porté au compte de bilan de l’exercice N est de 20 000 KDA ; la base fiscale pour l’exercice N est nulle.

Exemple 2

Un véhicule de tourisme figure au bilan pour un montant de : 2 000 KDA, la durée d’amortissement est de 5 ans. A la clôture du troisième exercice, les amortissements comptables cumulés sont de 2 000 * 3/5 = 1 200 KDA. Les amortissements cumulés déductibles fiscalement à la fin de la 3ème année ne sont que de 1 000 KDA *3/5 = 600 KDA
La base comptable est de 2 000 - 1 200 = 800 KDA
La base fiscale est de 1 000 - 600 = 400 KDA
*1 000 KDA est le montant maximum reconnu par l’administration fiscale.
La différence entre la base comptable (800 KDA) et la base fiscale (400 KDA) constitue une différence permanente, soit : 800 - 400 = 400 KDA

Exemple 3

Le passif courant d’une entité comprend des charges à payer dont les droits aux congés payés comptabilisés à la fin de l’exercice N, à payer au cours de l’exercice N+1, pour un montant de 1 000 KDA. Cette charge ne sera déduite fiscalement que lors de son règlement (N+1) ; sa base fiscale au titre de l’exercice N est nulle (non imposable au titre de l’exercice N) alors que sa base comptable est de 1 000 KDA.

Exemple 4

Une entité a enregistré en produit dans ses comptes à la fin de l’exercice N des intérêts courus, non échus pour un montant de 1 000 KDA. Ces produits d'intérêts seront imposés lors de leur encaissement. La base fiscale des intérêts comptabilisés, courus non échus, est nulle (non imposables) au titre de l’exercice N.

Exemple 5

Au poste « passif courant » d’une entité figurent des amendes et des pénalités à payer pour un montant de 800 KDA. Les amendes et les pénalités ne sont pas déductibles fiscalement : ce sont des différences permanentes. La base comptable est égale à 800 (selon la législation fiscale en vigueur, les amendes et les pénalités ne sont pas déductibles), et la base fiscale des amendes et des pénalités à payer est de 800 KDA (la totalité est imposable).

5- Comment reconnaître un IDA ou un IDP

Exercice 1

a) Une entreprise constate au 31/12/N dans sa comptabilité en vertu du contrat de vente une provision pour garantie de : 1 000 KDA. Considérons que les coûts de garantie ne sont déductibles que lorsque l'entreprise a payé les réclamations et que le taux d'impôt est de
19 % :

 La base fiscale de la provision enregistrée dans les comptes (passif) est égale à zéro ; la valeur (base) comptable est de : 1 000 KDA, montant qui sera fiscalement déductible sur les périodes suivantes au titre de ce passif.
 Il en résulte une différence temporelle déductible de : 1 000 – 0 = 1 000 KDA.

En réglant le passif pour sa valeur comptable, l'entité va réduire son bénéfice imposable futur de : 1 000 KDA, et par conséquent réduire ses paiements futurs d'impôt de 190 KDA (1 000 à 19 %). La différence entre la valeur comptable de : 1 000 KDA et la base fiscale de zéro est une différence temporelle déductible de : 1 000 KDA.
L'entreprise comptabilise donc un actif d'impôt différé de : 190 soit (1 000 X 19 %),

 Constatation de la provision

______________ 31/12/N _______________
68x Dot. am., prov., pertes de valeur, actifs n/ cour- gar clients 1 000
158X Autres prov p/charges passifs n/ cour. gar clients 1 000
Constatation provision pour garantie
______________ _______________
 Constatation IDA

______________ 31/12/N _______________
133 Impôts différés actif 1 000 x 0.19 190
692 Imposition différée actif 190
Constatation de l’IDA sur garantie aux clients
______________ ________________

Au cours de l’exercice N+1, Les réclamations ont entrainé une indemnisation de :

 1er cas : la charge effective est égale à la provision, soit 1 000 KDA.

 Constatation du règlement de la charge

______________ N+1______________
158x Autres prov. p/charges passifs n/ cour gar. clients 1000
512 Banque 1000
Règlement charge (indemnisation)
______________ ________________

*Eu égard aux règles de fonctionnement des comptes 68x et 158x, il faut débiter directement le compte 158x lors du paiement de l’indemnité

 Ajustement de l’IDA

______________ 31/12/N+1______________
692 Imposition différée actif 190
133 Impôt différé actif 190
Récup. IDA suite au règlement des réclamations
______________ ________________

Remarque : l’IDA est ajusté globalement et non pas opération par opération (le SCF précise que les impôts différés sont ajustés annuellement en plus ou en moins)

 2ème cas : la charge est inférieure à la provision, soit 900 KDA.

 Constatation du règlement de la charge provisionnée

______________ N+1 _________________
158x Autres prov. p/charges passifs n/ cour gar. clients 1 000
512 Banque 900
78X Reprises financières s/ pertes de val et prov. 100
Règlement de la charge et reprise excédent de la provision
______________ __________________

 Ajustement de l’IDA

______________ 31/12/N+1______________
692 Imposition différée actif 190
133 Impôt différé actif 190
Récupération de l’IDA suite au règlement des réclamations
______________ ________________
 3ème cas : la charge effective (1 200 KDA) est supérieure à la provision (1 000 KDA)

 Constatation du règlement de la charge

______________ N+1 ________________
158x Autres prov. p/ch. passifs n/ cour gar. clients 1 000
62x Services (complément de charge) 200
512 Banque 1200
Règlement de la charge (indemnisation)
____________________________________

 Ajustement de l’IDA

______________ 31/12/N+1______________
692 Imposition différée actif 190
133 Impôt différé actif 190
Récupération de l’IDA suite au règlement des réclamations
______________ ________________

Remarque : si la charge n’est pas réglée à la clôture de l’exercice N+1 et que l’entreprise estime qu’elle devra provisionner une somme de : 1 150 en N+2, un complément de provision de : 150 doit être constaté, soit :

______________ 31/12/N+2______________
68x Dot aux prov pour gar données aux clients 150
158X Autres prov p/ch. passifs n/ cour. gar clients 150
Constatation complément provision pour garantie
______________ _________________

 Constatation complément IDA

______________ 31/12/N+2 ________________
133 Impôts différés actif (150 x 0.19) 28,5
692 Imposition différée actif 28,5
Constatation complément IDA sur garantie aux clients
______________ ________________

24/11/2021

LES IMPOTS DIFFERES
1- Définition
Les impôts différés sont une économie d’impôt (produit d’impôt) sur le résultat à réaliser ou une charge d’impôt sur le résultat à payer au cours des exercices futurs. Ils résultent de différences temporaires entre le résultat comptable, y compris le résultat des opérations portées directement en capitaux propres au cours de l’exercice et le résultat fiscal ainsi que par certaines opérations de bilan ou de gestion qui ouvrent droit soit à la récupération soit au paiement dans des conditions définies par la législation fiscale.

2- Champ d’application
L’application des impôts différés concerne toutes les entités économiques soumises au paiement de l’impôt sur les bénéfices que celles-ci supportent selon le régime du réel.
Les entités non soumises à l’impôt sur le bénéfice ou qui relèvent du régime fiscal du forfait ne sont donc pas concernées.

3- Les différences permanentes
Il existe des charges et produits définitivement exclus du calcul du résultat fiscal
appelés des différences permanentes. Ces différences correspondent à des décalages
définitifs entre le traitement comptable d’une charge ou d’un produit et son régime
fiscal.

Exemples de charges :

- Fraction des amortissements excédant la limite fiscale applicable aux véhicules de tourisme
- Taxe sur les voitures de tourisme dépassant les seuils admis par l’administration fiscale
- Amendes, pénalités fiscales
- Frais de réception non déductibles,
- Loyers des immeubles non affectés à l’exploitation

Exemple de produits :

- Dividendes bénéficiant du régime des sociétés mères

Les différences permanentes (charges définitivement non déductibles et produits définitivement non taxables) ne donnent pas lieu à des constations d’écritures comptables d’impôts différés.

17/11/2021

SUITE TRAVAUX DE FIN EXERCICE
2- L’AJUSTEMENT DES CHARGES ET DES PRODUITS

• Les charges constatées d’avance :
Il s’agit de charges enregistrées au cours d’un exercice, mais qui sont relatives, en totalité ou en partie, à l’exercice suivant.
Il faut extraire de l’exercice N la charge relative à l’exercice suivant et la faire supporter par cet exercice N+1.

Exemple :
Une entreprise a réglé, le 01/09/2015, une prime d’assurance couvrant une période de 12 mois, montant 12000 DA.
01/09/2015 Débit Crédit
616 Primes d’assurances 12000
512 Banque 12000

Il est évident que cette prime ne concerne l’exercice 2015 que pour 4 mois, soit 4000, et concerne l’exercice 2016 pour 8 mois soit 8000 DA.

31/12/2015 Débit Crédit
486 Charges constatées d’avance 8000
616 Primes d’assurances 8000

Le compte 616 reste débiteur de 4000 pour 2015.

• Les produits constatés d’avance :
Il s’agit de produits enregistrés au cours d’un exercice, mais qui sont relatifs, en totalité ou en partie, à l’exercice suivant.
Il faut extraire de l’exercice N le produit relatif à l’exercice suivant et en faire bénéficier cet exercice N+1.

Exemple :
Une entreprise a perçu, le 01/04/2015, la redevance pour un an d’un brevet dont elle a concédé l’exploitation, redevance qui s’élève à 25000 DA HT par mois et qui doit normalement être perçue le 1 er de chaque mois.

01/04/2015 Débit Crédit
512 Banque 351000
751 Redevances pour brevets 300000
44571 Etat TVA collectée 51000

Cette redevance ne concerne l’exercice 2015 que pour 9 mois, soit 225000 DA, et concerne l’exercice 2016 pour 3 mois soit 75000 DA.

31/12/2015 Débit Crédit
751 Redevances pour brevets 75000
487 Produits constatés d’avance 75000

Le compte 751 reste créditeur de 225000 DA pour 2015.

• Les charges à payer :
Il s’agit de charges qui ne seront enregistrées qu’au cours de l’exercice suivant, mais qui sont relatives, en totalité ou en partie, à l’exercice qui se termine.
Il faut enregistrer à la fin de l’exercice N la charge qui le concerne, de manière à ne pas la faire supporter à l’exercice suivant.

Exemple :
Facture non parvenue relative à des services fournis à l’entreprise au 31/12/2015 la société Copharm n’a pas reçu la facture de téléphone des mois de novembre et décembre 2015. Montant 8795 DA HT TVA 1495,15 DA.

31/12/2015 Débit Crédit
626 Frais postaux 8795
4456 TVA sur biens et services 1495,15
408 Fournisseurs factures non parvenues 10290,15

• Les produits à recevoir :
Il s’agit de produits qui ne seront enregistrés qu’au cours de l’exercice suivant, mais qui sont relatifs, en totalité ou en partie, à l’exercice qui se termine.
Il faut enregistrer à la fin de l’exercice N le produit qui le concerne, de manière à ne pas en faire bénéficier l’exercice suivant.

Exemple :
Marchandises livrée sans facture
Une entreprise a livré courant décembre 2015, à un industriel, 93600 DA TTC de marchandises ; la facture ne sera adressée au client qu’en janvier 2016.

31/12/2015 Débit Crédit
418 Clients produits non encore facturés 93600
700 Ventes de marchandises 80000
44571 TVA collectée 13600

• Les RRR à accorder :
Il s’agit de charges à payer ; mais qui constitue de façon plus précise uen diminution de produits, l’avoir étant fait l’exercice suivant.
Exemple :
Une entreprise doit accorder à l’un de ses clients une remise de 10% sur une vente de marchandises réalisée en décembre 2015 et qui s’est élevée à 112000 DA HT ; l’avoir ne sera envoyé qu’en janvier 2016.
31/12/2015 Débit Crédit
709 Rabais, Remises et Ristournes accordés 11200
44571 TVA collectée 1904
419 Clients créditeurs, avances reçues, RRR à accorder et autres avoirs à établir 13104
• Les RRR à obtenir :
Il s’agit de produits à recevoir ; mais qui constitue de façon plus précise une diminution de charges, l’avoir étant fait l’exercice suivant.

Exemple :
Un fournisseur doit nous accorder un rabais de 15 % sur une livraison de marchandises ; la facture datée du 23/12/2015 indique un net à payer de 140400 DA ; l’avoir n’est toujours pas reçu le 31/12/2015.

31/12/2015 Débit Crédit
409 Fournisseurs-débiteurs : avances et acomptes versés, RRR à obtenir 21060
609 RRR obtenus sur achats de marchandises 18000
4456 TVA sur biens et services 3060

• Régularisation des achats :
Marchandises reçues sans facture
Exemple :
La société « x » a reçu le 25 décembre 2015 des marchandises pour un montant HT de
180 000 DA TVA 30 600 DA.
Au 31/12/2015 la société n’a pas encore reçu la facture d’achat

25/12/2015 Débit Crédit
30 Stocks de marchandises 180000
380 Achats de marchandises stockées 180000

Au 31/12/2015 on procède à l’écriture de régularisation
31/12/2015 Débit Crédit
380 Achats de marchandises stockées 180000
4456 TVA sur biens et services 30600
408 Fournisseurs-factures non parvenues 210600

Facture reçue sans la marchandise
Exemple :
La société « Y » a réceptionné le 28/12/2015 la facture du fournisseur hocine relative à un achat de marchandises d’un montant de 11800 DA HT, TVA 2006DA.

28/12/2015 Débit Crédit
380 Achats de marchandises stockées 11800
4456 TVA sur biens et services 2006
401 Fournisseurs Hocine 13806

Au 31/12/2015 on procède à l’écriture de régularisation

25/12/2015 Débit Crédit
370 Stocks de marchandises à l’extérieur 11800
380 Achats de marchandises stockées 11800

Exercice n°1 :
A la clôture de l’exercice, en date du 31 décembre N, la société Mehat constate les faits suivants :
- Parmi les fournitures achetées au cours de l’exercice et non stockées, il reste 78000 DA hors taxes de fournitures d’entretien et 14500 DA hors taxes de fournitures de bureau, TVA au taux normal ;
- Depuis le dernier relevé effectué le 10 octobre N, la consommation d’électricité est estimée à 8260da hors taxes, TVA au taux normal ;
- Le renouvellement de l’abonnement annuel à une r***e professionnelle a été réglé le 1 juin N pour 26000 DA hors taxes, TVA au taux normal ;
- Un fournisseur a livré des marchandises le 20 décembre N pour 42000 DA hors taxes, TVA 17% mais la facture ne sera délivrée qu’en janvier N+1.
Comptabiliser les opérations nécessaires au 31 décembre N.
Exercice n°2 :
La société « X » vous communique les renseignements suivants au 31 décembre 2015 :
- Une facture d’un montant toutes taxes comprises de 44460 DA (TAV 17%), relative à une vente de produits, a été adressée à un client. A la suite d’un re**rd dans le processus de fabrication, les produits ne seront livrés qu’en janvier ;
- Les ristournes à recevoir des fournisseurs, concernant les opérations réalisées en 2015, s’élèvent 1740000 DA, TVA 17%.
- Des marchandises ont été livrées le 27 décembre à un client pour un montant hors taxe de 4000000 DA, TVA 17 %, alors que la facture ne sera établie qu’en janvier ;
Enregistrer les écritures nécessaires au 31/12/2015.

Exercice n°3 :
La société EL BAHDJA a constaté les faits suivants en date du 31 décembre N :
- L’entreprise a payé le 1/10/N la prime annuelle d’assurance des véhicules pour un montant 86000 DA ;
- Le locataire de l’entrepôt a versé le 1/12/N les trois mois de loyer d’avance 270000 DA ;
- Une ristourne de 2600 DA hors taxe, TVA 17%, être accordée au client NOUR. La facture d’avoir n’est pas encore établie ;
- Un emprunt bancaire de 1500000 DA a été contracté le 1/03/N, au taux annuel de 4,75 %. La première échéance sera prélevée le 1/03/N+1.
Comptabiliser les opérations suivantes au 31/12/N.

02/11/2021

Suite TRAVAUX DE FIN D'EXERCICE
L'INVENTAIRE
Inventaire intermittent

Enregistrement des approvisionnements et marchandises consommés :

Au cours de la période,

Débit Crédit
38 Achats stockés x
401 Fournisseurs (ou trésorerie) x

A la clôture de la période,
Après avoir procédé à un inventaire extracomptable, il convient :

• De procéder à l’annulation des stocks existant en début de période : crédit des comptes 30, 31 et 32 par le débit des comptes 60 correspondant,
Débit Crédit
603 Variations des stocks x
30 Stocks de marchandises x

• De solder les comptes 38 Achats stockés par le débit des comptes 60 achats consommés (600 Achats de marchandises, 601 Matières premières, 602 Autres approvisionnements).
Débit Crédit
603 Variations des stocks x
38 Achats stockés x

• De constater les stocks de fin période au débit des comptes de stocks (comptes 30, 31, 32, ……) par le crédit des comptes 60.
Débit Crédit
30 Stocks de marchandises x
603 Variations des stocks x

Entreprise industrielle
A la clôture de la période,
Après avoir procédé à un inventaire extracomptable, il convient :

• De procéder à l’annulation des stocks existant en début de période
Débit Crédit
724 Variations de stocks de produits x
35 Stocks de produits x

• De constater les stocks de fin période.
Débit Crédit
35 Stocks de produits x
724 Variations de stocks de produits x

31/10/2021

TRAVAUX DE FIN D’EXERCICE
1- L’INVENTAIRE
Inventaire permanent
La méthode de l’inventaire permanent permet un suivi comptable des stocks et favorise l’arrêté rapide des situations comptables périodiques. Elle permet également au niveau des produits finis d’établir une correspondance directe entre les coûts des stocks vendus et les revenus y afférents.
• Enregistrement des approvisionnements et marchandises consommés :
Débit Crédit
38 Achats stockés x
401 Fournisseurs (ou trésorerie) x

Débit Crédit
3x stocks x
38 Achats stockés x

• Sorties de stocks
Débit Crédit
60 Achats consommés x
30 Stocks de marchandises x

• En fin de période,
Après analyse, les écarts éventuels entre le stock physique évalué de façon extracomptable et le stock figurant au débit des comptes de stocks 30, 31, 32, 35 sont enregistrés afin de porter le montant de ces derniers à la valeur constatée dans l’inventaire physique.

Les écarts justifiés et considérés comme normaux sont constatés en contrepartie des comptes 60 ou 72 ; les autres écarts sont enregistrés aux comptes au compte « 657 charges exceptionnelles de gestion courante » ou « 757 produits exceptionnels sur opérations de gestion »

Débit Crédit
657 charges exceptionnelles de gestion courante x
30 Stocks de marchandises x

Débit Crédit
30 Stocks de marchandises x
757 produits exceptionnels sur opérations de gestion
x

26/10/2021
اتقدم بالشكر الجزيل الى اساتذة و عمال المعهد على التكريم
13/02/2021

اتقدم بالشكر الجزيل الى اساتذة و عمال المعهد على التكريم

06/12/2020

CONTRÔLE INTERNE

1- DÉFINITION DU CONTRÔLE INTERNE
Le contrôle interne est « le plan d’organisation et toutes les méthodes et les mesures coordonnées adoptées au sein d’une entreprise pour protéger ses actifs, assurer l’exactitude et la fidélité des renseignements comptables afin d’encourager l’efficacité de l’exploitation et maintenir le respect des lignes de conduite établies ».

2- SORTES DE CONTROLES
Contrôle de gestion :
Les contrôles de gestion sont conçus pour rendre plus efficace une opération ou un département. Ils sont habituellement contenus dans le guide des procédés de l’entreprise. Prenons par exemple un employé du service de la paie qui désire faire réparer son calculateur électronique. Si l’entreprise ne possède pas le guide des procédés et méthodes, l’employé s’adressera probablement à la première personne en autorité qu’il rencontrera. Cette personne le dirigera vers une autre personne jusqu’à ce qu’il soit en en contact avec la bonne personne qui lui dira probablement de remplir le formulaire numéro 496 et de le remettre à son supérieur immédiat qui s’en occupera. Ainsi, en l’absence de contrôle de gestion, l’employé fait perdre du temps précieux et ennuie plusieurs personnes inutilement. Le guide des procédés et méthodes décrit et présente un modèle des formulaires à utiliser pour la plupart des opérations effectuées dans une entreprise.

Contrôles comptables :
Les contrôles comptables ont pour but d’assurer le vérificateur de l’exactitude des registres comptables. Ainsi toutes les transactions doivent être enregistrées dans les registres conformément aux principes comptables généralement reconnus. On s’assure ainsi que toutes les transactions ont été comptabilisées et que les registres comptables sont exempts d’erreur mathématique.

Contrôles physiques :
Les contrôles physiques servent à protéger les actifs de leur détérioration et de leurs disparitions inopinées. Pour ce faire, l’accès à certains actifs est limité par des clôtures, des coffrets de sûreté, des coffres forts ou des portes verrouillées, à certaines personnes et dans certaines circonstances. L’entretien préventif des actifs entre aussi dans la définition d’un contrôle physique.
Exemple
En pratique, la procédure que doit suivre un employé dans l’accomplissement de sa tâche peut contribuer aux trois objectifs dont nous venons de parler, c’est-à-dire les contrôles de gestion, les contrôles comptables et les contrôles physique. Prenons l’exemple d’un conducteur de camion de livraison de boissons gazeuses qui utilise des factures pré numérotées.
• Contrôle comptable. La continuité des numéros de factures est vérifiée afin de s’assurer que les ventes ont toutes été comptabilisées.
• Contrôle interne physique. Le conducteur du camion signe une formule indiquant la quantité de bouteilles contenues dans son camion avant son départ ; ces données sont ensuite vérifiées par une autre personne. A l’arrivée, les factures de vente seront comparées aux quantités livrées, c’est-à-dire les quantités de départ par rapport aux quantités restantes.
• Contrôle de gestion. Cette méthode permet d’établir des statistiques sur le nombre d’arrêts, la moyenne des ventes par arrêt, la moyenne des ventes par jours, etc. L’analyse de ces données permet d’augmenter l’efficacité du réseau de distribution par l’analyse de la productivité de chaque vendeur-livreur.
Il est important de préciser que le contrôle interne est une fonction de l’administration d’une entreprise et non un procédé de vérification du vérificateur indépendant. Il incombe donc à l’administration de développer et de mettre en application tous les contrôles nécessaires au bon fonctionnement de l’entreprise. L’étude du contrôle interne est un procédé de vérification, cette étude et le résultat obtenu ont une influence sur le programme de vérificateur indépendant.

3- GRANDS PRINCIPES DE CONTROLE INTERNE
Division des tâches :
Le premier principe de contrôle interne est de définir précisément le travail à accomplir par un employé. Il s’agit donc de confier une tâche spécifique à une personne. Les avantages sont multiples, par exemple l’efficacité de l’employé augmente parce qu’il effectue toujours le même travail et qu’il le connaît bien, ou encore la responsabilité d’un travail étant bien définie, on sait à qui s’adresser lorsqu’il y a des félicitations ou des réprimandes à formuler, surtout lorsqu’on trouve des erreurs, l’employé ne peut imputer la faute à une autre personne.
Séparation des opérations financières et comptabilisation :
Une même personne ne doit pas manipuler l’argent et comptabiliser des transactions dans les registres comptables, car elle pourrait voler de l’argent et camoufler ce méfait par des écritures erronées.
Partage des responsabilités et du travail :
Si une personne comptabilise des transactions dans le journal des ventes et dans le journal de caisse-déboursés, et les reporte ensuite dans le grand livre, et qu’une autre personne inscrit les mêmes transactions dans le grand livre auxiliaire des comptes-clients, il faut un hasard incroyable pour que les deux personnes fassent la même erreur sachant que le total du grand livre auxiliaire doit être égal au total du compte de contrôle du grand livre. C'est ce qu’on appelle l’autocontrôle, le travail d’une personne se trouve vérifié par le travail d’une autre éliminant ainsi les erreurs ou les fraudes.
Preuves d’exactitude :
Plusieurs techniques sont utilisées pour empêcher que des erreurs ne se produisent au sein du processus de comptabilisation ; on utilise par exemple la comptabilité en partie double, les comptes de contrôle, l’équipement mécanique ou électronique qui élimine la possibilité d’erreurs humaines, la pré numérotation de la plupart des documents utilisés en comptabilité qui permet de vérifier leur suite numérique et d’avoir la certitude que les documents ont tous été traités ou comptabilisés. Enfin, on procède à certaines conciliations comme la conciliation bancaire qui permet de découvrir des transactions que la banque a déjà comptabilisées dans le compte mais qui ne l’ont pas encore été dans les livres, ou encore des erreurs faites par la banque ou par les employés.
Surveillance et sélection du personnel :
Le personnel d’une entreprise doit être choisi avec soin et s’il doit manipuler de l’argent ou des valeurs négociables, il devrait être couvert par un certificat de garantie qui protège l’entreprise dans le cas de fraude d’un employé. Son utilité est cependant beaucoup plus psychologique, en ce sens que l’employé sait qu’on connait tout sur lui et que son passé a été analysé.
Un employé toujours affecté au même travail peut devenir très efficace ; par contre, il devient tellement familier avec les implications et le fonctionnement du système qu’il peut être tenté de prendre des raccourcis, de brûler des étapes et éliminer ainsi des points de contrôle. Il peut même imaginer de nouvelles fraudes. Pour remédier à cela, il est bon de procéder à la rotation du personnel. L’employé qui occupe une nouvelle fonction sera plus attentif, ne brûlera pas d’étapes et découvrira peut-être des erreurs de son prédécesseur. Pour la même raison, on devrait exiger que chaque employé prenne des vacances annuelles.
Enfin, un bon cahier des charges décrivant la marche à suivre dans chaque circonstance empêche les erreurs et augmente l’efficacité des employés.

4- SORTES D’ERREURS ET DE FRAUDES
Sortes d’erreurs :
Les erreurs de principe consistent en une mauvaise application d’un principe comptable, par exemple, l’enregistrement du salaire du gérant des ventes dans les frais de fabrication, etc.
Les erreurs d’omission sont l’absence d’inscription dans le registre approprié, par exemple, un enregistrement non comptabilisé, des factures de vente non inscrites aux livres ou des encaissements non comptabilisés.
Les erreurs de commission sont ce que l’on pourrait appeler des erreurs de parcours, par exemple, une écriture de journal erronée, comme débiter un compte plutôt que le créditer, une erreur d’addition, ou encore l’inversion des chiffres composant un montant, 389,25 DA au lieu 398,25 DA.
Les erreurs peuvent être involontaires ou volontaires. Le seul but visé est de montrer qu’un bon système de contrôle interne peut empêcher en tout ou en partie des fraudes qui autrement pourraient être faciles à réaliser ou des erreurs coûteuses qui pourraient se produire comme ne pas expédier de factures lorsqu’il y a eu livraison de marchandises.
Sortes de fraudes :
IL y a deux types de fraudes, la fraude administrative et le vol. Une fraude administrative consiste à fausser la situation financière de l’entreprise dans le but d’induire en erreur les actionnaires, les créanciers, le gouvernement ou toute autre personne intéressée. A ce titre, on peut présenter des états financiers qui ne comprennent pas tous les produits ou qui n’indiquent pas toutes les charges ou toutes les pertes. Une fraude administrative courante consiste à ne pas déclarer tous les stocks en entrepôt.
Le deuxième type de fraude est le vol que nous allons subdiviser en trois sections : vol d’actifs autres que l’argent, vol d’argent provenant des encaissements et vol d’argent au moyen déboursés frauduleux. De façon à bien montrer l’effet d’un bon système de contrôle interne, nous donnerons dans chaque cas le moyen préventif, c’est-à-dire le système de contrôle interne qui, s’il avait été instauré, aurait empêché le vol en question.
A- Vol d’actifs autres que l’argent
- Vol de biens ou de produits : Pour parer à cet état de fait, le gardien de sécurité peut vérifier les colis à la sortie et, dans certaines entreprises plus vulnérables comme les mines d’or, d’argent ou de diamants, procéder à une fouille en règle et utiliser des détecteurs semblables à ceux utilisés dans les aéroports. On peut aussi limiter l’accès à l’entrepôt ou au magasin.
- Vol par expédition de marchandises à des clients fictifs : Normalement, lors de la réception d’une commande de client, l’employé prépare un ordre de vente, c’est-à-dire un document autorisant la vente et qui doit être signé par le gérant des ventes et par le responsable du crédit. On évite l’expédition de marchandises à des personnes inconnues du gérant des ventes et qui n’apparaissent pas dans le grand livre auxiliaire des comptes-clients. Ainsi, pour tout nouveau client on procède à une enquête.
- Vol de valeurs négociables : Les valeurs négociables sont habituellement conservées dans un coffret de sûreté à la banque. La présence de deux personnes pour signer le registre et ouvrir le coffret de sûreté est alors obligatoire.
- Vol d’outils : Habituellement, un numéro est imprimé sur les outils et lorsqu’il y a emprunt on enregistre le numéro de l’outil et le nom de l’emprunteur ; au retour de l’outil en question, on annule l’entrée. De cette façon, on peut toujours retracer les personnes qui n’ont pas rapporté les outils. En fait, ce système ressemble à un système de prêt dans une bibliothèque.

B- Vol d’argent provenant des encaissements
- Argent provenant des ventes au comptant : L’employé peut omettre de faire une facture ou d’enregistrer le montant dans la caisse. Afin de remédier à ce problème, il est préférable de séparer la fonction de vente de la fonction d’encaissement. Prise d’argent dissimulée en faussant les additions des colonnes « caisse » et « vente » dans les journaux auxiliaires ou en faussant les reports d’une page à l’autre : Généralement, une très grande proportion des ventes se fait à crédit et les clients règlent leurs comptes par la poste. Il s’agit donc pour la personne qui ouvre le courrier, de faire une liste des chèques ou mandats reçus. Une copie de cette liste est expédiée au service de la comptabilité pour être enregistrée dans le journal de caisse recettes et une autre au service de la trésorerie pour faire le dépôt. En faisant la conciliation de banque à la fin du mois, on peut vérifier si tout l’argent reçu a bel et bien été déposé.
- Prise d’argent dissimulée en inscrivant dans le journal de caisse recettes un escompte plus élevé que celui réellement accordé au client : Pour prévenir cette situation, il est préférable de faire une liste des montants reçus avec les escomptes accordés aux clients.
- Détournement d’une remise de client dissimulée en radiant le compte d’un client aux créances irrécouvrables ou en enregistrant un rendu et escomptes sur ventes : Toutes les notes de crédit doivent être autorisées par un dirigeant de l’entreprise ; il en est de même de l’écriture au journal pour radier certains comptes.
- Encaissement des chèques de dividendes ou de salaires non réclamés au moyen d’un endossement frauduleux : Encore une fois, le problème est résolu en faisant une liste des chèques non réclamés qui reviennent par le courrier.
- La fraude par report différé : La fraude par report différé consiste en un vol d’argent provenant des paiements des clients. Cette fraude est dissimilée en faussant l’inscription des encaissements aux registres des comptes clients par un processus de re**rdement et de substitution de clients, de sorte que les inscriptions en re**rd correspondent toujours au montant volé jusqu’à maintenant. Afin prévenir ce type de fraude, il faut premièrement séparer les fonctions d’encaissement et d’inscription aux registres, deuxièmement, travailler une liste des encaissements, et troisièmement, qu’une personne autre que celle qui s’occupe des enregistrements au grand livre auxiliaire des comptes clients soit chargée d’expédier les états de comptes mensuels. Chaque client en recevant son état de compte peut ainsi vérifier si toutes les remises qu’il a effectuées ont bien été créditées à son compte.

C- Vol d’argent au moyen de déboursés frauduleux
- Par le fonds de la petite caisse : Une vieille pièce justificative peut être remise dans le fonds ou le montant d’une pièce justificative peut être modifié avant que le fonds ne soit renfloué. Une façon de remédier à ce problème est d’avoir des pièces justificatives pré numérotées qui doivent de plus être approuvées par le responsable du département.
- Par un chèque forgé, son encaissement et sa destruction au retour de la banque : Les chèques doivent être pré numérotés de façon qu’on puisse vérifier leur suite numérique dans le journal de caisse déboursés. De même que la conciliation de banque doit être faite par une personne différente, les chèques retournés de la banque doivent parvenir à une autre personne que celle qui a rédigé les chèques.
- Par la manipulation de la liste de paie et par l’inclusion d’un employé fictif

5- EXEMPLE DE SYSTEME DE CONTROLE INTERNE DES ACHATS ET DES DEBOURSES
Nous présentons ici un modèle théorique de système de contrôle interne des achats et des ventes. Les documents qui peuvent être nécessaires sont analysés et les points de contrôle contenus dans le système sont exposés.

5-1 Ordre d’achat
L’ordre d’achat est un document interne dans lequel le demandeur exprime ses besoins en biens ou en services. Le demandeur identifie clairement les articles désirés en faisant référence à un numéro de catalogue ou à une marque de commerce. L’ordre d’achat est rédigé au moins en trois copies dont l’une est acheminée au département des achats, une autre à la comptabilité et une troisième copie est conservée par le demandeur. De nombreux organismes utilisent des ordres d’achat en huit ou dix copies.
Le responsable du département pour lequel le demandeur travaille doit signer le document ; cette autorisation empêche les achats injustifiés ou non prévus au budget. Les spécifications étant écrites, le demandeur ne peut reprocher au département des achats de ne pas avoir commandé ce qu’il avait demandé, car chaque partie détient un document pour se défendre ou se justifier. Le demandeur qui garde une copie de son ordre d’achat peut ainsi faire un suivi des articles en souffrance et faire un appel au département des achats.
Enfin, un contrôle est exercé sur le département des achats qui ne peut commander sans avoir au préalable reçu un ordre d’achat dûment autorisé.
5-2 Commande d’achat
L’ordre d’achat est souvent conçu en fonction du département des achats qui peut se servir d’une copie de l’ordre d’achat pour faire un appel d’offres, il fait alors le nombre de photocopies nécessaires et expédie à tous les fournisseurs habituels de tels produits. Sur réception des soumissions, le service des achats rédige la commande d’achat qui est le document officiel expédié au fournisseur. Le fournisseur ayant reçu la copie originale de la commande d’achat est maintenant autorisée à expédier la marchandise au prix convenu. Le département des achats conserve une copie de la commande d’achat habituellement attachée à l’ordre d’achat. Cette copie est classée temporairement selon la date d’expédition prévue et permet au département des achats de faire un suivi si l’expédition re**rde ou si certains articles ne sont pas disponibles. Lorsque tous les articles commandés sont arrivés, la commande d’achat est classée par ordre numérique. Le demandeur reçoit une copie de la commande d’achat pour lui signifier qu’une commande a été passée à la suite de sa demande et qu’elle sera livrée approximativement telle date. Le réceptionnaire et le service de la comptabilité reçoivent aussi une copie de la commande d’achat et nous verrons plus loin qu’elle en est l’utilité.

5-3 Bulletin de réception
Le bulletin de réception est un autre document interne sur lequel le réceptionnaire enregistre la description et la quantité du matériel reçu. La copie originale va au service de la comptabilité où elle est jointe à l’ordre d’achat, au bon de commande et à la facture. Une autre copie va au département des achats où elle est comparée au bon de commande ; elle permet de déterminer les marchandises non reçues et déclenche le processus de vérification auprès du fournisseur pour connaitre les raisons de la non-expédition de tel ou tel article. Une copie est aussi expédiée au magasinier avec la marchandise, et la dernière copie est conservée au service de la réception.
Le réceptionnaire ne peut accepter de livraison s’il n’a pas de bon de commande ; ainsi le processus d’achat doit avoir été suivi sinon la marchandise devra retournée. Le département des achats peut s’assurer que toute la marchandise commandée a bien reçue et il peut ainsi contrôler les écarts à la norme. Enfin, le réceptionnaire doit remplir et signer un document, ce qui le rend plus conscient de ce qu’il fait et l’empêche d’accepter des marchandises défectueuses ou non commandées. Il faut cependant noter que dans un très grand nombre d’entreprises, on ne rédige pas de bulletin de réception proprement dit mais on se sert du bulletin d’expédition du fournisseur en y effectuant les vérifications de quantités et de description. Par la suite, le réceptionnaire signe le document pour indiquer qu’il est conforme tout en y rédigeant les remarques de circonstance.

5-4 Facture du fournisseur
La facture du fournisseur est expédiée par la poste directement au service de la comptabilité et habituellement en une seule copie. Un commis de ce service joint alors la facture du fournisseur au bon de commande et au bulletin de réception afin de s’assurer que seuls les articles qui ont été expédiés ont été facturés et que le prix facturé correspond bien au prix qui avait été négocié par le département des achats. Le commis vérifie aussi les additions et les extensions. Les documents sont alors assemblés et après y avoir apposé sa signature, le commis inscrit le code du budget dans lequel sera comptabilisée la transaction. Comme une facture doit être accompagnée du bon de commande et du bulletin de réception, la même facture ne peut être comptabilisée deux fois.

La transaction maintenant comptabilisée apparaît dans les comptes fournisseurs. L’autorisation de paiement est donnée par un dirigeant de l’entreprise, habituellement le contrôleur, qui s’assure du bien-fondé du déboursé en vérifiant si toute les autorisations décrites dans le système de contrôle interne ont bien été données. Par exemple, il doit s’assurer que le responsable du département du demandeur a autorisé l’achat, que l’acheteur a apposé sa signature sur le bon de commande afin de l’officialiser, que le réceptionnaire a bien signé le bulletin de réception indiquant par là qu’il a vérifié les quantités reçues et les a comparées avec celles indiquées sur le bon de commande et que le commis à la comptabilité a fait les vérifications d’usage.

Lorsque le chèque est émis au fournisseur, une copie est attachée aux documents qui composent la pièce justificative (ordre achat, bon de commande, bulletin de réception et facture) afin d’éviter qu’une même facture ne soit payée deux fois.

6- EXEMPLE DE SYSTEME DE CONTROLE INTERNE DES VENTES ET DES RECETTES
Nous avons vu précédemment, lorsque nous avons étudié les grands principes du contrôle interne, que les fonctions doivent être séparées afin d’avoir un bon contrôle interne. L’idéal, pour un système de contrôle interne des ventes à crédit, est que les fonctions suivantes soient séparées :
- Approbation de la commande de vente.
- Expédition de la marchandise.
- Préparation de la facture de vente.
- Inscription de la facture de vente au journal des ventes et report au grand livre.
- Enregistrement au grand livre auxiliaire des comptes –clients.
- Encaissement.
6-1 Ordre de vente
L’ordre de vente est un document interne sur lequel est transcrite la commande téléphonique, verbale ou écrite. Avant d’expédier la marchandise, le service des ventes doit approuver la vente, c’est-à-dire qu’il doit vérifier si les prix sont conformes à ceux établis avec le client. La plupart du temps, le client expédie au fournisseur un bon de commande qui résulte d’une soumission et le service des ventes doit s’assurer que le prix indiqué sur le bon de commande correspond bien à celui indiqué dans la soumission présentée. Par la suite, le service du crédit doit vérifier dans le grand livre auxiliaire des comptes-clients si cet achat respecte la limite de crédit accordée.

L’ordre de vente peut être rédigé en quatre copies : une pour la comptabilité, une pour le service des ventes, la troisième pour le département de l’expédition et, si nécessaire, la quatrième pour la production. L’utilité de l’ordre de vente est que les autorisations écrites éliminent les ventes non autorisées et frauduleuses.

6-2 Document d’expédition
Sur le document d’expédition pré numéroté est indiquée la quantité de chaque produit qui est expédiée à un client. Le responsable de l’expédition ne peut livrer de marchandise que s’il a reçu préalablement un ordre de vente signé par les services des ventes et du crédit. La preuve de livraison est donnée par la signature du client sur une des copies que rapporte le conducteur du camion du vendeur, si la livraison s’effectue de cette façon. Si elle est faite par une compagnie de transport, la preuve de la livraison est la signature du conducteur du camion sur une copies du document d’expédition ; de plus, le fournisseur a une copie du bon de transport qui sert à préparer la facture de transport qui sera expédiée soit à l’acheteur , soit au vendeur. Les autres copies du document d’expédition sont distribuées comme suit : l’originale au client avec sa marchandise, une copie à la comptabilité et une dernière est conservée par le département de l’expédition.
6-3 Facture de vente
La facture de vente pré numérotée est préparée par le service de la facturation
à partir de l’ordre de vente et du document d’expédition. Elle indique le montant
facturé au client pour chaque catégorie de marchandises livrées et le montant
total dû comprenant les taxes et le transport. L’originale est expédiée au client par
la poste ; le département des ventes en reçoit une copie qu’il compare à son ordre
de vente dans le but d’éviter les erreurs de facturation et de contrôler les ventes en
attente. Périodiquement, il est bon d’effectuer une vérification de la suite
numérique des documents d’expédition afin de vérifier s’ils ont tous été facturés et
si toutes les factures ont été comptabilisées.

Adresse

Rue El Bey Khaled Bt A Blida
Blida
09000

Site Web

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Blida ville des roses publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter L'entreprise

Envoyer un message à Blida ville des roses:

Vidéos

Partager