Bientôt le son officiel "Olui is my new religion" par Dusty Corner. Recherche sponsors pour financer le projet, me contacter via email pour plus d'informations. Visit : http://www.facebook.com/pages/Dusty-Corners/178877028817018
"Plus qu'une hygiène de vie. Religion polythéiste, le Oluïsme est ainsi dénommé par le plus puissant des dieux de cette foi : Olui. A ses côtés, brillent Oelle, Otoi, Omo
i, Oeux, Onous, Ovous. Il apparaît que certaines de ces entités supérieures respectent une hiérarchie établie par le populisme des prières adressées par les fidèles. L'Oluïsme : un nouveau culte
A – L'origine de la religion
Lié d'une manière on ne peut plus inhérente à une volonté affichée de démarcation par rapport aux non convertis, le Oluïsme fait donc son apparition vers la seconde décennie du funeste XXIème siècle. Certes, une nouvelle religion aurait dû avoir des difficultés à délimiter une place qui se fait toujours plus restreinte pour les néophytes au sein du marché de la foi, mais c'était méconnaître le Oluïsme. D'une envie d'innover et de ne plus répéter les erreurs des précédents millénaires, s'est forgé progressivement les bases du culte. Partant d'une originalité sans bornes puisque établie sur le postulat que c'est le croyant qui crée ses dieux et que ceux-ci ne doivent intervenir qu'à la mention de leur saint nom ; la religion attire très rapidement ses premiers croyants - qu'on établira preuves à l'appui (cf. annexes) – à Quimper. Un premier prophète se dévoila puis, autour de lui commença à graviter un nombre de fidèles dévoués à la cause. Ceux-ci, portant un uniforme unique reconnaissable et reconnu de tous, furent le fer de lance de la propagation de la religion dans le monde, mais également l'origine de l'attraction toujours plus forte menant à la conversion. B – Un credo succinct mais clair
Le Oluïsme après avoir regroupé une poignée de fidèles a pu commencer à établir des principes directeurs. En établissant la comparaison avec les autres religions, on s'aperçoit vite que tel ne fut pas le cas pour celles-ci. Au contraire, ce sont les dieux qui dans leur grande miséricorde, accorda des textes de lois. Ici, fiers de leur indépendance et de leur caractère iconoclaste de part les innovations apportées, les premiers Oluïstes développèrent eux mêmes et bien souvent inconsciemment les règles de la religion. De sorte que s'établit une égalité entre les fidèles, sans qu'un chef spirituel ne se fasse vraiment entendre au-dessus des Olui et autres litanies dirigées vers les dieux (bien qu'il y ait un prophète, celui-ci n'accapara pas les pouvoirs). En outre, une grande solidarité s'afficha. "Aide ton frère Oluïste et il t'aidera en retour". Il n'était pas rare de voir des non-croyants demander les services ou simplement côtoyer les saints Oluïstes. Toutefois, certains de ces derniers pouvaient parfaitement devenir haineux (il était de suite dangereux d'être trop près de ces fanatiques). Ainsi, ils entretenaient en leur corps une contradiction. Contradiction propre à l'espèce humaine que le Oluïsme n'essaya pas de changer.