Auphildesvoyages (2024)

04/04/2020

• Jour 412 •
Etant à Santa Marta, on a l’occasion d’aller à Minca, un village dans la jungle à moins d’une heure de route alors que nous sommes au bord des Caraïbes. On chope un bus rapidement pour nous rendre dans ces montagnes. On arrive à l’heure du repas et on négocie une belle chambre proche du petit centre. On se prépare ensuite pour aller à Marinka, une cascade connue. Même s’il est en pleine jungle, le chemin n’est pas passionnant, c’est plutôt une route large sur laquelle passent les motos. On s’att**de quelques fois devant des bambous géants, des rivières mais rien d’incroyable. Ça grimpe ça grimpe puis nous arrivons à la cascade ou, plutôt aux cascades puisqu’elle est en 2 parties. La première a un bassin pour se baigner, artificiel mais rafraichissant quand même. La seconde est plus jolie mais tout aussi pleine de monde. On se prend un petit jus puis on s’allonge sur les filets suspendus au-dessus du vide. On repart avec un climat bien plus frais et on arrive un peu avant la nuit à l’hôtel. @ Minca, Magdalena, Colombia

21/03/2020

• Jour 404.2 •
La suite de la visite se fait par les rues principales de Medellin, on croise notamment la cathédrale avec ses environs de statues de Botero. Ensuite, on chope un taxi pour nous rendre à la Communa 13, le quartier anciennement le plus violent de la ville. Aujourd’hui, ça s’est calmé notamment grâce au tourisme mais ce sont les alentours qui restent dangereux. On est aussitôt abordé par une personne qui nous propose une visite guidée du quartier. Diana nous emmène donc à la découverte des graffitis du quartier en prenant soin de raconter l’histoire et les significations de chacune d’elles. Elle nous emmène aussi au musée de la Communa 13 et autres galeries d’art. Diana fait le taff avec passion et ne compte le temps passé avec nous, une visite originale et très sympa, on recommande fortement ! @ Comuna 13 - Medellin

17/03/2020

• Jour 404.1 •
Non ce n’est pas une erreur mais bien le jour 404. On sort visiter la ville de Medellin et voir ce qu’elle nous réserve. D’abord, elle est immense, ça grouille de partout que ce soit au niveau des piétons ou des véhicules. L’ambiance change radicalement par rapport à Carthagène où tout est plus touristique. Ici, la vie colombienne bat son plein. On commence la visite par la maison de la mémoire qui retrace l’époque sombre des cartels de drogue de plein de façon : en image, en vidéo, en article de presse, en son, en musique, en portrait, etc. Touchant et instructif. @ Medellín

04/03/2020

• Jour 403.3 •
On redescend pour le repas et le bus repart pour la dernière étape : le village de Guatapé. Celui-ci est très coloré avec de nombreuses fresques qui tapissent les murs extérieurs. On y flâne pendant une bonne heure et on repart, le trajet retour nous met KO, on somnole jusqu’à Medellin. @ Guatape, Piedra del Peñol

04/03/2020

• Jour 403.2 •
La visite s’enchaine avec un petit arrêt à l’église qui surmonte le lac, un joli point de vue. Mais ce n’est rien comparé au rocher d’El Peñol et ses 705 marches pour en gravir le sommet. On progresse doucement mais surement et la vue en haut est magnifique, on vient très bien les effets du lac artificiels sur les environs. @ Guatape, Piedra del Peñol

03/03/2020

• Jour 403.1 •
La veille, nous avons booké un tour pour nous rendre à Guatapé incluant de nombreux arrêts. On prend le bus à 8h avec les autres touristes du jour et on fait un premier arrêt petit-déjeuner, traditionnel et copieux, on sympathise au passage avec un couple de Mexicains en vacances dans le coin. Le premier arrêt de visite se fait au village d’El Peñol avec une église originale par son rocher énorme en guise de tour clocher. Ensuite, on s’arrête à un embalse (comprenez lac artificiel créé par un lac) pour y faire un tour en bateau. On y voit les maisons folles de footballeurs colombiens et des bâtiments abandonnés de Pablo Escobar. @ Guatape, Piedra del Peñol

28/02/2020

• Jour 402 •
Avec un avion à 13h, on doit quitter l’appartement à 11h, ce qui nous laisse uniquement le temps d’aller profiter la piscine sur le toit, on ne va pas s’en plaindre ! On profite un moment avant de prendre l’ultime taxi carthaginois. Direction Medellin ! On arrive à l’heure à l’aéroport et on prend un taxi pour aller jusqu’à l’hôtel avec une chambre spacieuse avec whirlpool bath, nous sommes gâtés ! On fait un tour dans les environs de l’hôtel, un quartier d’affaires sympathique avec de nombreuses plantes et arbres qui donnent l’impression d’une ville verte et propre. On mange dans le quartier le soir, il y a un choix de restaurant énorme ! @ Medellín

27/02/2020

• Jour 401.2 •
On retourne à l’appartement et on rejoint les parents à la piscine. Après cela, dernier tour dans Carthagène où nous mangeons dans un restaurant argentin, de la viande en quantité gargantuesque et de qualité. On digère en marchant jusqu’au château San Felipe, un fort du 18ème siècle construit sur une colline de Carthagène. Cette visite clôture notre venue à Carthagène et nous laisse un très bon souvenir. @ Cartagena, Colombia

24/02/2020

• Jour 400 •
Il ne reste que 2 jours à Carthagène, c’est passé bien vite ! Au programme aujourd’hui la visite du palais de l’inquisition. Dès l’entrée, on nous annonce qu’il s’agit d’un musée sur l’histoire de la ville en général mais qui parle peu de l’inquisition espagnol, le nom est trompeur car il s’agit du nom du bâtiment. Finalement, il y a une bonne partie du musée qui est consacrée à cette période. On y apprend que les Espagnols ont tout mis en œuvre pour imposer leur religion, allant jusqu’à torturer/tuer les personnes qui ne font pas leur acte de foi. Ensuite, nous avons eu le droit à quelques maquettes de la ville et les différentes attaques quelle a subi. Intéressant mais c’est surtout l’intérieur du vieux bâtiment qui vaut le détour. Après le repas, on parcourt les rues en quête de souvenirs et on demande à un taxi de nous déposer à « la plus belle plage » de Carthagène. On fait donc une balade en bord de mer avec coucher de soleil en toile de fond. Nous sommes dans le quartier Bocagrande, très touristique et artificiel, on y passe simplement le repas avant de repartir. On ne manque pas d’écrire « jour 400 » dans le sable pour symboliser cette ultime centaine passée ! @ Cartagena, Colombia

24/02/2020

• Jour 399.3 •
On repart de cette visite originale pour se diriger vers la plage Pola au sud, encore un spot paradisiaque. 4 poissons du jour plus t**d et nous revoici à l’hôtel pour récupérer les affaires et reprendre le bateau. Mais cette fois-ci c’est bien différent, les 2 moteurs tournent à pleine puissance et le choc contre les vagues est intense. Pendant une demi-heure on se fait secouer comme des s****** et tous les passagers se prennent de l’eau dans la figure (Et surtout 😅), ce qui nous vaut quelques bons fous-rires ! Sans savoir pourquoi, la bateau fait escale sur une plage très touristique, le temps de prendre un dernier bain de mer. On repart alors pour Carthagène avec tout autant de secousses, nos muscles s’en souviendront ! Une fois en ville, on préfère rentrer aussitôt en taxi pour prendre une do**he et ressortir ensuite. Après le repas, on se dirige à Donde Fidel, la bar à salsa le plus connu de la ville. Mais la musique est si forte que nous préférons nous installer en terrasse pour regarder la foule du vendredi déambuler sur la place principale. @ Isla Grande, Las Islas De Rosario

24/02/2020

• Jour 399.2 •
Nous sommes accueillis par des locaux qui vivent dans la construction en ruine, ils nous demandent de payer 10 000 pesos pour pouvoir visiter le site, explications sur les différentes pièces inclues. Le guide nous montre les chambres, la salle de poker, les tunnels qui relient au village, la piste d’hélicoptère, etc. Petit bonus pour Eric et Alexis qui partent à l’exploration de l’épave d’avion qui gît au fond de l’eau depuis 25 ans. L’eau limpide permet de bien apprécier toute l’envergure de l’appareil. @ Isla Grande, Las Islas De Rosario

24/02/2020

• Jour 399.1 •
Second jour sur l’île paradisiaque d’Isla Grande. Tôt le matin, la chaleur est déjà présente. Après le petit-déjeuner, nous comptons visiter la maison à l’abandon de Pablo Escobar. « El Patron » a vécu ici et toute l’île lui appartenait avec pas moins de 1500 occupants pour gérer ses affaires, une vraie prison dorée. @ Isla Grande, Las Islas De Rosario

23/02/2020

• Jour 398.2 •
Après la présentation du bungalow, on se rend à la plage publique via le chemin qui longe le village et les mangroves. Sur place, l’eau d’un bleu turquoise nous tend les bras mais nous préférons répondre en premier à l’appel de l’estomac. On déguste un superbe poisson du jour avant de prendre un bain de mer. Alexis part en quête de la barrière de corail pendant que les autres font bronzette. On rentre à l’hôtel au crépuscule, l’occasion pour Alexis et Philippine d’aller voir le coucher de soleil. On se retrouve ensuite tous les 4 pour le diner. @ Isla Grande, Las Islas De Rosario

23/02/2020

• Jour 398.1 •
Nous quittons l’appartement tôt pour prendre un taxi en direction du port de la Bodeguita. De là, nous attendons le bateau qui nous mènera à Isla Grande, la plus grande île de l’archipel des îles Rosaires. Le temps de trajet doit durer 50 minutes selon Julio, le type qui nous a vendu les tickets. Mais après cette durée, nous sommes seulement sur une plage où certains passagers descendent, nous sommes enfaite dans un tour organisé et nous allons descendre plus loin. Justement, après une autre heure de navigation et quelques explications sur les îles, nous débarquons. Nous sommes immédiatement pris d’assaut par les locaux qui veulent nous accompagner à notre hôtel contre un petit billet. On tente plutôt de trouver nous-même l’hôtel, ce qui n’est pas si compliqué. Nous sommes bien accueillis tranquillement à la créole à la Casa Lola. @ Isla Grande, Las Islas De Rosario

21/02/2020

• Jour 396.3 •
On reprend un verre dans le Café del Mar qui permet de voir le coucher de soleil depuis les remparts, beaucoup d’autres personnes ont bien sur la même idée et il y a comme un attroupement à cet endroit. On part sur une très bonne impression de Carthagène, une ville ambiancée et bien entretenue, du moins à l’intérieur des remparts. @ Cartagena, Colombia

21/02/2020

• Jour 396.2 •
On flâne au hasard dans les nombreuses ruelles qui ont toutes quelques choses à apporter. On mange dans un restaurant aux allures chics pour déguster de bons plats colombiens avant de repartir en quête d’autres rues à voir. On réserve l’atelier de fabrication de chocolat pour le lendemain et le bateau pour les jours d’après sur les îles Rosaires. On se pose en terrasse en fin d’après-midi après avoir bien marcher toute la journée. Puis, on poursuit la visite en allant sur les remparts et explorer la ville différemment. A cette heure-ci, le vent s’est levé et est très fort mais pas assez pour diminuer la sensation de chaleur de la côte Caraïbes. @ Cartagena, Colombia

21/02/2020

• Jour 396.1 •
Première journée à sentir les embruns de Carthagène, c’est le cas de le dire car nous nous rendons dans la vieille ville en longeant la mer. On se sent un peu coincé entre la grande avenue routière et la plage. On rentre à l’intérieur des remparts de la ville par l’une des portes et c’est de suite plus silencieux et plus joli. On commence par entrer dans un centre commercial pour se mettre au frais puis on s’enfonce dans les rues de Carthagène, maisons colorées et balcons sculptés sont omniprésents, la ville vaut sa réputation ! Elle est aussi très touristique, on se fait aborder par de nombreux marchands différents pendant toute la journée. @ Cartagena, Colombia

16/02/2020

• Jour 392.2 •
On se pose un moment au bord du lac en bas du village, c’est fou de se dire que l’ancienne ville est ici, sous l’eau. On remonte et on se rend compte que l’on est à 2900m d’altitude, on n’avait pas remarqué mais c’est vrai que c’est le souffle est peu plus dure à récupérer ! @ Guatavita

15/02/2020

• Jour 391 •
C’est parti pour la Colombie : Après un vol de plus de 6h, nous voici à l’aéroport de Bogota. On échange quelques billets chiliens, on récupère les sacs, on croise pas mal de gens avec des masques pour éviter de choper de coronavirus (encore absent en Amérique du sud a priori) et on se renseigne pour choper un bus pour aller à l’hôtel. On grimpe dans un bus qui roule sur des voies dédiées, il est donc efficace. On sent les premières ambiances de Bogota, une ville qui semble grande mais avec peu de hauts bâtiments et des grandes rues, ça respire plus qu’à Santiago ! Les premiers prix que l’on voit nous font du bien, on va moins dépenser qu’au Chili, ou du moins pouvoir se faire plus plaisir. On se pose à l’hôtel, exténué par cette nuit à moitié dans l’aéroport et à moitié dans l’avion et part manger. Le réceptionniste de l’hôtel nous conseille une cantine colombienne juste à côté. Pour moins de 2€, on se retrouve chacun avec un plateau comprenant soupe, jus de mûre et plat complet, trop complet, on ne finit même pas, tout ça nous rappelle la Bolivie ! On visite un peu le quartier un peu excentré du cœur de Bogota et on y découvrir des rues bien animées. On retire de l’argent, on achète de quoi faire des sandwichs pour le lendemain et Alexis se fait couper les cheveux et la barbe. On rentre ensuite à l’hôtel, il faut que l’on dorme ! @ Bogotá D.C

11/02/2020

Une sacré page se tourne après cette aventure au Chili !
Elle a commencé avec le vol de nos backpack, une découverte incroyable : l'île de pâques 🌸, l'achat de notre van Amarillo, et grâce à lui : la liberté !

Que des souvenirs fantastiques 😍

07/02/2020

• Jour 387 •
Dernier jour sur Valparaiso. On entame la journée par une visite d’une exprison qui est aujourd’hui un parc à but social. L’endroit est cool, des salles de sport, un potager, des salles d’exposition, un peu de tout. On flâne un moment dans ce parc avant de rentrer déguster quelques empanadas, un classique ! A la fin du repas, l’une des volontaires de l’hôtel nous propose d’aller voir un match de basket de l’équipe féminine de Valparaiso. On s’attend à un évènement payant dans un grand gymnase mais il n’en est rien, nous voici aux abords d’un terrain de basket de rue et l’une des 2 équipes est en ret**d, ça ne fait pas trop officiel mais ça change ! On rentre à l’hôtel pour choper les sacs et on se dirige vers le terminal de bus en prenant un bus d’ailleurs. Sur place, Caco est ici avec un ami. C’est la cohue, il n’y a plus de ticket pour Santiago nulle part, et oui c’est un dimanche de vacances les retours sont nombreux. On chope finalement un ticket pour 21h, ce qui nous laisse le temps d’aller voir un mirador en prenant un autre des ascenseurs mythiques. On admire le coucher de soleil et on chope le bus, la fatigue nous rattrape facilement. Une fois à Santiago, on prend un Uber pour aller chez Caco, on retrouve ces 2 chats Cinco et Ocho, maouuuu 😻. @ Valparaiso

06/02/2020

• Jour 386 •
Nuit agitée par la soirée cubaine de la veille dans l’auberge de jeunesse mais aussi par les ronflements d’un voisin de dortoir. Un peu fatigués, on décide d’aller au musée d’histoire naturel. La visite est surprenante, on apprend plein de choses sur les baleines, et il semble bien que nous ayons vu des orques lors de nos premières nuitées en van. On y passe bien 2 h et on repart en direction du funiculaire qui remonte au quartier de l’hôtel. Mais en passant près d’une place principale, notre nez nous gratte puis la gorge puis ça nous pique fortement les yeux, nous sommes en plein dans un nuage de gaz lacrymo de la veille. Les sensations sont affreuses, on continue en accélérant le pas, un peu à l’aveuglette. On rentre au hasard dans une boutique et les gens nous conduisent dans l’arrière-boutique pour nous mettre un liquide sur le visage qui atténue les effets du gaz. Ces personnes nous conseillent de remonter rapidement à l’hôtel en prenant les transports pour éviter d’être plus touchés. On repart à pied car il semble que l’on ait passé le plus gros du nuage. Après ce mauvais moment, on passe à une boutique d’empenadas connue pour vendre plus de 80 sortes différentes. On en chope 3 à emporter et on va se poser à l’hôtel. On passe l’après-midi à se reposer. On sort à 7h pour faire un tour dans le quartier où nous avons rendez-vous avec , notre hébergeur pour 2 nuits à Santiago il y a 2 mois. Il a tenu à venir passer le début de soirée avec nous. On partage un moment au restaurant puis un verre, ça fait plaisir de le retrouver. @ Valparaíso, Chile

03/02/2020

• Jour 385.3 •
On rebrousse chemin et on repasse devant les lions de mer, cette fois-ci ils sont plus actifs, on s’att**de plus qu’à l’allée. On remonte doucement vers l’hôtel, épuisés par cette journée de marche en ville, ça faisait longtemps que nous n’avions pas autant profiter d’une ville. @ Valparaíso, Chile

03/02/2020

• Jour 385.2 •
On ressort donc découvrir les peintures de Valparaiso, oui c’est une ville de street art avec d’innombrables œuvres d’art à ciel ouvert. On commence la visite dans les rues sinueuses, c’est très sympathique avec des vues sur la mer fréquentes. On descend ensuite en bord de mer pour tenter de voir les lions de mer (ou loups de mer, on ne sait jamais). On marche le long de la plage et on tombe rapidement dessus, ils sont agglutinés sur un ancien ponton et ne font pas grand-chose de leur journée. On passe un moment à les observer et on continue la balade jusqu’au marché aux poissons. On tombe sur des hangars industriels abandonnés et tagués puis un ancien train réhabilité en café. On mange dans un restaurant de bord de mer, poisson frais au menu ! @ Valparaíso, Chile

03/02/2020

• Jour 385.1 •
Arrivée ponctuelle à Valparaiso à 7h. On chope les sacs et on marche en direction de l’hôtel situé à l’autre bout du centre. On traverse les rues principales qui ne semblent pas avoir un grand intérêt et on arrive à notre hôtel, fermé. Impossible de sonner ou quoi que ce soit, on demande l’avis à un balayeur de rue. Celui-ci nous indique que le quartier est bof bof et il nous indique un autre hôtel qui semble mieux pas très loin d’ici. On écoute son conseil et on se rend à l'hôtel voyage en prenant un funiculaire, un moyen typique de monter les collines de la ville. On est accueilli par une volontaire française qui nous précise que le check-in se fait à 15h. @ Valparaíso, Chile

01/02/2020

• Jour 384 •
C’est le jour de la passation, Amarillo va avoir de nouveaux parents. On se lève tôt pour aller chercher les premiers papiers au registre civil et au retour, les futurs parents sont déjà là. On leur fait découvrir Amarillo, on leur explique tout un tas de chose et Pancho arrive, prêt à aller chez le notaire pour que l’on leur cède officiellement Amarillo. Il y a du monde sur place et les démarches prennent plus de 2 heures mais l’essentiel est là, Amarillo leur appartient. On partage un bon poulet frites le midi pour faire plus ample connaissance. Pancho s’en va travailler pendant que nous expliquons notre voyage de 2 mois aux nouveaux propriétaires pour les aider pour la suite. Ils s’en vont et nous finissons d’arranger Amarillo, on remet les draps, on répare l’ultime étagère et il est prêt à repartir hormis les quelques réparations que Pancho n’a pas pu faire pour le moment. On reste dans la maison le soir et on partage le dernier repas avec la famille. On leur dit chauleuresement au revoir, espérant les revoir un jour. Pancho nous conduit jusqu’à la gare et les adieux sont émouvants, on monte dans le bus pile à l’heure et nous voici en route pour 8h dans le bus direction Valparaiso. @ Concepción Centro

31/01/2020

• Jour 382 •
C’est arrivé si vite, trop vite, le dernier jour où nous profitons d’Amarillo. On a pas mal de route à faire pour aller vers Concepcion. On s’arrête à Temuco, une grande ville, pour voir ce qu’il en est et visiter le marché. En arrivant, la ville ne fait pas envie, la ville fait assez sale. On s’arrête pour aller au marché qui nous rappelle ceux de Bolivie, cette ville semble bloquée dans le temps alors que le reste du Chili s’est développé. On ne s’att**de pas, on fait quelques courses et on repart. On fait plus de 3 heures de route pour atteindre Chome, le second spot que l’on a pu faire avec Amarillo tout au début de l’aventure. On y retourne pour boucler la boucle. On gare la caisse directement sur la plage, on fait un tour dans les environs notamment pour aller voir le bâtiment abandonné, ce que nous n’avions pas fait la première fois. On profite d’un magnifique coucher de soleil et on s’endort sereinement tout en étant conscient qu’il faudra bientôt dire au revoir à Amarillo. @ Caleta Chome

Auphildesvoyages

04/04/2020

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04/03/2020

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24/02/2020

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23/02/2020

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21/02/2020

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