Pacevents

Pacevents Nézha mon épouse est originaire de Meknes, une des 4 villes impériales du Maroc ; je suis originaire de Grez-Doiceau en Belgique.

Nous sommes une association de passionnés, un club automobile, fondée en 2000, dénommée P.A.C Events ( Provence Ardèche Cévennes Evènements) et non pas une agence de voyages. En 99 nous nous sommes expatriés à Issirac dans le Gard avant de construire à Marrakech en 2007 et nous nous partageons donc entre ces 2 belles régions et les deux cultures. Nous organisons 6 évènements en 2013 et c’est avec

plaisir que nous répondrons à vos questions si vous désirez plus d’informations. Créé en 2000 par un groupe d'amis dont la passion est la compétition en voitures anciennes. Les membres créateurs de ce club étaient:
Alter Bernard +
Borremans Eddy
Chaniol Olivier & Julie
de Bénédicte Jean-Louis +
Marino Yves & Monique
Nicolas Olivier
Roustand Thierry +
Thiry Dominique
# # Michel & Marie-Jo
# # François
A cette époque le club était affilié à la FFVE. En quelques réunions nous avons rapidement mis sur pieds une première organisation, c'est ainsi qu'est né le premier P.A.C Rallye au départ du Novotel d'Orange en 2002. Après cette première expérience les PAC Rally se sont enchainés pendant 6 ans ( Orange - Uzès - Millau - Ales - Vals les Bains et Manosque).

26/01/2023

La CNE a annoncé, lundi, avoir déposé un préavis de grève concernant la maison de repos du Lothier, à Ottignies, appartenant au gorupe Armonea. Le syndicat demande l'engagement de personnel supplémentaire, la possibilité pour les membres du personnel de soins de se concentrer sur leur foncti...

Exactement
24/01/2023

Exactement

24/01/2023
25/05/2015

PNEUS9.COM

06/03/2013

Le Voyage Jour 13

Pour bien comprendre le phénomène d'un delta il est nécessaire de lire cet article.

Le cycle de l'Okavango

L'Okavango est un fleuve qui ne trouve jamais la mer. Il s'écoule jusqu'à ce que l'on appelle un delta intérieur, phénomène très rare, dans lequel ses eaux s'étalent en de multiples bras jusqu'à être absorbés par les sables du Kalahari.
Il couvre plus de 15 000 km² d'eaux scintillantes, de labyrinthes de papyrus, de plaines inondables ponctuées d'îles et sillonnées de canaux.
Le niveau de l'eau dans le delta dépend donc de l'équilibre entre le débit du fleuve, la capacité d'absorption des sables et l'évaporation.Le Delta de l'Okavango connait ainsi un cycle de l'eau qui influe sur le paysage et la répartition des animaux sauvages rendant les safaris très différents selon les saisons. Il est donc important de bien comprendre ce phénomène très particulier qui assure une grande richesse en faune toute l'année, mais change aussi complètement les paysages.
De novembre à janvier
La pluie commence à tomber (1h tous les 3-4 jours), ne gênant pas les safaris dans un delta qui devient verdoyant. Températures entre 30 et 40°C en journée.
En février
La pluie atteint son maximum, ce qui oblige souvent les camps à fermer, le gibier se disperse face à l'abondance d'eau et de nourriture.
En mars-avril
Les pluies deviennent rares et les températures sont très agréables (25-35°C en journée). Les animaux restent dispersés mais très abondants. L'eau reste présente sous forme de mares et d'étangs, permettant aux animaux de supporter la sécheresse. La végétation est très verdoyante.
En mai et juin
L'eau issue des pluies tombées 5 mois auparavant sur le bassin qui alimente l'Okavango arrive dans le delta et provoque une crue du fleuve.
En juillet et août
Le fleuve est à son plus haut, l'ensemble du Delta est inondé, ne laissant que des ilots boisés sur lesquels sont construits les camps et les lodges.
Le gibier se concentre sur ces îlots pour profiter de cette eau absente en saison sèche. Les températures baissentc c'est l'hiver austral (20-25°C en journée).
L'abondance d'eau permet de faire des safaris en mokoro quasiment partout.
En septembre et octobre
Le niveau de l'eau baisse progressivement, la végétation sèche et le gibier se rassemble autour des derniers points d'eau. Températures de 30 à 45°C en journée.
Notre avis : On ne peut pas vraiment dire qu'une période est meilleure que l'autre pour découvrir l'Okavango, mais les expériences seront différentes : en période d'inondation (juillet-août-septembre), ce sont les paysages du Delta comme on l'imagine, mélange de terre et d'eau, avec les animaux qui se rassemblent sur les ilots ou nagent de l'un à l'autre. C'est donc la haute saison, avec des prix souvent élevés.
De mars à juin, la végétation est verdoyante, offrant des paysages superbes et toujours une grande abondance de faune qui commence à se rassembler autour des points d'eau restant. Les températures sont agréables.
De septembre à janvier, la végétation est plus sèche et rend plus facile l'observation des animaux en ne formant pas d'écran. C'est certainement la meilleure période pour voir les animaux, par contre vous ne verrez pas le Delta inondé, et les températures peuvent être très élevées. Pour pouvoir faire des safaris en bateau, veillez à sélectionner un lodge situé en bordure des eaux permanentes de la rivière.
La particularité des safaris dans l'Okavango est de pouvoir se faire dans les pirogues locales, appelées "mokoro", dans lesquelles vous glisserez silencieusement à la surface des eaux, observant les animaux sauvages à hauteur des yeux !

Bien que les Big Five y soient présents (observer des éléphants au bord de l'eau alors que vous êtes vous mêmes à 50 cm de haut est une vision mémorable...), ce sont les plus petites espèces qui attireront plus votre attention lors d'un safari en mokoro : martins-pêcheurs, aigles pêcheurs, poissons nageant dans les eaux cristallines...et crocodiles qui seront très près de vous.

06/03/2013

Le Voyage Jour 12

u la distance qui sépare le parc d'Hwange et la ville de Maun (+- 650 km) nous ferons cette longue étape en 2 jours.

Le delta de l'Okavango (ou marais de l'Okavango) est le second plus grand delta intérieur du monde (18 000 km2) après le delta central du Niger (40 000 km2 au maximum de son étendue au Mali)

Situé au nord du Botswana, la région faisait jadis partie du lac Makgadikgadi, disparu il y a environ 10 000 ans. Aujourd'hui l'Okavango n'a pas d'embouchure maritime. Il se déverse dans le désert du Kalahari, irriguant 15 000 km2 de celui-ci. Plusieurs millions d'îles se sont formées autour des termitières ou des bouquets de végétaux qui retiennent les alluvions. Vingt-quatre espèces d'échassiers nichent dans les îles. Certaines colonies sont simplement établies sur un figuier aquatique, le gomoti sous lequel s'abritent crocodiles et hippopotames. Chaque année environ 11 km3 d'eau coulent au delta ; une fraction crée le lac Ngami, plus au sud.

L'eau du delta est très pure en raison du peu d'agriculture et d'industrie sur les rives de l'Okavango. Il passe par les aquifères de sable des nombreuses îles et s'évapore en laissant d'énormes quantités de sel. La saturation de sel est tellement forte que la végétation est inexistante au centre des îles, où se forment des « croûtes » de sel.

Les eaux inondent la région de manière cyclique, au milieu de l'été austral et six mois plus t**d dans le sud (mai-juin). L'eau est vite évaporée en raison des températures élevées, créant des cycles de profondeur haute/basse dans le sud de la région. Les îles peuvent disparaître sous les eaux pendant les périodes d'inondation pour réapparaître à la fin.

06/03/2013

Le Voyage Jour 11

Nous consacrerons la journée à visiter le Hwange National Park le plus grand parc du Zimbabwe et s'étend sur la frontière qui sépare le Botswana du Zimbabwe..

Nommé d'après un chef local Nhanzwa, Hwange National Park est le plus grand parc au Zimbabwe occupe environ 14 650 kilomètres carrés. Il est situé dans le coin nord-ouest du pays à une heure au sud des chutes Victoria.
Il est devenu le terrain de chasse royale de Ndebele roi-guerrier Mzilikazi au début du 19 ème siècle et est devenu parc national en 1929. Hwange propose une sélection énorme de la faune avec plus de 100 espèces de mammifères et près de 400 espèces d'oiseaux recensées. Les éléphants de Hwange sont de renommée mondiale et la population d'éléphants du parc est l'un des plus grandes dans le monde. Le parc dispose de trois camps distincts et des bureaux administratifs à Robins, Sinamatella et le plus grand au camp principal.

Main Camp est situé à l'entrée principale du parc. Il existe de nombreuses casseroles et points d'eau pompés près de Camp principal et la région est riche en gibier.

Aménagements.

Main Camp possède des installations, y compris gîtes indépendants, bungalows et chalets, un camping et camping, bar et restaurant, épicerie, magasin de souvenirs et une station essence.

Lodges

Lodges à Hwange National Park sont des unités avec une ou deux chambres, salle de bains, cuisine entièrement équipée avec réfrigérateur et cuisinière, salon et véranda. Ustensiles de cuisine, couverts et vaisselle sont fournis.

Équipements
Restaurant et bar
Épicerie
Magasin de souvenirs
Station essence - s'il vous plaît noter les livraisons d'essence ne sont pas fiables afin que les visiteurs doivent prendre des mesures de précaution
Sinamatella

Fondée en 1966, cette partie du parc était un ancien ranch. Le camp est situé près de la limite nord du parc sur un promontoire, 55 mètres de haut, surplombant une plaine lointaine lit de la rivière et herbeux. Le Sinamatella nom est une déformation du nom d'un arbuste local appelé "chinamatira» qui caractérise en tiendrons aux vêtements quand frôla.

06/03/2013

Le Voyage Jour 9

PARC/ RESERVE DE CHOBE

La réserve de Chobe est très célèbre pour ses nombreux éléphants : environ 40 000. La faune est très riche car la réserve comple plus de 250 espèces d’animaux.
Le parc national de Chobe est principalement composé de marécages, de plaines inondées, de lacs asséchés, de rivières et de forêt.
Avec une surface de près de 11.000 km² , le parc animalier de Chobe est le troisième du Botswana par sa taille, après la Réserve du Kalahari Central et le Gemsbok National Park.

Limité au Nord par la rivière Chobe (sur laquelle les safaris se font en bateau à moteur) et au Sud par la réserve de Moremi, on divise généralement le parc en trois régions distinctes :
- Chobe Nord : La partie la plus développée du point de vue touristique et celle à laquelle nous faisons référence sous le nom de « Chobe ».
Les forêts de Mopanes dominent, la végétation est très abondante. Dans cet éden vert, Chobe abrite la plus grande concentration d’éléphants de toute l’afrique.
Les grands troupeaux de buffles, et la grande variété d’antilopes que l’on y observe font aussi la réputation du parc.
Sans oublier les prédateurs.
Ce sont les berges de la rivière Chobe qui accueillent la population animale la plus dense du parc.

- Linyanti au Nord / Ouest : Dans cette région se trouve en majorité les concessions privées où les lodges et camps jouissent d’une exclusivité jalousement protégée.
Parmi les activités : Safaris en pirogue, en bateau à moteur, en 4x4 de jour et de nuit, ou encore à pied.
Grâce à la présence permanente de l’eau, cette région abrite une faune variée et de très nombreux oiseaux. Une expérience complémentaire à une découverte du Delta de l’Okavango tout proche.

06/03/2013

Le Voyage Jour 10

Chutes Victoria
Nous consacrerons la journée à la visite de cet endroit imoubliable.

Les chutes Victoria sont l'une des plus spectaculaires chutes d'eau du monde. Elles sont situées sur le fleuve Zambèze, qui constitue à cet endroit la frontière entre la Zambie, à proximité de la ville de Livingstone, et le Zimbabwe. Le fleuve se jette dans la cataracte sur environ 1 700 mètres de largeur, et une hauteur qui peut atteindre un maximum de 108 mètres. Elles donnent un spectacle particulièrement remarquable, par leur disposition particulière - elles se jettent dans une longue faille du plateau, pour s'échapper par un étroit canyon. Elles peuvent ainsi être vues de face à une distance d'une centaine de mètres seulement.

Découverte
Bien qu'elles fussent connues des populations locales sous le nom de Mosi-oa-Tunya, la « fumée qui gronde », David Livingstone, l'explorateur écossais qui fut le premier Européen à observer les chutes en 1855, les renomma en l'honneur de la Reine Victoria du Royaume-Uni. La ville zambienne voisine porte le nom de l'explorateur.
Aire protégée
Les chutes sont le lieu de deux parcs nationaux, le Mosi-oa-Tunya National Park en Zambie et le Victoria Falls National Park au Zimbabwe, et aujourd'hui l'une des principales destinations touristiques en Afrique australe.
Les chutes Victoria font partie du patrimoine mondial de l'UNESCO.

Détails
De nombreux ilots au sommet des chutes divisent le flot en une série de chutes distinctes. En partant du côté du Zimbabwe, les chutes sont les suivantes :
Devil's Falls, les « chutes du Diable », les moins hautes (de l'ordre de 80 mètres), assez étroites, mais très violentes ;
Main Falls, les « chutes principales », sont séparées des Devil's Falls par Cataract Island. Elles sont un peu plus hautes et beaucoup plus larges que Devil's Falls, et sont interrompues par l'île Livingstone, longue et assez élevée ;
Horse Shoe Falls, les « chutes du Fer à cheval », et Rainbow Falls (les « chutes de l'Arc-en-ciel », la plus haute) se suivent pour former un ensemble de chutes encore plus long que Main Falls ;
Armchair Falls, les « chutes du Fauteuil », forment la chute suivante ; on ne l'aperçoit distinctement que de la rive zambienne ;
Eastern Cataract enfin, la « cataracte de l'Est » est celle qui borde la rive zambienne.

Vue générale des 1,7 km des chutes Victoria, permettant de voir l'ensemble des chutes et des îles. Le Zimbabwe est à droite, et la Zambie à gauche. On distingue en arrière-plan le pont reliant les deux pays.
Le nuage d'eau pulvérisée produit par les chutes peut s'élever à quatre cents mètres de haut, et parfois plus (le débit variant énormément selon la saison, voire l'année), pour être visible jusqu'à une distance de l'ordre de 40 kilomètres. Ce nuage d'eau est à l'origine d'une petite zone de forêt dite "pluviale" (ou rain forest) située sur la face botswanienne des chutes et presque continuellement arrosée par la pluie de ce nuage.
À travers les siècles, les chutes ont remonté l'aval du fleuve, s'écoulant en différents endroits des gorges, ce qui forme de nos jours le canyon escarpé et en zigzag en aval des chutes.
La marmite, qui est le début d'une impressionnante série de gorges (80 kilomètres de long) à travers lesquelles la rivière s'écoule après les chutes, est barrée par un pont long de 198 mètres et s'élevant à 128 mètres au-dessus des eaux. C'est l'un des quatre ponts franchissant le fleuve. C'est un lieu fameux pour la pratique du bungi, le « saut à l'élastique », où l'on peut effectuer un saut de 111 mètres de haut1. Le rafting est pratiqué dans les gorges en contrebas.

Pendant la saison des pluies, le fleuve charrie quelques 9 100 m3 d'eau par seconde. Pendant la saison sèche, les chutes peuvent occasionnellement être réduites à quelques cascades, et le grondement et le brouillard disparaître. À ce moment il est possible, si l'on n'est pas sujet au vertige, de se baigner jusqu'à l'extrême limite du bord de la faille, dans un petit bassin naturel protégé, accessible de l'île Livingstone2. Il est possible de nager près des chutes.

La journée sera "open" pour vous permettre de visiter et de pratiquer vos activités préférées.

06/03/2013

Le Voyage Jour 8

Aujourd'hui nous sommes dans la partie est de la bande de Caprivi, où la bande se fait plus large à l'extrémité nord-est de la Namibie.

Mudumu National Park

La réserve naturelle de Mudumu est ouverte aux visiteurs bien qu'aucune infrastructure n'y soit prévue pour les touristes ( hormis le Lianshulu lodge, situé sur une concession au coeur du parc ).
Surface de 75 000 ha, protégées depuis 1990, sont essentiellement couvertes de mopanes*, Terminalia*, Acacias*, Teks de Rhodésie et de plaines marécageuses.

La faune exeptionnelle qui habite les bords du fleuve Kwando ( qui devient le fleuve Linyanti lorsqu'il bifurque en direction du Nord-est, à l'extrèmité sud de la bande de Caprivi, puis devient le Chobé à l'est du lac Liambezi )...

Pas d'humains dans cette savane marécageuse et inhospitalière de 350 km2, impénétrable à la saison des pluies et desséchée le reste de l'année.
Eléphants, hippopotames, buffles, antilopes et bien d'autres encore, se partagent la végétation dense et les hautes herbes.
Les nombreux troncs qui paraissent flotter sur les bras du fleuve Linyanti sont des crocodiles...

En fonction de notre timing nous choisirons sur place le ou les parcs à visiter, si le timing le permet il serait également intéressant de passer par le parc Chobe, un très grand parc situé au Botswana.

Comme vous avez pu le lire nous aurons l'embarras du choix pour sélectionner notre parc.

En fin de journée nous nous rapprocherons de la frontière zambienne et des chutes Victoria pour profiter pleinement de ce spectacle grandiose où nous passerons la journée.

06/03/2013

Le voyage Jour 7
La bande de Caprivi est tel qu'un doigt pointé vers l'Est.

En partant de Rundu nous pénétrons dans la bande de Caprivi.
De nombreux villagent se dressent dans les clairières défrichées, les femmes piétinent le millet, les enfants jouent au football et leurs visages s'illuminent à la vue de tout véhicule auquel ils peuvent faire signe.

Scène d'ydille africaine certes, mais qui masque une réalité d'autant plus âpre.
L'agriculture à elle-seule n'est pas en mesure de nourrir les habitants. L"exode rural est par conséquent important et la chance de trouver un travail dans les grandes villes est très mince.
La B8 qui traverse la bande de Caprivi est le principal axe pour le transport routier et permet de relier les ports de l'Atlantique aux pays intérieurs, et a permis à la prostitution et au sida de se développer dans la région. Alors que la population namibienne compte en moyenne 22 % d'adultes séropositifs, ce taux atteint 43 % en Okavango, un véritable fléaux.

Situation géographique

La région de Caprivi est située à l'extrême Nord-Est de la Namibie.
Elle est constituée de l'Est de la bande de Caprivi et de l'ancien bantoustan du Caprivi Oriental (ou Lozi).
Longue de 480 kilomètres, la région de Caprivi est bordée par le Botswana au Sud, l'Angola et la Zambie au Nord et le Zimbabwe à l'Est.
Le chef-lieu et plus grande ville est Katima Mulilo.

Situation Climatique

La région de Caprivi jouit d'un climat typiquement tropical, avec des températures élevées et des précipitations importantes pendant les saison des pluies qui s'étend de décembre à mars.
Ce qui en fait la région la plus humide de la Namibie.
Le territoire est constitué principalement de marécages, de plaines inondables, de terres humides et de zones boisées.
La région de Caprivi est irriguée par plusieurs cours d'eau permanents : le Zambèze, formant la frontière avec la Zambie, et ses affluants : le Cuando et le Chobe formant la frontière avec le Botswana et le Linyanti. Le point le plus oriental de la région (et de la Namibie) est la confluence du Cuando et du Zambèze.
On y compte 450 espèces d’animaux, dont des éléphants, ce qui fait de la région une destination populaire pour la chasse au gros gibier.
La région de Caprivi est aussi une région exceptionnelle pour l’observation ornithologique, avec près de 70% des espèces d’oiseaux recensées en Namibie.
Histoire

La région de Caprivi tire son nom de la bande du même nom et le tient du chancelier allemand Leo von Caprivi.
Celui-ci négocia en 1890 un échange de territoires avec le Royaume-Uni pour faire en sorte que cette bande de terre soit annexée au Sud-Ouest Africain, ceci afin de donner à la colonie allemande un accès au Zambèze dans le cadre du traité de Helgoland-Zanzibar.
En 1964, le rapport de la commission Odendaal préconise la création de bantoustans en Namibie dans le cadre de la politique d'apartheid menée par le gouvernement sud-africain.
Ce qui est aujourd'hui la région de Caprivi est alors partagée entre les bantoustans de Kavangoland et de Caprivi Oriental en 1972 et le Caprivi oriental gagne l'autonomie en 1976. Le bantoustan sert alors le cadre à des incursions de la SWAPO venant d'Angola voisin. En mai 1989, les bantoustans sont réintégrés à la Namibie et les régions actuelles sont créées au moment de l'indépendance du pays en mars 1990.
Des tensions ethniques entre les Lozis et les Ovambos, groupe ethnique majoritaire dans le nord de la Namibie, conduisent alors à des conflits et à la formation en 1994 du Front de libération de Caprivi qui lutte pour l’autonomie des Lozis du Caprivi.
Peuple et villes
Katima Mulilo est le chef-lieu et la plus grande ville de la région de Caprivi.
Les autres villes importantes sont Choi, Chinchimane, Bukalo, Sibinda et Impaliola.
Au recensement de 2006, 79 826 personnes vivent dans la région de Caprivi, soit 4,3 % de la population totale de la Namibie.
En 1991, la population était de 90 422 personnes. Environ 17 000 appartiennent à l'ethnie des Lozis, groupe ethnique présent aussi dans l'Ouest de la Zambie (556 000 personnes), dans le Nord-Ouest du Zimbabwe (70 000 personnes) et dans le Nord du Botswana (14 000 personnes).

Parcs et réserves naturelles

La faune sauvage est protégée par plusieurs réserves naturelles, telles que le Bwabwata, le Mudumu, et le parc national de Mamili.
Les animaux y circulent librement à travers les frontières (non matérialisée sur le terrain) avec le Botswana, dans le parc national de Chobe.
Toute la partie ouest de la Caprivi a désormais le statut de réserve animalière.

En 2002, le parc national de Mahango ( Mahango National Park ) et le parc animalier de l'ouest Caprivi ( Western Caprivi Game Park )
ont été réunis pour former le parc national de Bwabwata ( Bwabwata National Park )...

Notre programme du jour.

Avant de visiter le parc de Mahango qui est situé à la fois en Namibie et et au Botswana nous visiterons les Popa Falls.

Falls (chutes) est un bien grand mot, il serait plus juste de dire cascade car à cet endroit la rivière fait des creux de 3 à 4 mètres, nous pourrons nous en approcher en bateau et bien sûr voir les hippopotanes qui sont sur les rives ou autour de notre bateau.
Ne soyez pas étonnés si ils viennent cogner notre embarcation.

Lors de notre périple en 2007 au parc Mahango nous avons observé pendant des heures une lionne manger une autruche, un spectacle inoubliable que nous vous raconterons par le détail.
Nous logerons entre les chutes et le parc probablement au Divava lodge le long de la rive à l'écoute des hippos.

06/03/2013

Le Voyage Jour 6
Après cette journée exceptionnelle à l'Etosha Park; dès la sortie du parc nous nous dirigerons vers 2 petits lacs.

Otjikoto est situé à proximité de la ville minière de Tsumed.
Parti d'une rivière souterraine, le lac a été découvert lorsque la voûte d'une grotte de dolomite s'est effondrée. Le lac est petit, avec un diamètre d'environ 102m, mais très profond, avec une profondeur estimée à plus de 142m.

Après une bataille entre Anglais et Allemands les hostilités finales ont eu lieu dans les environs de Otjikoto et, plutôt que d'abandonner leurs armes et l'artillerie de l'ennemi, les armes lourdes et les wagons de munitions, ont été déversés dans le lac. Beaucoup de ces reliques ont été retrouvées depuis, mais pas tout. Le lac contient encore diverses pièces d'artillerie et il ya des rumeurs que les troupes allemandes ont également disposé leur trésor de guerre de la même manière. On raconte l'histoire d'un grand coffre-fort dont les trous de serrures scellées avec du plomb fondu et contenant 6 millions goldmarks, se trouverait toujours dans ce lac. Le coffre-fort n'a jamais été revu depuis.
Le lac Guinas, est situé au sud-ouest de Otjikoto, mais il est généralement ignoré en faveur de Otjikoto. Le détour vaut bien l'effort, comme Guinas est non seulement plus profond, mais plus pittoresque que son homologue plus célèbre.
Nous ne manquerons pas l'occasion de voir le plus grand météore jamais retrouvé sur notre planète - la météorite de Hoba.
Ce fragment fait donc 2,5m x2,0m sur 1m d'épaisseur, pèse 60 tonnes (j'ai pas vérifié...) Ce gros caillou est en métal, et oui cette météorite est en sidérite, c'et un alliage de 82% de fer, 16% de nickel, et 1% de cobalt. C'est une composition peu courante (6% des météorites seulement).
Les informations touristiques situent son impact entre 60.000 et 80.000 ans seulement. Les scientifiques eux disent qu'ils ne savent pas.

Après cette brève visite nous visiterons un nouveau parc qui se trouve
sur la route pour nous rendre à Rundu, nous ne manquerons pas de faire une halte et de découvrir cette nouveauté.

Je vous livre ci-dessous le texte de présentation sur le site web de ce parc.

Mangetti NP

Entouré d'un bel environnement et d'une grande variété d'animaux le Mangetti NP est l'une des nouvelles attractions dans la région de Kavango. Le parc a pour but de faire bénéficier les communautés locales des ressources naturelles de la zone par le tourisme durable.

Le Mangetti était un camp d'élevage pour les espèces rares et menacées.

En particulier les populations de rhinocéros noirs et blancs ont été pris en charge dans ce sanctuaire. En 2008, le territoire a revendiqué le statut de parc national et propose désormais la visite du parc qui s'étend sur un pittoresque territoire de 420 km2. La faune dans le parc comprend élans, gnous bleus, des impalas, oryx, koudous, girafes et des zèbres de Burchell. Les visiteurs du parc ont également la chance de voir les prédateurs comme le léopard et l'hyène, ainsi que le chien sauvage africain en voie de disparition. Mangetti National Park est situé à 100 km de Rundu et fait partie de l'Espace récemment proclamée Kavango Zambezi conservation transfrontalière.
La densité de la population et la circulation augmente au fur et à mesure que l'on s'approche de la petite cité fluviale très animée de Rundu (45.000 hab) sur les rives de l'Okavango.
Ce fleuve prend sa source dans les montagnes de l'Angola pour ensuite faire la frontière entre l'Angola et la Namibie, plus loin il forme un delta que nous ne manquerons pas de voir.
L'okavango est l'artère vitale de toute cette région appelée la bande de Caprivi, sa crue apporte l'eau si précieuse et fertilise les terres.

A Rundu nous pourrons visiter le marché local avec de jolis produits artisanaux.
Nous logerons dans un lodge situé le long de la rivière pour y entreprendre une promenade en bateau et découvrir une faune jusqu'ici nouvelle pour nous ; crocos, hippos etc...

Bien que très passif les hippopotames sont la cause du plus grand nombre d'accidents.

Nous vous souhaitons une bonne nuit au bord de la rivière.

06/03/2013

Le voyage Jour 5
ETOSHA PAN NP.

Notre traversée du parc.

Nous rentrerons au parc d'Etosha par Anderson gate au sud du parc, le village est Okaukuejo dans la journée nous traverserons le parc pour sortir le lendemain matin par la porte Lindiquist à l'est ou la nouvelle porte King Nehale située au nord du parc.
Le soir nous logerons à Namutoni à l'est, distante de 123 km.

Donc 2 nuits dans le parc et une journée libre.





Pour cette journée vous disposerez d'une carte précise qui vous donnera la possibilité de prendre des pistes autres que la principale et de vous rendre à divers points d'eau en toute liberté, vous recevrez également des photos des principaux animaux afin de pouvoir les identifier.

Le repas de midi sera libre.

Description du Etosha National Park.

Etosha National Park, "la grande blanche", se trouve au Nord de la Namibie, il abrite 144 espèces de mammifères et plus de 340 espèces d'oiseaux.
Etosha est déclaré réserve animalière en 1907, le parc s'étendait alors sur 93 240 km2.
Dramatiquement réduit par le gouvernement sud-africain dans le cadre de la politique de "homeland" ( plan Odendaal), le parc d'Etosha reste encore l'une des plus grandes réserves animalières du monde, s'étirant sur 350 km d'est en ouest, sur une surface de 22 275 km2.
Au centre d'Etosha, le fameux pan ( lac salé asséché )auquel Etosha doit son nom, a été formé par l'assèchement d'une vaste mer intérieur, dont l'évaporation daterait de 2 à 10 millions d'années.

Aujourd'hui, ce pan de 6 133 km2 forme une vaste dépression d'argile blanchâtre, terre de mirage, qui ne se remplit d'eau qu'à la saison des pluies et offre alors un spectacle grandiose avec l'arrivée de milliers de flamants roses et de grues couronnées.
Protégé à l'intérieur de son véhicule, le spectateur peut circuler librement sur les nombreuses pistes balisées et contempler en toute quiétude la vie diurne de ces Animaux.

A l'extérieur du parc d'Etosha, les réserves et ranchs privés offrent, à un prix considérablement plus élevé, une richesse faunistique similaire mais avec moins de contraintes ( game drives nocturnes et marches à pied guidées ).
Le parc d'Etosha lui-même est géré par les Namibia Wildlife Resorts.
C'est une aire hautement protégée ou la réglementation est stricte et quelque peu contraignante ( pas de game drive après le coucher du soleil, pas de marche à pied en brousse guidée par un ranger ... ).
Néanmoins, Etosha reste l'un des plus célèbres parcs africains et a le mérite d'être abordable pour toutes les bourses.
La visite du parc d'Etosha est un must ! Pour dormir à l'intérieur du parc d'Etosha, il est essentiel de réserver longtemps à l'avance pour les mois d'hiver austral ( juillet à septembre ).

Formalités et points d'intérêts d'Etosha.

Formalités du parc :
Le permis d'entrée peut être obtenu au bureau du tourisme du parc ou auprès de l'office de réservation des parc nationaux de Windhoek : NAMIBIA WILDLIFE RESORTS.
TARIFS à la journée pour l'entrée aux parc :
Adulte : 80N$ / personne.
Voiture : 10N$ / vehicule max de 10 places.
NOTES :
Le réglement du parc d'Etosha est très stricte : na pas descendre du véhicule, ne pas dormir à la belle étoile.
Les camps doivent être atteints avant la nuit tombée ( pas de game drive de nuit ) et n'ouvrent leur porte qu'au lever du soleil.

REGLEMENT COMPLET D'ETOSHA

Centres d'intérêt du parc :
A l'intérieur du parc, de nombreuse pistes de gravier ( en bon état ) permettent de visiter la réserve avec son propre véhicule et d'observer la faune à son rythme.
Il est important de bien respecter les règle de conduite.
Pour ceux qui voudront l'assistance d'un guide ( compter env. 600N$ la demi journéé ).voir tarif.
Des survols en avion sont également proposés par Comav, à partir d'Ongava Lodge ( à coté d'Okaukuejo ), et Etosha Fly in safaris.
Ceux qui désirent visiter le parc à bord de leur propre véhicule devront se souvenir que les portes d'entrée du parc sont ouvertes de lever au coucher du soleil et la vitesse y est limitée à 60km/h.
Il est interdit de quitter les pistes balisées, d'emmener des passagers sur la galerie des voitures ainsi que de circuler après la tombée du jour.

CONSEIL :

Lors de votre arrivée dans le parc, veillez à consulter le "livre des visiteurs" de chaque Restcamp, où vous trouverez les dernières informations ( lieu et date ) concernant la faune qui à été observée afin de vous aider à choisir une direction pour votre game drive.
De plus, n'hésitez pas à vous poster patiement près d'un point d'eau en attendant le passage des différents animaux, car ce sont souvent là qu'ont lieu les scènes les plus intéressantes.
Un point d'eau éclairé toute la nuit permet aux résidents des restcamps d'Okaukuejo, de Halali et de Namutoni de contempler les animaux en toute sécurité.

L'accès à Etosha est interdit aux motos.

La zone du parc national d'Etosha ouverte au public ne représente qu'une partie de la réserve animalière, sa partie ouest est actuellement réservée aux chercheurs, vétérinaires et écologistes des parcs nationaux, et ne peut être visitée qu'avec des tour-opérateurs ou des fermiers dont les terres sont en bordure du parc et qui peuvent obtenir un permis spécial.

Coordonnées :
NAMIBIA WILDLIFE RESORTS - 189 Indépendance Avenue, PO Box 13267, Windhoek
Tel :( 00 264 )( 0 ) 61 236 975/6/7/8 - FAX : ( 00 264 )( 0 ) 61 224 900
Site internet : www.nwr.com.na - Email : [email protected].

Périodes

-Si vous souhaitez voir un grand nombre de mammifères ( rhinocéros, Eléphants, félins,... ), il est préférable de choisir les mois d'hiver de la saison sèche ( juillet, aout, septembre ):
on peut alors observer les animaux aux points d'eau et dans les herbes sèches, et les arbres sans feuilles facilitent la visibilité dans la savane.

Attention :
Les nuits sont froides ( blousons, gants et bonnets sont recommandés pour les games drives matinaux ou les observations de nuit ). La température moyenne en juillet est de 6°C. Les journées passées à l'intérieur de la voiture sont parfois très chaudes.
-Juste après la saison des pluies ( avril, mai ), le paysage d'Etosha offre une image totalement différente, où la verdure prédomine et la savane est plus dense.
On peut alors observer les jeunes antilopes et d'autres petits nés pendant la saison des pluies.
-En été, lorsque le pan se remplit d'eau ( janvier, février ), les ornithologues pourront observer des espèces migrantes non présentes en hiver.
Attention :
La chaleur est pesante et les moustiques très actifs en cette période.
Hébergements à Etosha National Park
Epacha Game Lodge and spa Etosha Prix : 425 €
Eagle Tented Lodge Prix : N$ 3527

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