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29/10/2021

Aérien

Vous prenez l’avion demain ? Voici ce que vous devez savoir sur les nouvelles exigences en matière de vaccination

29 octobre 2021 – Le gouvernement fédéral a annoncé aujourd’hui de nouvelles exemptions et un délai de grâce pour les ressortissants étrangers non vaccinés alors que les nouvelles exigences de vaccination pour les voyageurs entrent en vigueur demain.

Le ministre des Transports Omar Alghabra a fait une annonce à midi à l’aéroport Pearson de Toronto au sujet des ordres définitifs et des directives de Transports Canada qui ont été émis aux compagnies aériennes et aux chemins de fer à la suite de consultations, a déclaré une source gouvernementale à CBC News.

À partir de 3 h du matin, le 30 octobre, tous les voyageurs au Canada âgés de 12 ans et plus doivent être complètement vaccinés avant de monter à bord des avions, des trains ou des navires de croisière dans ce pays. Même les personnes entièrement vaccinées doivent présenter la preuve d’un test moléculaire COVID-19 négatif à leur retour au Canada. Ottawa fait face à des pressions pour abandonner cette exigence.

Les Canadiens voyageant à l’étranger devront suivre les règles de la compagnie aérienne et du pays dans lesquels ils entrent, ce qui peut inclure des tests.

Selon les règles du gouvernement, les voyageurs doivent être doublement vaccinés deux semaines avant le voyage.

Si les voyageurs ont commencé le processus de vaccination mais ne l’ont pas encore terminé, ils peuvent présenter la preuve d’un test moléculaire COVID-19 valide jusqu’au 29 novembre. À compter du 30 novembre, ils ne seront pas éligibles pour voyager, sauf pour des exemptions limitées.

La de CBC News source au gouvernement a déclaré que l’une des exemptions qui sera annoncée aujourd’hui concerne les urgences et les communautés éloignées afin qu’elles puissent accéder aux services essentiels.

Environ 72 pour cent de la population totale du Canada est complètement vaccinée. Ce qui est largement moins qu’en France par exemple, où la couverture vaccinale est de 86.6% et où tous le monde peut voyager peu importe son statut vaccinal. Les voyageurs non vaccinés ont la possibilité de présenter une preuve négative de test COVID19.

Autre nouveauté aujourd’hui, l’Administration canadienne de la sûreté du transport aérien (ACSTA) soutiendra les exploitants en confirmant le statut de vaccination.

Pour être admissible à titre de voyageur entièrement vacciné au Canada, vous devez avoir reçu au moins 2 doses d’un vaccin contre la COVID-19 accepté par le gouvernement du Canada ou un mélange de 2 vaccins acceptés

Ce qu’il faut savoir sur les vaccins obligatoires pour les voyageurs :

Délai de grâce pour les voyageurs étrangers non vaccinés quittant le Canada
Omar Alghabra annoncera également de nouvelles mesures transitoires pour les ressortissants étrangers non vaccinés qui ne vivent pas au Canada mais qui sont entrés dans le pays avant le 30 octobre, a indiqué la source. Ils auront jusqu’au 28 février pour montrer la preuve d’un test moléculaire COVID-19 valide afin de monter à bord d’un vol les emmenant hors du pays.
Le gouvernement a déjà déclaré en août que tous les employeurs des secteurs du transport aérien, ferroviaire et maritime sous réglementation fédérale sont tenus d’ici demain de déployer des politiques de vaccination obligatoires pour leur organisation.

Après une courte période de transition, les entreprises doivent garantir que le personnel, y compris ceux qui travaillent dans les restaurants et les magasins de détail dans les aéroports, seront entièrement vaccinés ou ils seront contraints de quitter leur emploi.

L’annonce d’aujourd’hui n’inclura pas de mise à jour sur les travaux du gouvernement sur un certificat de vaccin standardisé.

Source: CBS News

23/09/2021
Nouvelles exigences d’entrée au Canada : résultat négatif au test de la Covid-19Foire aux questionsDepuis le jeudi 7 jan...
11/01/2021

Nouvelles exigences d’entrée au Canada : résultat négatif au test de la Covid-19
Foire aux questions

Depuis le jeudi 7 janvier 2021, tous les voyageurs aériens âgés de cinq ans ou plus qui se rendent au Canada en provenance d’un pays étranger sont tenus de fournir la documentation écrite ou électronique prouvant qu’ils ont reçu un résultat négatif à un test moléculaire de la COVID-19 effectué dans les 72 heures précédant le départ prévu de leur vol.

1. Qui doit passer un test moléculaire de la COVID-19?

Depuis le jeudi 7 janvier 2021, tous les voyageurs aériens âgés de cinq ans ou plus doivent se soumettre à un test moléculaire de la COVID-19 avant d’entrer au Canada. Ce test doit être réalisé à l’aide d’une méthode d’amplification en chaîne par polymérase (PCR) ou d’amplification isotherme à médiation par boucle de transcription inverse (RT-LAMP) pour le dépistage de la COVID-19. Ce test doit être effectué dans les 72 heures précédant le vol prévu du voyageur pour le Canada. La preuve d’un résultat de test négatif devra être présentée à la compagnie aérienne avant l’embarquement. Sans un résultat négatif au test moléculaire de la COVID-19, les voyageurs se verront refuser l’embarquement.

2. Où les tests moléculaires de la COVID-19 peuvent-ils être effectués?

Le gouvernement canadien devrait fournir dans les prochains jours une liste des centres de dépistage approuvés. Entre-temps, les voyageurs à destination peuvent passer un test moléculaire de la COVID-19 dans des cliniques agréées par une organisation gouvernementale ou une association professionnelle, ou qui détiennent une accréditation ISO, ce qui répond au critère exigé par le gouvernement canadien. Sunwing a établi une liste préliminaire des centres de dépistage à destination, à titre indicatif seulement.

Veuillez noter qu’il relève de l’entière responsabilité du voyageur de s’assurer de respecter cette exigence en matière de test. Tout voyageur qui ne présente pas ces documents à l’enregistrement se verra refuser l’embarquement sur son vol de retour au Canada.

De plus, tous les coûts associés au test moléculaire de la COVID-19, de même que les frais de déplacement pour se rendre à la clinique et en revenir, sont engagés par le client. Sunwing ne peut garantir la disponibilité des rendez-vous ni le moment de la réception des résultats.

Les voyageurs qui ont des questions ou des préoccupations concernant les nouvelles exigences en matière de test peuvent consulter voyage.gc.ca ou communiquer avec leur représentant Sunwing à leur hôtel ou par l’intermédiaire de l’application Sunwing.

3. Quels types de tests de la COVID-19 les voyageurs peuvent-ils effectuer?

Le gouvernement canadien exige que le test soit réalisé à l’aide d’une méthode d’amplification en chaîne par polymérase (PCR) ou d’amplification isotherme à médiation par boucle de transcription inverse (RT-LAMP) pour le dépistage de la COVID-19.

4. Les voyageurs peuvent-ils effectuer un test d’antigènes ou d’anticorps?

À l’heure actuelle, les exigences d’entrée au Canada concernent uniquement les tests PCR et RT-LAMP pour le dépistage de la COVID-19. Les tests d’antigènes ou d’anticorps, ainsi que d’autres types de tests tels que l’interférométrie en phase diffractive, ne sont pas acceptés.

5. Si le voyageur a été vacciné contre la COVID-19, doit-il quand même fournir un résultat négatif au test de la COVID-19?

Oui. Il doit fournir un résultat négatif au test moléculaire de la COVID-19 pour voyager au Canada et se mettre en quarantaine pendant 14 jours à son arrivée.

6. Quelles options sont offertes à ceux qui ne désirent plus voyager à cause de la nouvelle exigence de fournir un résultat négatif au test moléculaire de la COVID-19 en rentrant au Canada?

Les clients qui ont des questions ou des préoccupations concernant leur réservation avec Vacances Sunwing peuvent communiquer avec leur agent de voyages ou le Centre des ventes de Sunwing au 1 877 786-9464.

7. Qu’arrive-t-il si les voyageurs ne peuvent pas fournir de test moléculaire de la COVID-19 valide lors de l’enregistrement pour leur vol vers le Canada?

Conformément aux directives du gouvernement du Canada, les passagers qui ne peuvent pas fournir la preuve d’un résultat négatif au test moléculaire de la COVID-19 se verront refuser l’embarquement par la compagnie aérienne.

Il relève de l’entière responsabilité du voyageur de s’assurer d'obtenir la preuve valide d’un résultat négatif à un test moléculaire de la COVID-19 dans les 72 heures précédant le départ prévu de son vol. Les voyageurs qui ne respectent pas cette exigence et qui se voient refuser l’enregistrement seront responsables de toutes les dépenses liées à la réservation de nouveaux sièges d’avion, ainsi que des frais d’hébergement et de repas.

Les Canadiens qui ont besoin d’une aide consulaire d’urgence peuvent communiquer avec le bureau local de leur destination. Ils peuvent également s’adresser au Centre de surveillance et d’intervention d’urgence (CSIU) à Ottawa, ouvert 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Le CSIU peut être joint par téléphone au 613 996-8885 ou par courriel au [email protected].

Le guichet unique du gouvernement du Canada qui rassemble toute l'information concernant les voyages à l'étranger.

Nouvelles Exigences D'Entrée Au Canada: Ce Que Vous Devez SavoirÀ compter du mercredi 6 janvier 2021 à 23 h 59 HNE (jeud...
06/01/2021

Nouvelles Exigences D'Entrée Au Canada:

Ce Que Vous Devez Savoir
À compter du mercredi 6 janvier 2021 à 23 h 59 HNE (jeudi 7 janvier 2021 à 4 h 59 UTC), tous les voyageurs aériens âgés de cinq ans ou plus qui se rendent au Canada en provenance d’un pays étranger seront tenus de fournir la documentation écrite ou électronique prouvant qu’ils ont reçu un résultat négatif à un test PCR de la COVID-19 effectué dans les 72 heures précédant le départ prévu de leur vol.

1. Qui doit passer un test PCR?

À compter du mercredi 6 janvier 2021 à 23 h 59 (HNE), tous les voyageurs aériens âgés de cinq ans ou plus devront se soumettre à un test PCR de la COVID-19 avant d’entrer au Canada. Ce test devra être effectué dans les 72 heures précédant le vol prévu du voyageur pour le Canada. La preuve d’un résultat de test négatif devra être présentée à la compagnie aérienne avant l’embarquement. Sans un résultat négatif au test PCR de la COVID-19, les voyageurs se verront refuser l’embarquement.

2. Où les tests PCR peuvent-ils être effectués?

Le gouvernement canadien devrait fournir dans les prochains jours une liste des centres de dépistage approuvés. Entre-temps, les voyageurs à destination pourront passer un test PCR dans n’importe quel centre de dépistage, pour autant qu’il soit accrédité par une organisation gouvernementale ou une association professionnelle, ou qu’il détienne une accréditation ISO.

Les clients qui ont des questions ou des préoccupations concernant les nouvelles exigences en matière de test devraient consulter voyage.gc.ca pour plus d’informations.

3. Si le voyageur a été vacciné contre la COVID-19, doit-il quand même fournir un test PCR négatif?

Oui. Il doit fournir un résultat négatif au test PCR pour voyager au Canada et se mettre en quarantaine pendant 14 jours à son arrivée.

4. Un client ne veut pas voyager à cause de la nouvelle exigence de fournir un résultat négatif au test PCR de la COVID-19 en rentrant au Canada. Quelles sont ses options?

Les clients qui ont des questions ou des préoccupations concernant leur réservation avec Vacances Sunwing peuvent communiquer avec leur agent de voyages ou le Centre des ventes de Sunwing au 1 877 786-9464.

5. Qu’arrive-t-il si les voyageurs ne peuvent pas fournir de test PCR valide à l’enregistrement pour leur vol vers le Canada?

Conformément aux directives du gouvernement du Canada, les passagers qui ne peuvent pas fournir la preuve d’un test PCR négatif se verront refuser l’embarquement par la compagnie aérienne. Ils seront responsables de toutes les dépenses liées à la réservation de nouveaux sièges d’avion, ainsi que des frais d’hébergement et de repas.

6. Qui est responsable des frais pour le test PCR de la COVID-19?

Tous les coûts associés au test PCR, de même que les frais de déplacement pour se rendre au centre de dépistage et en revenir, sont engagés par le client.

7. Que se passe-t-il si un client reçoit un résultat positif à la COVID-19 alors qu’il se trouve à destination?

Les voyageurs qui reçoivent un résultat positif au test de dépistage de la COVID-19 doivent suivre les directives et les conseils des autorités sanitaires locales. Bien que les protocoles varient d’une destination à l’autre, le voyageur sera probablement transféré dans un établissement de santé publique pour y recevoir des soins et être mis en quarantaine. Il sera libéré des soins médicaux et de la quarantaine uniquement selon les protocoles de l’autorité sanitaire locale, avant d’être autorisé à rentrer au Canada.

Le guichet unique du gouvernement du Canada qui rassemble toute l'information concernant les voyages à l'étranger.

Voici les critères  admissibilités pour recevoir le 1000$ comme expliqué dans les journaux.Êtes-vous admissible regarde ...
03/01/2021

Voici les critères admissibilités pour recevoir le 1000$ comme expliqué dans les journaux.

Êtes-vous admissible regarde bien les conditions.
Vous pouvez constater par vous même que cette article dans le journal est une façon de diviser la population.
Avant de porter un jugement il faut faire les vérifications.

https://www.canada.ca/fr/agence-revenu/services/prestations/prestation-maladie-relance-economique/pcmre-qui-demande.html voir les critères d’admissibilité, clairement pas pour les voyageurs

Apprenez-en plus sur la Prestation canadienne d'urgence pour les étudiants (PCUE) : qui y a droit, comment faire une demande, combien vous pouvez recevoir, comment retourner un paiement.

23/12/2020

On comprend très bien les autorités de déconseiller – voire d’interdire et même de punir – tout comportement susceptible de favoriser la propagation de la COVID-19. Personne ne peut être en désaccord avec ça !

Mais le fait de voyager, actuellement, est-il vraiment l’un de ces comportements ?

Est-ce que voyager est un geste irresponsable – si on le fait en respectant les nombreuses mesures sanitaires qui s’appliquent désormais à chaque étape d’un voyage et si, de surcroît, on observe la quarantaine de rigueur au retour ?

Existe-t-il des données qui confirment qu’en voyageant, à l’heure actuelle, on court particulièrement de risques de contracter la COVID et de la transmettre ensuite ?

La dangerosité des voyages : mythes et réalités
Pas plus t**d qu’hier (22 décembre), le ministre de la Sécurité publique, Bill Blair, indiquait que seulement 1,8 % de tous les cas de COVID-19 au Canada sont liés aux voyages internationaux.

« Cela signifie que 98,2 % des transmissions liées à la COVID-19 sont le résultat de transmissions communautaires, et non de voyages internationaux », insistait le ministre, tout en se désolant des commentaires énoncés ces derniers jours « qui, franchement, sont une présentation erronée regrettable de ce qui se passe réellement à nos frontières ».
LIRE PLUS – Les cas de transmission de la COVID en avion sont «extrêmement rares», confirme à son tour Theresa Tam

Avant cela, la Dr Tam, administratrice en chef de l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC), avait aussi reconnu que les cas de transmission à bord des avions sont « extrêmement rares ».

Et une étude de l'Université Harvard a aussi démontré que les risques de transmission de la COVID-19 durant un vol sont moins élevés que ceux qu’on court en faisant l’épicerie ou en mangeant à l’intérieur d’un restaurant.

On sait par ailleurs que, pour pouvoir rouvrir et accueillir leurs clients de façon sécuritaire, les tout inclus – qu’on est si prompt à critiquer ces jours-ci – ont multiplié les mesures sanitaires : taux d’occupation restreint, port du masque, lavage de mains, distanciation, plexiglass, prises de températures, etc.

LIRE PLUS – Moins de risque de contracter la COVID-19 en avion qu’à l’épicerie ou au restaurant !

Les gentils et les méchants
Mais l’humeur actuelle est de critiquer les voyages, les voyageurs, et ceux qui les vendent. Comme si la situation n’avait pas évolué depuis le mois de mars…

Hier (22 décembre), les chefs de tous les partis de l’Assemblée nationale ont uni leur voix pour demander aux Québécois de ne pas voyager. Aujourd’hui, l’article en ligne de Radio-Canada sur le nombre de nouvelles infections est illustré par… un passager s’apprêtant à prendre l’avion. Et on ne compte plus le nombre d’articles, de chroniques et d’éditoriaux qui vont dans ce même sens.

« Je suis très déçu de la perception que les médias généralistes projettent sur l’industrie et sur les gens qui voyagent, commente Moscou Côté, président de l’AAVQ. Il n’y a pas, d’un côté, un gentil virus qui circule dans les Costco ou dans le métro, et de l’autre, un méchant virus qui se tient dans les avions et les tout inclus. C’est le même virus ! Alors, où qu’on soit, il faut observer les mêmes précautions sanitaires.
Selon lui, si les autorités trouvent que les voyages représentent véritablement un risque, qu’elles les interdisent carrément… et qu’elles assument les conséquences qui s’ensuivront. « Mais permettre les voyages tout en faisant peur au monde, je trouve ça désolant ! »

André Desmarais, président sortant du conseil régional de l’ACTA au Québec, croit que si les voyageurs sont pointés du doigt, voire stigmatisés, actuellement, c’est en raison de leur rôle au début de la pandémie. La fameuse semaine de relâche…

« On ne peut nier qu’au départ, ce sont les voyages qui ont permis à ce virus, découvert en Chine de se propager un peu partout sur la planète, dit-il. Le problème, c’est qu’on nous perçoit encore comme des méchants, comme des propagateurs, alors que la réalité, c’est que le virus, il est déjà partout, désormais. »
Et la réalité, poursuit M. Desmarais, c’est aussi que le monde du tourisme a pris énormément de mesures pour minimiser les risques ces derniers mois – mesures auxquelles s’ajoutent des exigences gouvernementales, comme la quarantaine à l’arrivée au Canada.

« Tester, tester et tester à nouveau »
En attendant que tout le monde soit vacciné, la solution n’est pas la fermeture des frontières, répètent depuis des mois des organisations comme l’OMT, le WTTC, l’IATA, l’OACI, etc.

LIRE PLUS – L’IATA appelle à la réouverture des frontières – avec des tests et sans quarantaine !

« Les interdictions générales de voyager ne peuvent pas être la solution. Elles n’ont pas fonctionné dans le passé et elles ne fonctionneront pas maintenant », a déclaré la présidente et chef de la direction du WTTC, Gloria Guevara.
Selon elle, s’ils suivent tous les protocoles, les voyageurs ne présentent pas de risque plus élevé que les autres membres de la communauté. Logiquement, seules les personnes infectées par le COVID-19 devraient être interdites de voyager.

Et pour faire le tri, ça prend des tests ! Ça prend un régime uniforme de test complets et rapides mis en place dans tous les aéroports du monde.

« La COVID-19 est susceptible d’être parmi nous pendant un certain temps. Par conséquent, plutôt que d’imposer des interdictions de voyager, les gouvernements doivent adopter des politiques plus souples et plus pratiques pour gérer les risques de manière à permettre aux gens de travailler et de se déplacer en toute sécurité. "Tester, tester et tester à nouveau" est le mantra de l’OMS depuis près d’un an maintenant, et nous implorons les gouvernements de suivre ce conseil », conclut l’IATA.
LIRE PLUS – L'IATA assure que le risque de transmission de la COVID est minime à bord des avions

23/12/2020

Cher client, ami (es)
Je profite de l’occasion pour vous souhaiter une excellente période des fêtes malgré les inconvénients actuels, je vous souhaite une année 2021 remplie de joie de santé et de prospérité.
Que la nouvelle année vous apporte bonheur et réussite dans tout!

C’est toujours un immense plaisir pour moi de vous accompagner dans vos démarches de vacances et sachez que c’est notre collaboration ainsi que votre fidélité qui sont la clef de ma réussite.
Je souhaite avoir le plaisir de vous faire découvrir de nouveaux horizons pour encore bien des années à venir !!!
Merci de votre confiance et meilleurs vœux à tous !
Votre agent de voyage 514-993-7263

27/11/2020

Il y a quelques compagnies d’assurances qui remboursent les voyages annulés pendant la pandémie. Je vous recommande de contacter votre compagnie pour vérifier la nouvelle politique..

Vous n’avez rien à perdre...

Bon matin à tous.AVIS IMPORTANTSÀ partir du 21 novembre 2020, tous les voyageurs entrant au Canada par avion doivent fou...
23/11/2020

Bon matin à tous.

AVIS IMPORTANTS
À partir du 21 novembre 2020, tous les voyageurs entrant au Canada par avion doivent fournir leurs renseignements liés à la COVID-19 au moyen de l’application ou du site Web ArriveCAN,
et ce, avant leur départ vers le Canada. Un manquement à cette obligation pourrait entraîner une amende.

Pour plus de détails, visitez Canada.ca/ArriveCAN

16/05/2020

(Paris) Le groupe Air France-KLM a annoncé vendredi que les clients dont les vols ont été annulés en raison de la crise du coronavirus pourront se faire re...

11/05/2020

(Genève) L’Association du transport aérien international (IATA) a affirmé mardi que le risque d’attraper la COVID-19 en vol était faible et qu’il n’était d...

07/05/2020

Transat annule les vols jusqu'au 30 juin.

05/05/2020

La croisiériste Carnival Cruise Line a annoncé lundi que toutes ses croisières nord-américaines et australiennes seraient annulées jusqu’au 31 juillet

30/04/2020

On connaît les clips des orchestres, des clubs de sport... Toutes ces créations anti-morosité ! Mais quand on est hôtesse et steward Air France à l'aéroport de Nice, comment évoquer cette période compliquée avec humour ? Attachez vos ceintures, voici un clip qui décolle !

La Côte d'Azur!
30/04/2020

La Côte d'Azur!

(Nice) Sur la Promenade des Anglais, silencieuse depuis le début du confinement, un goéland a fait son nid chez Castel Plage, à l’emplacement des matelas e...

28/04/2020

PLANÈTE ÉCONOMIQUE

Cuba, l’île paralysée
LA PRESSE
Parmi tous les pays qui n’ont pas les moyens d’investir massivement pour aider leur population à traverser la crise de la COVID-19, il y a Cuba. Le pays occupe une place particulière dans le cœur des Québécois, qui apprécient son hospitalité, mais qui l’oublient une fois les vacances finies.
Les temps sont durs à Cuba. Le tourisme, principal moteur de l’économie cubaine, est à l’arrêt complet et pourrait le demeurer longtemps. Mais bien avant la fermeture des frontières à cause de la pandémie, la population commençait à être lentement asphyxiée par les sanctions américaines.
L’administration américaine actuelle s’emploie depuis son élection à refermer la porte ouverte par le président Barack Obama vers la normalisation des relations entre les États-Unis et Cuba. Et comme si fermer la porte n’était pas suffisant, le gouvernement Trump a entrepris d’étouffer l’île en éliminant toutes les sources d’oxygène qui lui parvenaient encore.
L’interdiction faite en juin 2019 aux navires de croisière américains de visiter l’île a fait mal à Cuba. Mais le coup le plus dur a été les sanctions américaines contre le Venezuela, qui ont empêché le pétrole vénézuélien de parvenir à Cuba en sanctionnant les navires qui le transportaient.
Certaines des sanctions américaines ont des répercussions sur les entreprises d’autres pays, comme le Canada. Exemple : Washington a réduit de 25 % à 10 % la part de contenu américain que peut intégrer un produit fait au Canada pour pouvoir être exporté à Cuba sans entrave.
Le pire coup porté par les Américains à l’endroit de Cuba est probablement la décision de mai 2019 d’autoriser tout citoyen ou entreprise des États-Unis à s’adresser aux tribunaux pour obtenir une compensation pour des biens expropriés lors de la révolution de 1959, il y a 60 ans. Cette possibilité de poursuite est une menace qui fera fuir les banques et les investisseurs étrangers qui s’intéressaient de plus en plus à Cuba, notamment dans les secteurs touristique et pharmaceutique.
Une autre décision récente de l’administration américaine a limité à 1000 $US par trimestre la somme que les Cubains qui résident aux États-Unis peuvent envoyer à leur famille dans l’île.
Cet acharnement des Américains est difficile à justifier, si l’on songe que l’économie de Cuba représente à peine 0,08 % de l’économie mondiale et que son régime n’est une menace pour personne, surtout pas pour les États-Unis.
L’AUTRE CRISE
L’accumulation des sanctions américaines était en voie de faire reculer Cuba de 30 ans, alors que l’éclatement de l’Union soviétique a laissé le pays complètement démuni.
En ces temps de crise sanitaire mondiale, ces sanctions sont encore plus injustes. Il a fallu que la haute-commissaire aux droits de l’homme de l’ONU, Michelle Bachelet, sonne l’alarme. Les sanctions comme celles qui frappent Cuba doivent être assouplies ou suspendues de toute urgence, pour des raisons humanitaires, a-t-elle plaidé le 24 mars.
La communauté internationale devrait faire écho à cet appel de l’ancienne présidente du Chili, d’autant que de plus en plus de pays font appel à l’expertise médicale de Cuba pour combattre la COVID-19.
Le régime cubain a une longue tradition d’aide médicale internationale. On l’accuse de faire travailler ses médecins dans des conditions d’esclavage pour amasser des devises étrangères qui lui font cruellement défaut. Il reste que les médecins cubains ont rendu service partout dans le monde, pour combattre l’Ebola en Afrique ou le choléra en Haïti.
L’Italie, le pays le plus touché d’Europe par la pandémie, a reçu l’aide des médecins cubains. La France y aura recours pour soigner la population de ses départements outre-mer. Au Canada même, les communautés autochtones du Manitoba ont aussi réclamé leurs services, une proposition que la vice-première ministre Chrystia Freeland a déclinée.
Le peuple cubain risque d’être bien seul pour traverser la crise. Comme toujours, peut-on ajouter. Mais il a au moins ses médecins, et peut-être une bouée de sauvetage, avec l’Interferon Alpha-2b recombinant. Ce médicament mis au point en collaboration avec la Chine a été utilisé avec succès dans le traitement de plusieurs maladies comme la dengue et le VIH/sida.
L’Interferon Alpha-2b recombinant est actuellement à l’essai pour traiter le coronavirus. Ironiquement, un pays qui manque de tout pourrait faire partie de la solution à cette autre crise. À suivre.
CUBA EN CHIFFRES
Population : 11,4 millions
PIB : 97 milliards US
PIB par habitant : 8821 $US
Principales exportations : nickel, sucre, cigares, rhum
Principales importations : céréales, viande, pétrole
Nombre de cas de COVID-19 : 1369
Nombre de morts : 54 (au 26 avril 2020)

22/04/2020

Informations supplémentaires pour le remboursement.

Voyage, crédit, remboursement: 6 choses utiles

Votre voyage ne peut avoir lieu en raison de la pandémie de coronavirus. Serez-vous remboursé? Par qui? À quoi pouvez-vous vous attendre?

Chaque cas est différent, mais voici quelques informations utiles pour démêler - un peu - les morceaux du casse-tête.

1. EN CAS DE VOLS ANNULÉS, LES COMPAGNIES AÉRIENNES CANADIENNES VOUS OFFRENT UN CRÉDIT VOYAGE.
Pour le moment, les compagnies aériennes du pays n’offrent pas de remboursement en cas de vols annulés, elles proposent plutôt des crédits voyages, généralement utilisables dans les 24 prochains mois.

Vous trouverez les détails sur le site web des entreprises, ainsi que des informations sur la façon d’obtenir le crédit. Dans certains cas, comme avec Transat, vous n’avez rien à faire: il vous sera automatiquement émis.

Si vous aviez un vol avec une compagnie américaine, européenne ou autre, vérifiez sur le web quelles sont les politiques en vigueur.

2. VOTRE ASSURANCE CONSIDÈRE SANS DOUTE LE CRÉDIT VOYAGE COMME UN REMBOURSEMENT.
Le crédit voyage ne vous convient pas et vous voulez un remboursement? Votre premier réflexe est de vous tourner vers votre assurance voyage annulation (si vous avez en avez une). Or, en général, les compagnies d’assurances considèrent le crédit voyage comme un remboursement. C’est écrit noir sur blanc, par exemple, sur le site de Desjardins, de même que sur celui de CAA Québec.

Cela veut dire que même si vous avez une assurance annulation ou que votre carte de crédit en comprend une, vous ne recevrez pas de remboursement en argent pour votre vol annulé si on vous offre un crédit.

Vérifiez tout de même directement auprès de votre assureur, et notez que d’autres frais de voyage pourraient vous être remboursés.

3. LE FICAV POURRAIT VOUS PERMETTRE D’OBTENIR UN REMBOURSEMENT AU LIEU D’UN CRÉDIT... MAIS IL Y A UNE CONDITION.
Si - et seulement si - vous avez fait affaire avec une agence de voyages du Québec certifiée, vous êtes couvert par le FICAV ou Fonds d’indemnisation des clients des agents de voyages.

Le FICAV, explique l’Office de protection du consommateur (OPC), est «une protection financière dont vous bénéficiez automatiquement en faisant affaire avec un agent de voyages titulaire d’un permis du Québec.» Cela comprend les agences de voyages en ligne membres, comme Expedia.

Si votre compagnie aérienne ou agence de voyage ne vous rembourse pas pour les services touristiques non rendus, vous pouvez donc faire une demande auprès du FICAV et obtenir des sous, si vous respectez certaines conditions. Tout est expliqué ici, sur le site de l’OPC: conditions, démarches, etc.

4. VOS AUTRES RECOURS POUR OBTENIR UN REMBOURSEMENT AU LIEU D’UN CRÉDIT SONT PLUTÔT LIMITÉS EN CE MOMENT.
La situation actuelle est inédite, et compliquée. La décision des compagnies aériennes de ne pas offrir l’option du remboursement a l’appui de l’Office du Transport du Canada.

Pour Option Consommateur, un organisme sans but lucratif qui défend les consommateurs, la loi serait tout de même du côté des voyageurs déçus et ils auraient droit de demander un remboursement si le crédit ne les arrange pas.

Des demandes d’actions collectives ont été d’ailleurs déposées contre certaines compagnies canadiennes en lien avec leur refus de rembourser des clients; c’est un dossier à suivre.

Selon Option Consommateur, vous avez un autre recours pour obtenir un remboursement avant de penser aux tribunaux: «demandez la rétrofacturation à votre émetteur de carte de crédit, pourvu que l’achat ait été fait en ligne ou par téléphone et que la compagnie aérienne ait refusé de vous rembourser pour l’annulation du vol». Certains délais doivent toutefois être respectés, et si votre voyage a été prévu de longue date, il est fort probable que vous ne les respectiez pas.

L'organisme précise en outre qu'il n'est «pas illégal pour un commerçant d’offrir un crédit voyage» et «qu'il peut bien convenir à certains consommateurs».

5. VOUS POUVEZ ANNULER UN VOYAGE PRÉVU PLUS T**D CETTE ANNÉE, MAIS...
Votre vol est toujours à l'horaire, mais vous ne souhaitez plus partir en voyage? En gros, si vous avez acheté un voyage après que le gouvernement canadien ait émis un avertissement officiel aux voyageurs, leur recommandant d’éviter tout voyage non-essentiel hors du pays, vous n’obtiendrez de compensation nulle part.

Si vous avez fait des plans de voyage avant cette date, contactez vos prestataires de services (agences, lignes aériennes, etc.) pour voir quelles sont les conditions d’annulation et de modification liées à votre voyage. Elles varient. Contactez ensuite votre assureur si vous avez une assurance annulation.

Sachez que les compagnies aériennes ont assoupli leurs conditions de modification et d’annulation en raison de la pandémie. Certains offrent un premier changement de dates sans frais et/ou un crédit-voyage à utiliser plus t**d.

La plupart des hôtels ont également assoupli leurs règles pour les voyages du printemps. Les hôtels Germain, par exemple, acceptent actuellement les changements et annulations sans frais jusqu’au jour de l’arrivée. Airbnb, de son côté, permet désormais d’ annuler gratuitement les séjours réservés avant le 14 mars 2020 et dont la date d’arrivée est au plus t**d le 31 mai 2020.

Pour les voyages à plus long terme, il est préférable d’attendre et de surveiller l’évolution de la situation, ainsi que les avis officiels aux voyageurs du gouvernement canadien, pour voir si vous serez éligible à des remboursements ou non.

6. IL VAUT MIEUX ATTENDRE À LA DERNIÈRE MINUTE POUR FAIRE VOS DÉMARCHES.
Compagnies aériennes, agences de voyage, compagnies d’assurances... Toutes sont débordées, et doivent gérer une surcharge d’appels et de requêtes en ligne. Les entreprises demandent aux voyageurs de laisser la place aux gens dont les voyages sont imminents, généralement dans les 72 prochaines heures (ou 30 prochains jours dans le cas de certaines assurances).

Informez-vous en ligne des délais à respecter et des démarches à faire sur les pages dédiés à la Covid-19 de chacune des compagnies.

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