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FAITES LIRE CECI AUX TALIABNS DE KAMTO « Un de nos camarades rentre du Congo, Zé Zé Samuel. Un jour, on lui confie des e...
23/02/2024

FAITES LIRE CECI AUX TALIABNS DE KAMTO

« Un de nos camarades rentre du Congo, Zé Zé Samuel. Un jour, on lui confie des exemplaires de « Cameroun Nouveau ». Il se rend à Yaoundé, s’asseoit à la gare routière et se met à le lire en mangeant. On reconnaît le symbole du crabe et on le suit. Il se fait arrêter à Sangmélima. Nous apprenons cela, on fait donc une opération nocturne. On se déploie à 2h du matin, on distribue des tracts dans cette ville. Des agents de la police vont arrêter dans un village le vieux Owona Minbo’o qui était en contact avec nous, on le torture et il nous dénonce. Comme la clandestinité nous a appris des techniques diverses pour communiquer, un de nos camarades qui travaillait à l’ESSTIC me fait parvenir une note qui me dit de partir quelque temps. Alors, je pars pendant environ un an et je vais séjourner un peu partout. Je finis à l’Ouest où je reste entre les Bamboutos et la Menoua chez des anciens upécistes et des plus jeunes. »

Extrait entretien Thierry Ngongang

PENETRANCE EST E LA VILLE DE DOUALA UN AN TROIS MOIS APRES LE REDEMARRAGE DES TRAVAUX.EVOLUTION DES TRAVAUX EN IMAGE, EN...
16/02/2024

PENETRANCE EST E LA VILLE DE DOUALA UN AN TROIS MOIS APRES LE REDEMARRAGE DES TRAVAUX.EVOLUTION DES TRAVAUX EN IMAGE, EN ATTENDANT LE DEMARRAGE DES ROUTES CONNEXES

NEUF JOURS POUR PARTIR DE KOUTABA POUR YAOUNDE A PIEDS  𝐅𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐦𝐚𝐫𝐜𝐡𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐚𝐧𝐝𝐨 𝐝𝐞 𝟒𝟎𝟎 𝐤𝐢𝐥𝐨𝐦𝐞̀𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐄𝐥𝐞̀𝐯𝐞𝐬   𝐒𝐨𝐮𝐬-...
25/01/2024

NEUF JOURS POUR PARTIR DE KOUTABA POUR YAOUNDE A PIEDS

𝐅𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐦𝐚𝐫𝐜𝐡𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐚𝐧𝐝𝐨 𝐝𝐞 𝟒𝟎𝟎 𝐤𝐢𝐥𝐨𝐦𝐞̀𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐄𝐥𝐞̀𝐯𝐞𝐬 𝐒𝐨𝐮𝐬-𝐎𝐟𝐟𝐢𝐜𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐝𝐮 𝐂𝐨𝐧𝐭𝐢𝐧𝐠𝐞𝐧𝐭 𝟐𝟎𝟐𝟐 𝐝𝐮 𝐂𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐝’𝐈𝐧𝐬𝐭𝐫𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐄𝐥𝐞̀𝐯𝐞𝐬 𝐒𝐨𝐮𝐬-𝐎𝐟𝐟𝐢𝐜𝐢𝐞𝐫 (𝐂𝐈𝐄𝐒𝐎) 𝐝𝐞 𝐊𝐨𝐮𝐭𝐚𝐛𝐚 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐑𝐞́𝐠𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐋’𝐎𝐮𝐞𝐬𝐭.

Plus de 1000 Elèves Sous-Officiers de la 6ème promotion du Centre d’Instruction des Elèves Sous-Officiers de Koutaba, dont 736 Elèves Sous-Officiers des Armées et 375 Elèves Sous-Officiers de Gendarmerie Nationale ont achevés la marche commando de 400 kilomètres. Partis de Koutaba dans la Région de l’Ouest le mercredi 10 janvier 2024, ils sont arrivés dans la cité capitale ce vendredi 19 janvier 2024 sous les acclamations et encouragements des populations sorties en masse.

© MINDEF

LE GROUPE CADYST INVEST INAUGURE L’USINE DE TRANSFORMATION AGROINDUSTRIELLE LA PASTA   DE KRIBIAprès la fusion création ...
11/01/2024

LE GROUPE CADYST INVEST INAUGURE L’USINE DE TRANSFORMATION AGROINDUSTRIELLE LA PASTA DE KRIBI

Après la fusion création ayant abouti à la naissance d’un nouveau patronat au Cameroun, Celestin Tawamba fait une fois de plus parler de lui. Président fondateur du groupe Cadyst Invest, il a procédé a l’inauguration ce matin à Kribi de la toute première industrie de transformation agroalimentaire de la zone portuaire.

Plusieurs personnalités membres du gouvernement, autorités administratives, traditionnelles et religieuses, élites locales étaient présentes à cette cérémonie, Parmi les membres du gouvernement présents, le ministre des mines de l’industrie et du développement technologique, le ministre des transports et le ministre du commerce.

La nouvelle usine La Pasta a une capacité de production de 12 mille sacs de 50kg de farine de Blé par Jour .Elle transforme le blé en pâtes alimentaires de semoule de blé dur, de biscuits secs et fourrés et de production de solutés pharmaceutiques .

En Octobre de l’année dernière, le groupe Cadyst Invest réceptionnait le tout premier bateau de produis agroalimentaires du terminal polyvalent de cette infrastructure portuaire. Un véritable patriotisme économique qui marque son attachement à la ville de Kribi, d’où les remerciements du maire de la ville. L’usine La Pasta du port de Kribi va générer plus de 500 emplois.

Cameroun Liberty

10/08/2023
HENRY NJALLA QUAN PEUT  MENTIR COMME UN ARRACHEUR DE DENTS Njalla Quan a prétendu qu’il n’était pas à la réunion qui l’a...
03/07/2023

HENRY NJALLA QUAN PEUT MENTIR COMME UN ARRACHEUR DE DENTS

Njalla Quan a prétendu qu’il n’était pas à la réunion qui l’a suspendu … qu’il aurait appris sa suspension via les réseaux sociaux !

«Alors comme prévu, je viens d'apprendre ma suspension via les réseaux sociaux. Comme c'est intéressant ! » Henri Njalla Quan

30/06/2023

DEUX MINUTES POUR TOUT COMPRENDRE SUR LA FUSION CREATION GICAM-ECAM

AUTOROUTE KRIBI-LOLABE : LES MINISTRES NGANOU DJOUMESSI ET LOUIS PAUL MOTAZE A LA BARRELes     premiers mois d’exploitat...
14/06/2023

AUTOROUTE KRIBI-LOLABE : LES MINISTRES NGANOU DJOUMESSI ET LOUIS PAUL MOTAZE A LA BARRE

Les premiers mois d’exploitation de l’autoroute Kribi Lolabe révèlent une surévaluation des charges à 408 milliards de FCFA. Les ministres Nganou Djoumessi et Louis Paul Motaze avaient surévalué le trafic sur l’autoroute Kribi Lolabe, 4 à 5 fois supérieures au trafic réel. Une situation qui met à mal le trésor public qui doit rembourser le bail de l’entreprise China Highway Engineering Company (CHEC), 16,4 milliards de FCFA de loyers à verser chaque année, contrat d’une durée de 30 ans.

En effet, le projet de construction de l’autoroute Kribi Lolabe devait se réaliser, pas sous financement de l’état du Cameroun mais des partenaires miniers, puisqu’il s’agit d’une route qui part du Port de Kribi au futur terminal minéralier de Lolabe. C’est le consortium de Doba qui avait construit le pipeline et le terminal flottant de Kribi pour l’évacuation de son pétrole.

En forçant avec le financement de l’état, le ministre Motaze à l’époque au MINEPAT , avait avec son collègue des travaux publics, démarré les travaux des 35 kilomètres d’autoroutes qui ont couté 250 milliards de FCFA, soit 7,14 milliards le kilomètre de route. Incapable d’honorer les clauses contractuelles de financements, le chinois CHEC avait financé les parts du Cameroun, 38,6 milliards de FCFA en mode PPP.

La surévaluation semble être la caractéristique principale de ce duo de ministres dans le développement des projets d’infrastructures. Il y a cinq ans la banque mondiale attirait l’attention sur les coûts des projets deux à six fois supérieurs à ceux de projets similaires dans des pays. Ces 250 milliards auraient permis de construire les autoroutes N’Gaoundéré –Garoua-Maroua.

Construire Ensemble

La décision de Ferdinand Ngoh Ngoh , PCA de la SHN et  SGPR qui gèle la transaction entre Savannah et la SNH
14/06/2023

La décision de Ferdinand Ngoh Ngoh , PCA de la SHN et SGPR qui gèle la transaction entre Savannah et la SNH

13/06/2023

POURQUOI LA FUSION CREATION EST LA SOLUTION ?

Voté en 2017 à la tête du patronat, Celestin Tawamba avait adopté une attitude de rébellion face à un environnement des affaires pris en otage par la corruption, le trafic d’influence, la mainmise des fonctionnaires sur l’unique cadre de concertation, le Cameroon Business Forum.

Coup de tonnerre, ce que le gouvernement n’aurait jamais imaginé, en 2021 le GICAM boycottait le rendez-vous du Cameroon Busines Forum. Pour son président, fini le folklore, l’urgence était à la mise sur pieds d’une structure de dialogue public/privé « novatrice et efficace » pour mieux engager des réflexions sur l’environnement des affaires au sens complet du terme et sur l’investissement privé.

Pour la première fois, le GICAM avait été honoré de la visite d’un Chef du Gouvernement. Monsieur Célestin TAWAMBA avait souligné le caractère inédit de la rencontre car jamais en 64 années d’existence. Selon lui, cette visite, qu’il a qualifiée d’historique, témoignait ainsi de l’accessibilité de l’actuel Chef du Gouvernement, mais également marquait son attachement au développement du secteur privé.

En 2022, accompagné d’une dizaine D’INDUSTRIELS représentant différents secteurs, le GICAM a été reçu par le premier ministre Dion Ngute avec à ses côtés, Ministre des Finances ; Ministre du Commerce ; Ministre en charge de l’industrie ; Ministre des Transports ; Ministre en Charge de l’Agriculture et du Développement Rural ; Secrétaire Général des Services du Premier Ministre ; Ministre Délégué auprès du Ministre de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du Territoire. Prenaient part, les DG d’entreprises publiques et le Directeur général des impôts.

La détermination du premier ministre Dion Ngute à s’allier au GICAM pour l’atteinte des objectifs de la SND30 impose à cette institution, une réforme pour un patronat unifie et fort, d’où le processus de fusion création avec ECAM.

Extrait de mon entretien avec Christian Penda Ekoka (2020)

« Fusion Création pour un patronat fort et uni »

12/06/2023

QUE PEUT APPORTER ECAM DANS LA FUSION AVEC LE GICAM ?
ECLAIRAGE JEAN NYODOG PERRIAL

(SUITE...)

12/06/2023

QUE PEUT APPORTER ECAM DANS LA FUSION AVEC LE GICAM ?

ECLAIRAGE JEAN NYODOG PERRIAL

12/06/2023

QUE PEUT APPORTER ECAM DANS LA FUSION AVEC LE GICAM ?
ECLAIRAGE JEAN NYODOG PERRIAL

L'EX PATRON DE TRADEX ET VICE PRESIDENT ECAM EXPLIQUE MAGISTRALEMENT

12/06/2023

L’EX DG DE TRADEX PERRIAL JEAN NYODOG RECADRE RICHARD MAKON SUR L’ARGUMENT DU CLAN WAFFO QUI DEMANDENT UNE FUSION ABSORPSION, VU LE PATRIMOINE DU GICAM.

LE VICE PRESIDENT D'ECAM DECONSTRUIT L'INTERPRETATION DU RAPPORT DU COMITE DES SAGES

12/06/2023

POURQUOI AVOIR SIGNE LE TRAITE DE FUSION AVANT LE OK DU CONSEIL D’ADMINISTRATION ET DU COMITE DES SAGES ?

L’ARGUMENT DU CLAN WAFFO PORTE PAR RICHARD MAKON ET DECONSTRUIT PAR PERRIAL JEAN NYODOG

12/06/2023

GICAM-ECAM : AVANT LA FUSION, IL Y AVAIT SCISSION

Andre Siaka, 15 ans (1993 – 2008) a la tête du patronat, devait partir, et pour cela il a voulu imposer à la tête de l’institution son dauphin, Andre Fotso . Charles Metouck et René Mbayen du conseil d’administration opposeront ouvertement à André Siaka une fin de non-recevoir.

Protais Ayangma Amang, Jean Perrial Nyodog, Yves-Michel Fotso, Célestin Kamanou Tawamba, Noucti Tchokwago et Christophe Silenou, suivis de nombreux opérateurs économiques puissants, quittent le Gicam pour aller créer E-Cam.

CREATION D’UN VILLAGE ET D’UN ARRONDISSEMENT AU DETRIMENT DE L'ARRONDISSEMENT D'OBALA ET DU VILLAGE DE NKOLTOMO 2, UNE E...
01/06/2023

CREATION D’UN VILLAGE ET D’UN ARRONDISSEMENT AU DETRIMENT DE L'ARRONDISSEMENT D'OBALA ET DU VILLAGE DE NKOLTOMO 2, UNE ELITE SAISIT LE MINAT

Obala, 1er juin 2023.

À
Monsieur le Ministre de l'Administration territoriale .

Objet : Dénonciation par anticipation du projet de création d'un village et d'un Arrondissement au détriment de l'Arrondissement d'Obala et du village de Nkoltomo 2.

Monsieur le Ministre,
Je viens respectueusement, au nom de mon village natal, Nkoltomo 2, et en ma qualité d'administré de l'Arrondissement d'Obala, dénoncer auprès de votre autorité le projet avancé de création des village et Arrondissement de « Nkolebay» ; ce projet, dont vous seriez vous-même l'initiateur, est rapporté, il est honnête de l'avouer, par la rumeur, source d'information à tort présumée méprisable. Aurais-je dû patienter que la décision ici dénoncée par anticipation soit publiée ? Ce serait probablement trop t**d ; Machiavel nous enseigne qu'une personne avisée doit pouvoir anticiper opportunément :« Il ne faut point laisser se produire un désordre pour fuire une guerre. Car on ne l'évite pas ; on la diffère à son désavantage». Je promets donc qu'après cette correspondance qui n'est pas orthodoxe, la communauté Mbókání de Nkoltomo 2 s'organisera pour la rédaction d'un mémorandum complémentaire.

L'originalité de ma démarche, qui a tous les traits classiques de l'extravagance, en surprendra plus d'un, et à juste titre, surtout d'un philosophe dont on s'attendrait à ce qu'il se détourne de la rumeur comme d'une connaissance vulgaire. Mais cette surprise, j'en suis convaincu, sera atténuée et me vaudra quelque indulgence quand on se rappellera que la rumeur est, dans notre pays, devenue une source d'information qu'il serait imprudent de négliger. Le Président de la République l'a dit, jadis, conseillant aux citoyens les canaux officiels de l'information qu'étaient à l'époque la Radio et le Journal écrit de l'État, supports traditionnels de diffusion des décisions régaliennes : « La vérité vient d'en haut, et la rumeur d'en bas ». Mais avec le temps, on s'est aperçu que ces repères, au Cameroun, ont fini par se brouiller et par se relativiser , comme le « haut » et le « bas » après les révolutions copernicienne et galiléenne. Et on l'a expérimenté, il y a un mois, à l'occasion des obsèques officielles de l'Honorable Jean-Bernard Ndongo Essomba, programmées par la Présidence de la République à « Nkolebay par Obala », mais, au prix d'une falsification aussi grossière que scandaleuse, déclarées à la Radio et à la Télévision nationales à « Nkolebay par Sa'a » : l'Administration camerounaise ne brille plus par le respect de l'autorité de l'État ; le « bas » n'éprouve plus nul scrupule à corriger le « haut » et même, p*s, à se substituer à lui : nous vivons, il n'y a aucun sens à craindre de le dire, dans la logique du coup d'État permanent, avec la possibilité qu'un simple chef hiérarchique dans un service subalterne, ou même qu'un Ministre de la République, prenne une importante décision pour aider un ami ou pour lui plaire, et cela en violation de la Loi .

C'est à cette entorse de la Loi, Monsieur le Ministre, et contre votre propre haute personnalité, que je m'en prends dans cette correspondance d'un genre peu commun; je le fais sans exclure, certes, que la rumeur vous crédite à tort du projet presque finalisé d'aider à créer , à la borne 50 de la Route Nationale numéro 4, donc à Nkoltomo 2 dans l'Arrondissement d'Obala, les village et Arrondissement nouveaux de « Nkolebay ». Nous savons pertinemment que tel était le plan du défunt monsieur Ndongo Essomba, qui a toujours, de son vivant, estimé qu'il était au-dessous de son honneur d'être un administré d'Obala et de Nkoltomo 2 : il a mis tout en œuvre pour augmenter de plusieurs kilomètres carrés la surface réelle de l'Arrondissement de Sa'a, dont il était originaire, aux dépens des villages et Arrondissements voisins ; et, moyennant un trafic d'influence dont je me suis inlassablement plaint, il s'est investi à forcer la main à l'Administration pour se faire confectionner un village et un Arrondissement à lui . Il était en effet encouragé par un précédent : il avait déjà fait la même chose dans son village natal, Ntobo, amputé pour la circonstance du hameau d' Ekekom, transformé par ses soins en village autonome qu'il a, en fils respectueux et reconnaissant, offert en présent à son père, Auguste Essomba Awono, agréablement surpris de se savoir Chef de village du jour au lendemain.

Sous la réserve que cette rumeur soit fausse et ne repose sur rien de crédible, je rappellerai ce qu'il y a ou qu'il y aurait d' irrégulier dans une telle décision. D'abord, on ne voit pas quelles « nécessités de service » il y aurait à créer un village et à l' ériger par la même occasion en nouvel Arrondissement. La condition qu'un village soit érigé en chef lieu d'arrondissement est d'abord, et c'est un pléonasme, qu'il existe déjà, c'est-à-dire depuis longtemps, officiellement, et qu'il en remplisse les conditions d'infrastructures telles que celles dont disposaient des villages comme Efok, Talla, Elig-Mfomo, Batchenga : un marché périodique important , une Église, des établissements scolaires à effectifs plus que respectables ; en somme, Batchenga et Elig-Mfomo, avant d'être érigés en unités administratives, étaient déjà des proto-villes pour ainsi dire. Si l'on songe à créer un village en territoire Mbókání et près de la résidence de feu l'Honorable Jean-Bernard Ndongo, Yemessoa est incontestablement la bonne adresse, à moins que le choix ne porte sur Efok, capitale historique et affective des Mbókání. Or, « Nkolebay » ne figure même pas sur la Carte administrative de la Lékié. On parle de le créer, ce qui exige le respect scrupuleux des limites administratives ; envisager une telle « création» revient ainsi à reconnaître enfin, malgré soi, que « Nkolebay» n'existe pas , donc que l'Honorable Jean-Bernard Ndongo Essomba a cyniquement menti jusqu'au bout en déclarant sa résidence à « Nkolebay, arrondissement de Sa'a »; c'est la preuve par l'absurde que ses titres fonciers sur place ont été frauduleusement obtenus, et sont par conséquent entachés d'irrégularité, d'une irrégularité, Monsieur le Ministre, dont on pourrait vous reprocher de vouloir le blanchir ; c'est la preuve, toujours par l'absurde, que l' Almanach des villages de la Lékié, publié par le Ministère de l' Administration territoriale, où figure « Nkolebay » au nombre des villages de l'Arrondissement de Sa'a, manque de crédibilité : des places y ont été achetées, obtenues par effraction, complaisamment, arbitrairement, illégalement ; ce document est à détruire si l'on tient à retourner à la légalité républicaine.

Monsieur le Ministre, donner suite au projet, jadis et naguère si cher à feu Monsieur Jean-Bernard Ndongo, de créer de bric et de broc ce village et cet Arrondissement de « Nkolebay », sans le moindre respect de la carte administrative de la Lékié, c'est lui faire à titre posthume un cadeau qu'il a été, de son vivant, incapable de s'octroyer, et à l'échec duquel je puis me vanter d'avoir collaboré. Vous prendriez ainsi fait et cause pour un homme, fût-il « puissant», contre toute une communauté humaine. Ce serait dire que nous, habitants, natifs de Nkoltomo 2 et de l'Arrondissement d'Obala, nous ne sommes pas des citoyens égaux en valeur et en dignité à feu l'Honorable Jean-Bernard Ndongo Essomba. En termes courants, on dirait que nous autres, nous n'avons pas été créés par le même Dieu que celui qui a créé l'Honorable Jean-Bernard Ndongo Essomba ; nous vaudrions dès lors moins que sa mémoire. Si cela se faisait, et j'espère sincèrement que la rumeur vous accable d'une décision que vous n'avez jamais envisagée, vous sortiriez de vos missions de Ministre de la République, autrement dit, de serviteur du Peuple ou de la volonté générale, pour vous draper des oripeaux de serviteur de causes particulières ; si ce qui se dit s'avérait fondé, il vous serait objecté qu'un pauvre, comme moi, s'il a raison, a bien le droit de l'emporter dans un procès qu'il a intenté contre un riche, comme l'Honorable Jean-Bernard Ndongo Essomba ; il n'y a rien d'absurde ni de honteux à le déclarer coupable , mort ou vivant ; et on pourrait vous tenir pour comptable, devant l'histoire, d'avoir provoqué un soulèvement populaire inédit à Nkoltomo 2, et d'avoir terni, aux yeux de la Communauté internationale, l'image du pouvoir incarné par Monsieur le Président de la République, son Excellence Paul Biya. Si Messieurs Donal Trump et Nicolas Sarkozy, ci-devant Chefs d'État pourtant, sont appréhendés par les autorités judiciaires de leurs pays respectifs et jugés pour des actes répréhensibles commis durant leurs mandats, quelle nécessité y aurait-il à sauver à tout prix la mémoire de feu Monsieur Jean-Bernard Ndongo Essomba de l'arrêt de la Justice tel qu'il l'a mérité de son vivant ?

Monsieur le Ministre, les accusations dont vous êtes l'objet dans cette plainte d'un genre nouveau sont, pour ainsi dire, virtuelles, puisqu'elles sont subordonnées à la condition que la rumeur qui les motive soit fondée. Avec les nouvelles Techniques de l'information et de la Communication, et à l'ère de la technologie digitale, il faudra sans doute s'habituer à cette forme de correspondance administrative qui, sans négliger une source d'information comme la rumeur, s'adresse directement, à travers les réseaux sociaux, à la haute autorité de l'État, quitte à la régulariser après coup en empruntant la voie classique qui passe par les étapes intermédiaires du Commissaire spécial, du Sous-préfet, du Préfet, du Gouverneur. Je reste convaincu que cette correspondance parviendra rapidement à bon port ; l' État, « Dieu terrestre » comme dit Hegel après Hobbes, a vue et droit de regard sur tout ce qui se passe dans les réseaux sociaux et ailleurs ; et ce n'est que normal , car il est l'institution suprême dans un pays. Ainsi, convaincu que ma correspondance sera reçue par votre autorité comme la requête d'un citoyen qui pense uniquement à servir sa Nation et à défendre les intérêts de son village natal, Nkoltomo 2 en l'occurrence, je vous prie, Monsieur le Ministre, de bien vouloir agréer l'expression sincère de mon plus profond respect.

Professeur Ndzomo Molé, 5 heures 25 minutes du matin.

ANDRE SIAKA EST-IL EN REBELLION CONTRE YAOUNDE POUR DESTABILISER LE CAMEROUN ? Employé d’une multinationale française du...
30/05/2023

ANDRE SIAKA EST-IL EN REBELLION CONTRE YAOUNDE POUR DESTABILISER LE CAMEROUN ?

Employé d’une multinationale française du groupe Castel, André Siaka qui a dirigé la plus grande organisation patronale d’Afrique centrale n’a pas hésité à le détruire après son départ. Le GICAM a explosé en faisant partir les caciques comme Michel Fotso, Mbayen, Sielenou, Tchokouago, Tawamba , Protais Ayangma qui va créer l’ECAM et plusieurs centaines de membres . Le GICAM de SIAKA avait été transformé en antichambre pour la défense des intérêts d’entreprises françaises. Siaka dirigeait un patronat pris en otage culturellement et anthropologiquement, avec des chaînes multiformes qui empêchaient le progrès.

Parti du Gicam, beaucoup espéraient le voir à la tête d’un département ministériel .Seulement, le président Paul Biya sait à quel point certains employés de multinationales sont tenus par leurs maitres. Andre Siaka a visé le conseil régional de l’Ouest, Yaoundé a choisi Foka, ensuite ils ont visé le poste de SENATEUR à Bandjoun, Yaoundé a proposé Emmanuel Chatue . Aujourd’hui, avec le soutien d’un des conseiller du président Luc Sindjoun, il veut revenir au GICAM. Pour cela, ils doivent discréditer la fusion GICAM-ECAM, et instrumentaliser les institutions du pays .Siaka est-il dans une rébellion contre Yaoundé qui a déjoué ses plans depuis son départ des Brasseries. Surtout qu’après son départ, il n’a même pas inscrit son entreprise RoudAf au GICAM.

Voilà ce que disait Penda Ekoka lors de la célébration du 60e anniversaire du GICAM

« Pendant de nombreuses années où nous avons participé aux séminaires du GICAM, notre message, fondé sur les enseignements de l’expérience, était qu’un Etat viable avait besoin d’entreprises viables, et que des entreprises compétitives avaient également besoin d’un Etat viable. Notre souhait était de voir se développer entre ces deux parties une relation féconde de partenariat et de complémentarité, chacun des partenaires opérant dans sa zone d’efficacité maximale. » Feu Christian Penda Ekoka ex conseiller économique du président Biya.

Au moment où le GICAM de Tawamba et le gouvernement de Dion Ngute travaillent main dans la main, pourquoi au prix de détruire l’institution, Andre Siaka veut à tout prix Controller le patronat ? Une volonté de détruire les ambitions économiques du Cameroun engage dans la SND30 et le déstabiliser ?

En évoquant les troubles à l’ordre publique dans ses tracts, jusqu’où sont prêt à aller les soutiens de Siaka tap*s dans certains partis d’oppositions au Cameroun.

FUSION E.CAM & GICAM : POURQUOI AVONS-NOUS SIGNE LE TRAITE DE FUSION ?La présente contribution participe de la dialectiq...
26/05/2023

FUSION E.CAM & GICAM : POURQUOI AVONS-NOUS SIGNE LE TRAITE DE FUSION ?

La présente contribution participe de la dialectique du processus de fusion GICAM & E.CAM, formellement acté le 05 avril 2023, date de la signature du traité de fusion par le Président du Groupement Inter-patronal du Cameroun (GICAM), Célestin TAWAMBA, et moi-même en tant que Président d’Entreprises du Cameroun (E.CAM), en présence des Membres des Conseils d’administration des deux Organisations et des médias.

Elle vise principalement à rappeler les enjeux et les perspectives pour les Micro, Petites et Moyennes Entreprises (MPME) relativement à cette fusion, compte-tenu des activités réalisées par E.CAM depuis 2009,qui ont abouti à la mise en place d’un dispositif d’accompagnement et de financement de cette catégorie d’entreprises. Ledit dispositif est fondé sur l’approche filière et nécessite une étroite collaboration avec les Grandes entreprises (GE), réunies au sein du GICAM.

En effet, les MPME occupent une place déterminante dans l’économie de tous les pays, sans exception. Elles constituent la colonne vertébrale du système de production des biens et services et sont de fait le principal facteur de stabilité de l’économie en cas de crise, du fait précisément de leur taille réduite et de leur capacité d’adaptation plus rapide et plus efficace que celle des grandes entreprises. Elles sont également pourvoyeuses du plus grand nombre d’emplois et participent largement à la part du produit intérieur brut (PIB) attribuée aux grandes entreprises (60 à 70%), alors que la leur est souvent plus limitée (30 à 40%), parce qu’elles interviennent généralement dans les maillons périphériques de la chaîne de production, en tant que sous-traitants, fournisseurs ou détaillants des produits fabriqués par les GE.

La fusion d’ECAM et du GICAM a suscité un intérêt qui nous a nous-mêmes surpris. Personne, pas même les acteurs ne soupçonnait un tel engouement. Jamais auparavant une opération n’avait été autant commentée, chacun s’autorisant à donner un avis plus ou moins sincère.

Il faut souligner que la fusion est quelque chose d’assez rare dans notre écosystème culturel et économique. Notre littérature économique est assez avare en chroniques rendant compte des initiatives de regroupements (d’initiatives locales). Tout le monde veut évoluer seul. Tout le monde veut être son propre chef. Et pourtant quelle force on constituerait. Imaginez nos hommes d’affaire s’associer ?
On peut fusionner pour plusieurs raisons :
- Raison d’efficacité
- Raison de complémentarité
- Pour acquérir quelque chose (un brevet, un savoir, un savoir-faire, une technique, une réputation…)
Pour ce qui concerne ECAM, nous partageons avec le GICAM le même ADN, les mêmes valeurs. Notre agilité pourra compter sur l’expérience du GICAM et la forte capacité de mobilisation des ressources, notre fraîcheur et jeunesse pourra infléchir la « rigidité » du GICAM afin que main dans la main, nous puissions ensemble traiter des problèmes de financement des PME, des problèmes d’organisation.

Enjeux de la fusion GICAM & E.CAM pour les MPME

La situation des MPME, dans le contexte de l’Afrique subsaharienne en général, et du Cameroun en particulier, ne peut pas être abordée sans tenir compte de l’environnement socioculturel dans lequel elles déploient leurs activités. A cet égard, nous ne retiendrons ici que la culture de la transmission orale qui caractérise fondamentalement la gouvernance économique et sociale de nos communautés, et par conséquent la gestion de nos entreprises.

Or, fondamentalement, le concept d’entreprise renvoie à une organisation formelle, constituée sur la base de choix stratégiques éclairés par des études approfondies.
Les enjeux de la fusion GICAM & E.CAM se situent précisément dans la capacité de la nouvelle centrale patronale à transformer structurellement les MPME en les amenant à prendre en compte l’ensemble des fonctions dans la gestion quotidienne des entreprises, afin d’assurer la pérennité de leurs activités et une contribution plus efficace au développement économique et social du Cameroun.

Il apparaît ainsi que, selon les études de l’Institut National de la Statistique (INS) et la Banque Mondiale (BM), sur une population active estimée à 10 818 499 en 2020, environ 341 000 sont formellement employés par le secteur public et 670 000 par le secteur privé. Ce qui laisse au secteur informel 9 807 499 d’actifs dont la situation économique et sociale n’est pas clairement maîtrisée par une quelconque organisation. L’un des objectifs de la fusion GICAM & E.CAM est de remédier à cette situation en créant, en partenariat avec le Gouvernement et toutes les autres parties prenantes, un environnement des affaires suffisamment sécurisé et attractif pour les entrepreneurs, les dirigeants d’entreprises et les investisseurs camerounais et étrangers.

L’on dénombrait 87 422 MPME en 2009 contre 202 980 MPME en 2016, soit une augmentation de 115% dans l’intervalle. Ces MPME représentent 99,8% des entreprises recensées, contre 0,2% pour les GE, sur un total de 203 387 entreprises recensées en 2016. La répartition des MPME reste largement en faveur des TPE quel que soit le secteur d’activité considéré, comme cela a été le cas en 2009 d’après les résultats du RGE-1.

En se fixant un objectif de 30% d’emplois formels d’ici 2030, soit 3 245 550, par rapport à la population active estimée en 2020, la nouvelle centrale patronale devrait mobiliser au moins 660 103 MPME formellement constituées et mises en relation avec les GE et les institutions financières.

Perspectives de la fusion GICAM & E.CAM pour les MPME

Les statistiques officielles relatives à l’emploi et la structure du tissu des entreprises du Cameroun contrastent avec la réalité socioéconomique et tendent à démontrer qu’il existe déjà un tissu économique et industriel qui, bien qu’encore artisanal et rudimentaire, emploie la grande majorité de la population active.

L’objectif d’insérer 660 103 MPME dans les circuits économiques et financiers formels d’ici 2030 n’est donc pas utopique, car dans les faits une grande partie existe déjà et ne demande qu’à être développée, grâce à des outils de gestion et un système financier adaptés au contexte socioculturel local.

Les perspectives de la fusion GICAM & E.CAM doivent donc être appréhendées à travers la migration progressive et systématique des MPME du secteur informel vers celui formel, offrant ainsi au système financier la possibilité de conquérir et de développer ce segment de clientèle, considéré comme le plus risqué par rapport aux grandes entreprises, aux particuliers et aux administrations publiques ou privées.

La création d’une nouvelle centrale patronale, qui se veut être la plus PUISSANTE et la plus FORTE en Afrique centrale, au-delà de répondre à la demande de plus en plus prégnante des dirigeants d’entreprises de disposer d’un environnement des affaires plus favorable au développement de leurs activités, constitue également une réponse à l’appel des Autorités publiques du Cameroun et de l’ensemble de la sous-région de l’Afrique centrale, qui n’ont pas cessé au cours des 20 dernières années d’interpeler le secteur privé, afin qu’il prenne enfin la place qui est la sienne dans la transformation structurelle de l’économie.

Toutes les mesures prises aussi bien au plan national que régional (ZLECAF, restructuration BDEAC…), ouvrent des perspectives incommensurables aux MPME et appellent leurs Dirigeants à réaliser leur part du contrat social qui les lie au Gouvernement, à travers notamment le développement de leurs activités, l’insertion professionnelle des jeunes et la collecte de l’impôt à la porte et à l’intérieur du pays. En effet, il ne peut y avoir un ETAT FORT sans ENTREPRISES FORTES, et la force de l’Etat vient de ses recettes fiscales nourries et collectées presqu’exclusivement par les entreprises.

6 345,1 milliards de FCFA, c’est le budget de l’Etat du Cameroun pour le compte de l’exercice 2023. 4 758,1 milliards de FCFA, c’est le total des crédits bancaires à l’économie en Janvier 2023, selon les statistiques du Comité National Economique et Financier (CNEF). Au 31 décembre 2021, le total des crédits bancaires au Cameroun est estimé à 4 312 milliards de FCFA, pour un PIB estimé à environ 27 000 milliards de FCFA, soit un taux de crédit bancaire à l’économie de 16%, pour un seuil minimal de 60% observé pour les pays émergents en général. Ces indicateurs sont médiocres pour un pays comme le Cameroun qui compte plus de 27 millions d’habitants ; et le secteur privé en porte une part de responsabilité qu’il est question désormais de prendre à bras le corps.

C’est le sens à retenir de la fusion GICAM & E.CAM.

Fait à Douala, le 23 mai 2023

Protais AYANGMA
Président d’E.CAM

Adresse

Foreké Dschang
[email protected]

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