Merci à Kaid Kamel pour ce chef-d’œuvre. Un aperçu, en résumé, sur la grande histoire d'Ighil Ali. Vu le jour; il y'a de cela douze (12) à treize (13) siècles, à ce jour.Vu le jour; il y'a de cela douze (12) à treize (13) siècles, à ce jour.
La Civilisation de toute une population; Ath Abbas.
IGHIL ALI, vu le jour; il y'a de cela douze (12) à treize (13) siècles, à ce jour.
Ce soir, un penchant d'histoire; plusieurs parmi vous; ont bien cherché à comprendre l'origine d'Ighil Ali et sa création.
D'où viennent les personnes qui l'habitent..?! Comment sont venues ces familles..?! Quands sont elles venues..?! Qui à déposer les pieds en premier sur ces lieux..?!
Encore d'autres questions viennent enchaîner les précédentes.
Aujourd'hui, et après une longue recherches; et depuis lors; des contes de ma grand mère Zouina Twi3iche. nous disposons d'un manuscrit; en résumé de plusieurs petites histoires sur Ath Ali Ouyahia, Daw Thadarthe, Ath Moussa, Ath Eldjoudhi, Ath Edjemâa, Thazayarthe, Thassefaythe, Ighil Ali Oulahviv, ainsi que tous cartiers ancestraux de ce village portant des noms Anciens : Amdoune, Ikharvane, Ighil Gu'ahia, Tsella, Djedi Guahthouthe et encore...
L'aide de mon père m'est précieuse; dont le temoignage de ses aïeux : les Kaid et les Azzi. Un savoir acquit de la riche histoire; transmise des ancêtres de toutes les familles; pour lesquelles leurs noms circulent à présent entre les habitants de ce village.
Que ce soit; ceux qui l'ont quitté pour une vie meilleurs; ou encore; ceux dont leurs noms sont anéanties par arrêt de descendance; exemple à citer ultérieurement.
D'autres temoignages ; racontent l'histoire transmise des ancêtres à travers les générations. L'anonymat étant leurs choix ; pour raisons divers, tout en faisant profiter la richesse de ces témoignages.
Comme plusieurs le savent; la famille dite "Saadi", ath wessa3dhi, étant la première à mettre les voils ou proprement dit les pieds sur ces lieux. Informations venant aujourd'hui compléter cette jolie histoire. Tous concerné, nous fait ravir et méditer la gloire de nos aïeux.
Alors que cela n'arrivait; une femme étrangère à toute la population d'Ighil Ali; nommée "thaghrivthe" dont les origine sont inconnues, incertaines que beaucoup, croiront qu'elle est issue d'El kalâa.
"Thaghrivthe" avec ses deux garçons presque matures dont leurs noms sont :
"Ali"; gravé à jamais dans l'histoire; il attribue son nom au village "Ighil Ali". C'est le fils aîné âgé de 18 ans, son frère cadet au nom de "S3idh", plus jeune a l'âge 15 ans.
Leurs mère étant v***e; forcée de se remarier avec un membre de la famille de son défunt mari, alors que la douleur la guette encore. sachant qu'un différents entre le prétendant et le défunt y avait; n'accepta cette union. D'où elle part avec ses enfants.
Leurs demeure fût construite sur cette colline entre les bois denses; devient "Oussidhi Ali Wes3idh". Aujourd'hui, c'est une maison de culte où d'offrandes à Dieu pour parvenir à ses besoins à savoir la chance et une vie sereine.
Les pierres venant du pied du village "Azrou Oualloul", et les arbes récupérés d'abattage de la foret dense ont donné allure actuelle à cet maison. Son architecture n'a vu que peu de changements depuis.
Thqa3ets fût le tout premier cartier d'Ath Ali Ouyahia, de périmètre allant de sidhi Ali wes3idh jusqu'à idjoul3idhen.
Les premiers sur Ath Ali Ouyahia, porteurs du nom Ali, sont:
(Yaiche et Oukaci) "iwi3ichen", Khelif "ath Khelif", Daba "idaviwen,Tibourtine "ath Kaciwa3mar", Hamouche "ihamouchen", ", Djetten "idjetnen", ath Houayli "Houaili", Djoulait "ijol3idhen", Haddouche "ath Yahia",
(Ath Vo3roro et Ath Kaciouali) "Amrah".
Ali, S3idh et Thaghrivthe ont mit les pieds premiers à Ighil Ali.
Le Premier Oumammar, à s'installer sur ces lieux avait comme demeure, la maison de
"si Bezza Ousaci"; une maison qu'a acheté le père de si Bezza sur un descendant Oumammar plutard; pour prendre place, sur ath eldjoudhi et ath djemâa par la suite.
Si on s'avise de jeter un coup d'oeil, sur les noms des cartiers à ath ali ouyahia; on trouve une diversité qui ne figure nule part, ailleurs, que sur ces lieux.
Thakhochithe, azriv t'khochithe, thaqasets,
daw thadarthe, azriv n'daw thadarthe, thagourthe oqentar "à eldjama3 alemmas", thagourthe oufella "à sidhi ali wes3idh", thimeqvarthe oumemmay, thakhelichthe et d'autres noms des cartiers.
Les opinions pour prononcer la duré de vie de cette région, varies entre :
1. Douze (12) à treize (13) siècles.
2. D'autre crois, qu'elle est de Quatorze (14) à Cinze (15) siècles depuis sa création.
Les terres de ces familles s'étendent de daw thadarthe jusqu'à la cité; appartenant à khelif et Djettane en passant par les Zetchi; de daw thadarthe jusqu'à la Cité. En revenant de la cité en haut jusqu'aux demeures des "Larab" appartient à Daba. Aussi à ighil ali oulahviv, les demeures des "Sebbane" leurs appartient.(les Daba).
Revenant d'ighil ali oulahviv, appartient à khalti taoues t'wi3iche donc n'mohend oukacioua3mar; là où est la maison de Bencherif Achour "dh'khaltis" et la maison des Bendahmane "jiji twi3iche", (dh'yellis 3ammis). Et juste à côté, nel'Mouloudh wi3iche jusqu'à izetchithen à daw thadarthe, côté de la pharmacie actuelle à daw thadarthe.
-Tharemante nahmamo qui était n'ihamouchen. -Thakhlichthe, c'est là où les familles nath tsobikthe, ath Ouffa, ath Voulked, ath Djaoudha, issi3amriwen, ath Salah "Oussalah", izetchithen "Zetchi", ilewnissen ou ath Lounis "Lounissi", ivoulichen "Boulliche", irebbouhen "Rebouh", Lili "ililithen ou ats-lili", Hadouche "ath yahia".
-Azriv ihamouchen, c'est là ou sont les "Hamouche" actuellement .
- Aremblais et ses alontours appartenait aux hamouche avant les écuries des Zetchi.
Les familles n'Ath ali ouyahia se regroupent en trois branches :
1/ La branche des : Daba, Oussallah, Tibourtine,Zetchi, Boulked, Yaiche ou bien Oukaci
2/ La branche des : Hammouche, Melakh, Lounissi, Menchou, Bouliche,
3/ La Branche des : Djoulait, Djettan, Rebouh, Lili, Khelif, Hadouche, ath Djouda (composé de : Djad, Djaad, Djaouda).
Ath khelif propriétaires des terres à l'entrée de Bordj, les premiers Khelif à partir sur Bordj sont "Sghir wakhelif" et frères. Sghir était Kaïd à Bordj.
Les Kaïd "elqoyadh" à cet époque était des membres des familles suivantes :
Djettan, Kaid, Khelif, Naimi Chitour, Ouari, et le tout dernier est Xavier ourebouh,
"Rebouh Xavier".
Ceci est avant que l'appelation ne soit sali à l'arrivée du colon français lorsque certains des kaïd "elqoyadh" marchaient au prêt du colons pour défendre leurs intérêts, vu la richesse et les biens qu'ils possédent à savoir les grandes maisons, bétails et terres. Tel est le cas de l'Emir Abdelkader.
Pour reconnaître les traces des Kaïd "elqoyadh", leurs portes ont l'unicité d'être faîte d'un bois de qualité, avec des sculptures évoquant le pouvoir et la richesse.
En outre, il faut croire que ath eldjoudhi, ath djemâa en passant par el3ine nathe si'Ali, thazayarthe, thassefaythe sont aussi de si vieux cartiers de la région. Il suffit, juste de voir leurs architectures; déduire que l'ensemble à été construit dans la même période de vie, plus clair encore; au même siècle.
Tout cela et autre sans oublier de citer le glorieux "eldjama3 wessadhi" d'ath edjemâa.
Il tire son nom des Sâadi. Du premier Sâadi qui l'a construit.
Pour comprendre la raison de son oeuvre; une belle histoire se joint à ce monument; le contemplant; laisse place au voyage dans leurs temps. Ainsi, marcher à leurs côtés et vivre leurs magnifique histoire.
La raison oblige d'évoquer l'histoire d'Akbou. Une région très ancienne. Ce nom dans la longue berbère "aqvou" comme "iqebbo ouzal" ou "façonner le fer" sur l'ensemble des outis d'agriculture à illustrer par : thayarza, igulezyam..., fortement utilisés à cet époque là; le cas et d'ailleurs, existent aujourd'hui.
L'histoire d'Akbou, celle du forgeron, venant en permanence, de thizi iggawawen. Originaire du fort national; exerçant au village "ihitoussen" de mezguen, juste au delà d'edjva.
Se rendait sur Akbou, travaillant le fer, il sert et vient au besoins des akbouciens en terme d'outillage agriculteurs.
Les gents d'Akbou l'apprécie beaucoup l'incite à s'installer. Eu comme demeure "thighorfathine" d'Akbou.
Les habitants d'ighil ali se tiennent informé du dernier. De là s'instale un besoin. Vouloir l'installer sur leurs territoire.
On rajoute l'estime, le respect de tous pour les gents d'ighil ali; à ce moment là; traités avec honneur par leurs voisins les Akbouciens. Ces derniers se connaissant vue la situations géographique voisine et les échanges.
Le Forgeron rejoint, finalement, Ighil Ali succomber à leurs besoins, par ses oeuvres.
Le premier Saadi lui reserva "eldjamâa wesaadhi" comme demeure, le temps de couvrir, tout besoin, sur toute la région.
Aussi eldjamâa wessa3dhi vit le jour presque simultanément avec ousidhi ali wessaidh ou très peu après. Sadhi wesâadhi "Sâadi Sadi" posa le pied à ighil ali en (558 j.c) après Jésus Chris.
Le sise d'eljama3 wesaadhi, étant un relief plat; collecte les eaux pluviales; donna naissance à une petite foret dense en arbres.
Les arbres abattus, ont servi à la construction de ce dernier et les pierres; venant toujours; du pied d'Azrou Oualloul. Des chariots en métal étaient bien là, sur des rails, au pied d'Azrou.
Une perte importante, pour la région, de nos jours.
Le forgeron se déplace, encore à elkalâa; après akbou et ighil ali. De là; sa réputation se généralise au nom de "aheddadh elqalous".
Aussi une information précieuse, que vers 1511 toutes les terres allant de assif Abbas jusqu'à l'entrée de la ville de Sétif. Appartenant à la famille Oussalah. "Salah nath Salah", l'aïeul de "Bezza nath salah" époux de "Tchava twi3iche".
Un dicton très connu sur ces terres, dont beaucoup peuvent :
>.
Qui veut dire, le ciel est à DIEU et la terre et à
Salah ou Bezza après lui.
Il faut préciser que les Oussalah sont des descendants de Daba.
Et les : Tibourtine, Zetchi, Lounissi, et d'autes sont des descendants des Oussalah.
Les familles qui ont hérité ou acheté par la suite des terres à bordj. Elles appartenait à Oussalah. À l'exemption des "Akrouf", ils avaient déjà leurs biens et les terres.
Les membres de la famille Oussalah, aimaient vivre et dépenser sans précédant. Ont eu la tendance de vendre les terres; jusqu'à ce qu'il en reste, qu'à la sortie de "Thnia ennasr" jusqu'à l'entrée de "Bordj". Juste après l'indépendance, de l'Algérie, vers les années 70 du siècle dernier.
Un Musée Familial, leurs appartenant, à l'étage d'une villa, au milieux de leurs ferme actuel; là où figurent tous les actes de vente et des photos de leurs ancêtres.
Idaviwen, propriétaire des terres à "Aghanim", et l'entrée de "Medjana".
Les gents d'ath Moussa ne possédant pas de terres, à ce moment là. À l'exception de la famille "Atti" qui ont plusieurs.
Pour ce qui est de notre dynastie les Kaid, c'est riche en histoire. Je compte publier ultérieurement. et j'ose espérer avoir du soutient, de la bonne lecture objective et sens de la critique bénéfique à tous.
En passant; nos ancêtre venant de "ath avla" au début des années 1500; vers 1543 ou 1547. L'arbe de famille des notres, sont les : Kermiche, Bedjaoui "Ivedj3othen", Djellouah, Mesbah et Boukhars. La dernière des boukhars est la nommée "Voukhars" épouse Bouda à Thassefaythe. Ce sont d'autres que les "Boukhars" de zina.
On arrive à comprendre; que nous sommes tous unis, tissés par des liens de familles lointains, dans l'histoire. À savoir, les unions de mariage.
Des Sources de Naration et d'écrivains d'histoire; tendent à nous apprendre que toute la région d'ath Abbas; descende du Royaume d'Elkalâa. À citer le village d'ath avla créé par une population quittant "el kalâa" à la recherche de son chemin. Tel est le cas de nos confrères, actuellement dans les quatre coins du globe.
Les familles; encore vieilles; sur Ighil Ali sont les Bousri. Peu d'entre nous le savent; les Tibourtines sont des Bousri "ath elvossri".
À ath Eldjoudhi et à ath Djemâa, Imarnichen "Marniche". Leurs terre dite elghava ou "Marniche".
Encore, les familles vieilles d'ath djemaa et ath eldjoudhi sont :
Iwarithen "Ouari", Iwa3lithen "Ouali", ath Meziane "Oumeziane", Izidhanen, "Zemite" izemithen (autres que ceux du village de tigrine), les Haddad " iheddadhen", (Belaid et Bezaa) "'ivel3idhen", Ben Dahmane "idahmanen", iwarithen "Ouari", Dahmani "idahmanen", Hermouche, ath alilouche "Alilliouche", (Dimane et Ouggour) la famille Ouggour part d'ighil ali à Tabou3nante.
Les Chitour, Aidli, Boutfaghoua, Bouzazza, Tazerrajt "ath ou3evdella", iredjdhalen, Kechedi "ath ekchida", Ouargli qui sont des Bouzazza, ath tsvoundawthe "Mahdaoui", Guedouche, Lekhdari "ath elgoumchani", Saadi, (Oumammar, dja3fi, Bouali "ath Ali", Benali et Bouchachi sont des Saadi), Boulila "ath voulila", ath Ouamar, Dris "iwedhrissen", Zemmour "izemmouren",
(Lahneche, Tadja, Semati "i3eggounen"), le même arbre de famille.
Maza, Chalabi, (Bahloul, Belakhmech "ath Velakhmech"), Khentache, Kattache,
(Kerdache et Felah) sont des "ath Si3li". Les felah sont à constantine. iherouchene "Ouedfel" Arabe "ath ga3rav", Amrouche "i3amrache", (Belarbi, ivalithen "Balite") sont de la même branche, i3irathen "Aziez", ath wakhrouf "Akhrouf", et Les Slimani "ibouhouthen" (originaire de thaqa nath yahia), (Assameur "imamouchen", Metchiki "imetchikithen", Hafssi "ath Ahcen") de zina.
Ath Velakhmech "Belakhmache" possèdent aussi beacoup de terre; sur le chef lieu d'ighil ali que "Mohend Belakhmeche"; connu au nom (d'Ahmedh), hérita de ses ancêtres. Mohend Belakhmache eu une fille, unique, appelée "Daikha". Cette dernière est la mère de "Hadj Cherif Bahloul"; hérita à son tour ces terres. D'où (akkal ivouhloulen) à ighil ali.
À Ath Moussa, en sortant de Sidhi Ali Wes3idh,
Parcourant leurs habitations, à citer :
Les Bourdjil "ath slimane, Atti, Kaid "ath moqrane dh'ath welkayedh", Koudide "ath ouqodhidhe" (koudide dh'ayawen nath welkayedh), Menchou "imenchouthen", Azzoug "i3azzouguen", Mihoubi "ath wa3mar", aussi "ath A3mar", Boudjemâa, Amrah "ath vo3rourou et ath kaciwa3li", Akkouche "iwaqouchen", (Ouberzou et Benaziez) "dhivarza" (c'est la branche de famille d'ath kaciwa3li, amrah et houayli), Boungab "ath Voungave d'aydassen", ath Ouvla3ziz "Tayeb", Alloul "i3alloulen ou ath azzi", Guenouche "ath vouguenouche" (de Medjana), (Guizem et makhlouf) "izmawen", Bellal "ath evlal", Adjout "i3edjoudhen", Midi "imidithen", Houayli, Bachta "ivachtiwen", Ouarkoub "ath hamdo o3etti", Ouaissa "ath ali ouissa", ath Hamo yahia, les Cherifi, ath Valamouche "Balamouche", Kermiche "ikarmichen", iheroussn "Harous", eKhalaq "ath welkhelq", Larab "ath mohend a3rav", Bejaoui "ivetch3othen", Taleb "ath talev".
Les bachta sont la branche de (Ouaissa, Ouarkoub, Adjout, Chirifi et ath hamoyahia)
Larab sont la branche de (Baiche, ath Slimane "Bourdjil" et Cherifi. Les khaleq sont leurs neveux).
Ath moussa; (zikk ouss3ine ara leqoua3i) ils ne possédent pas des terres, dans le temps.
Ce n'est que lorsque des familles quittèrent ighil ali vers Blida, Alger, Constantine, Oran, Annaba, France, Sétif, Bordj; que ses derniers possèderont quelques terrains, mais beaucoup moins que celles des ath ali ouyahia.
Ces familles; à l'exception des (Kaid et kermiche d'ath Avla. Et les Khaleq de Thighilte Oumeggal; leurs mère est thacha3lalte Larab); viennent toutes d'ikharvan, un lieu juste au pied du village d'Azrou actuel. < Ikhervane >, vers le chateau d'eau.
La population d'ikharvan vient d'al kalâa comme la population d'ath avla.
À thazayarthe, la tribu commence d'en haut de thassefaythe en venant vers Amdoune.
À savoir :
(Les Belmihoub, Azzi, Serrar "ath Hmadache), (Haddad "ath M'hend", Hamiti), Boudda , Arezki, Louez, (Bouhaddi, Alouche, Labadi),
(Belrachid, Bouchroukhen et Ahtoute), (Belkacem "ath Velkacem", Sebbane "ath A3mar" et Bencherif "ath Yahia"), Hamoudi, Laradi, Kaci, Boudadi , dermeche, Bennacer (d'azrou oualloul), Nedjar "ath Weslimane", Adda "Ifouzathen, Dellouche, "ath Oubelguarche" "Belguerche", Mesbah, (Makhlouf et Aggoune "dhath makhlouf"), Khelloufi "ath Aziez", Taleb "ath Talev", Ouchia et d'autre...
La moitié de ses familles viennent d'Elkalâa ou d'Essaqia El-Hamra.
Un dicton aussi lorsque "Boudjemlil" se rendait à Ighil Ali, pour l'aumône. Un bon accueille lui est réservé à ath Moussa, ath Ali Ouyahia, ath Eldjoudhi et ath Djemâa, ; mais encore plus à Thazayerthe.
Yedh3ayassen AKITH selkhir, yedjad awal :
>
Les gents d'ighil ali ou mieux encore, ath oufella, (ath djemâa, ath eldjoudhi, ath ali ouyahia et ath moussa), étaient en grande majorité des commerçants et quelques peu d'artisans.
Ath tszayerthe étaient en majorité des artisans. Tout métier confondu : coiffure, menuisier, forgerons, armuriers, les ceintures en cuirs, les tamis...etc.
Principalement, on dit que le nom de "Thazayerthe" est le pourtour du tamis qui tient la grille au bois, fait en cuir. Ces gents connus surtout par cette oeuvre. D'où tiennent son nom.
Ighil Ali grandit encore et prend de l'ampleur; durant le siècle dernier. Que ce soit, durant son début; ou même pendant la guerre de la libération; ou encore, le cas important d'après l'indépendance.
D'autres familles, alors, beaucoup même s'installent au Chef lieu d'Ighil Ali. Cette fois ci; pour des raisons, principalement, de travail à savoir; des fonctionnaires d'État divers, surtout dans l'enseignement, la maçonnerie ou autre Travaux Divers. D'autres par union de mariage.
Venant en majorité de la Région de Bordj Bouerirridj comme El'Mhir, Elmansoura,Thizi Lakhmiss, Leggane ou Adhrar n'Sidhi Idhir.
Ou de toute la région du grand ighil Ali, à savoir : Tigrine, Hamda, Ath wihdhane, Ath Saci, Azrou Oualloul, aydassen, ath saidha, Thaqoravthe, Zina, Thavou3ennante, Mouka, Elkalâa, Thazla, Thiniri, Vel3aggal, Ath Seradj;
Aussi la Grande Région d'ath R'zine; à citer : Guenzathe, Wizrane, Thighilte, Bouchekfa, Awrir, Iweguranen, Thawrithe O3evla, Thizi
Allouane, Hendis, Guindouze, à citer :
Saci, d'ath Saci;
Herous, de Tigrine;
Dahmani, d'ath Saïda;
Bounegab, d'aydassen;
Alloul "i3alloulen ou ath Azzi", ath Ali "Azzi", Bassaid, Rabia "ath Aloukaci", Benasseur "ath Nasser", Messaoudi "ath chrif", d'Azrou Oualloul;
Bouacherine, Kebir, Merkouche, Guerrouj, de Mouka;
Reqqam, Kherbouche, Djaoud, Adjaoud, Belmessaoud, Bezâa, de Tabouenante;
Goudia, de Bouqten;
Ait Hamouda "ihemoudathen", d'adhrar n'sidhi idhir;
Benabdelaziz, Ben Serradj, Djaafari, d'ath Serradj;
Ghassouli et Bentranti, de Thazla;
Belabbes, Nait S'ghir, de Leggane;
Ladj, d'Elkalâa,
Djenaoui, Mouna, Belounis, de Thiniri;
Assameur, metchiki, Abbas et Hafsi, de Zina;
Hassani, de Thaourirthe Ahmedh ou Moussa;
Bouabdellah, de Takorabte;
Tabta, d'Aourir;
Rebouh, de Djedida;
Toudjine, Chougui,
Sayeb, Kadoumi, Miki, khramssia, Moumen, de Lem'hir avec, Sayeb, Kadoumi et Miki qui ont des racines maternelles de "Thaourirthe ouavla" par lala m'barka, fatima et ouardia "La3fifi", de braves femmes. Que Dieu aie leurs âmes.
Un détail important, lorsqu'ELMOKRANI rejoint la régence à ELKALÂA; elle était déjà là; et Kalâa (un royaume) telle que dit. Avec une clôture bien solide, tout autours. empêche l'arrivée de l'ennemi et survivre aux attaques. Car lorsque Elmokrani venait, il n'avait pas le temps de miser sur un terrain vierge et passer des années à construire les refuges. Les guerres eu lieu déjà. Il eu alors l'idée d'elkalâa.
C'est un berbère et le prestige de sa famille est à Medjana. et c'est là qu'il devient Bachagha au prêt de ses aïeux ses ancêtres. Un nom acquis des turcs plutard. Ils avaient déjà le pouvoir à leurs arrivée.
D'ailleurs, on l'a toujours dit : >. Il a prit son départ, avec tous les siens, vers elkelâa.
Il a choisit elkalâa par consentement de ses habitants; vue que c'est une région digne de préparer des attaques à l'ennemi.
Plus encore, l'histoire lui a apprit que c'est la région venant à l'aide, à Boujie lorsque les espagnols débarquent sur la côte algérienne avant les turques.
Des familles toutes entière, restées à Boujie une fois les guerres prennent fin. Le cas des : Chalabi, Maza, Tadja, Kaid, Hamitouche, Talbi.
Ainsi, d'autres familles de Boujie ont rejoint elkalâa.
Une source, à cité, notre famille Kaid. Vue qu'ils sont nombreux sur le cartier "Smina" face à l'hôpital "Khelil Amrane" et à "Amriw", connus par leurs barbes; pratiquants, musulmans, leurs métiers est la pêches de poissons jusqu'à ce jour "les poussinières d'Amriw".
Plus de détails seront porté sur l'arbre généalogie de la famille kaid, une fois publié.
Je site aussi Vrahim Oumokrane "Kaid Brahim" le père à Omar, le grand père à Bouzid oumokrane actuel, "Kaid Brahim". Il était très riche et roulait son argent. Il possédait deux (02) blocs de bâtiments à la rue du "Vieil Art" face à la Pizzeria de "Azouz Kebir". Sinon pourquoi son fils Omar, épousa plutard "Zahra Belhocine", connue au nom de "Zahra Omar" boujiote de souche. Une fois il vend les deux blocs il revient s'installer à ighil ali, d'où l'enterrement de zahra est ici.
N'oublions pas toute l'étendue delkalâa nath abbas. (un Royaume venant à l'aide à Boujie pour combattre l'ennemi au début du Quinzième siècle). Dont tous ses villages jusqu'à "Assif Abbas" vers "ath mensour", en passant par la frontière de "hammam sidhi yahia" et thnia ennasr "thizi Lakhmiss".
Sur un livre; en possession de monsieur "Belarbi Mokhtar" ; que Dieu aie son âme; dans le temps que la première banque d'échange de monnaie en Afrique; fut à elkalâa. En Afrique, oui.
Sinon. Pourquoi on dit toujours que l'Algerie et la clé de l'Afrique. C'est par rapport à Elkalâa et le Royaume de Cirta à Constantine.
SOUK AHRAS. Connue par son marché des lions. Pass facile à croire..!? mais d'un point de vue historique, géographique, géologique, climatique, sociologique, culturel par les statues et les noms des régions qui cris fort leurs temoignages; cela semble possible et logique.
Un grand respect, à nos frères de descendance familiale des kaïd, devenant kaid au temps de la france coloniale; les kaid kesba et les benkaid kesba, et à ne pas oublier kaid kasba; de Souk Ahras.
Ces familles, dont leurs héritage va jusqu'en "Arabie Saoudite", passant par la chère voisine "Lybie" et au "Moyen Orient". L'estimation de leurs biens en terme des terres; est d'ordre de quelques centaines de de milliers, en Algérie surtout en Lybie, jusqu'à un peu plus de deux millions d'hectares en Arabie Saoudite. Énigme non résolu jusqu'à ce jour.
Récapitulant;
Toutes ces tribus, ainsi, formant une seule population. On dit que c'est du sang royal qui coule dans nos veines. Une façon de se distinguer des autres; que nous sommes des descendants d'un Royaume.
Le Royaume d'ath Abbas.
Les terres au delà de Assif Abbas vers les montées en talus d' "Ath Melikeche" jusqu'à "La3ziv n'echikh"; à l'entrée d'Ighzer Amoqrane, appartenaient aux gents d'Ighil Ali.
Un accrochage eu lieu avec les habitants de béni Melikeche; ont eu le soutiens d'autres villages du versant de Tizi Ouzou les avoisinants. Ils emportent Victoire. Restitue ces terres au delà de la rivière de la Soummam.
Sinon pourquoi, de nos jours des familles du royaume les possèdent à larev3a thaqdhimte.
Exemple les Dahmani, Adrouche, Taleb, Hamitouche, Dris et autres.
À un moment donné; et après les Oussalah propriétaire des terres à partir de Oued Soummam jusqu'à l'entrée de Sétif;
Les Ouari les ont possédé en bonnes partie, après eux; du Oued Soummam jusqu'à l'entrée d'ighil ali.
Vers l'indépendance, monsieur Ouari, qui était un Kaïd, voulait à tout prix vendre ses terres et rejoindre la France. Il proposa au gents d'ath abbas, principalement ceux d'ath R'zine d'acheter. Mais les terres étaient vastes, grandes et ils n'avaient pas les moyens pour tout ce prestige; après la guerre.
Il proposa donc; de vendre par portions de terres. Les lots reparties sous deux groupes : ceux à 5000 da la portion; d'autres à 10 000 da. La vente eu lieu. De Oued Soummam vers Bouaziz actuel. Des familles principalement de Guendouz, Wizrane et d'autres d'ath R'zine, en général, achetèrent sur Ouari.
On arrive à la cloture de ce bout d'histoire; une pensée tend jusqu'au fameux dicton disant : "faisons l'amour et non pas la guerre".
Ceci; attire notre attention; à ne pas se distinguer les uns des autres dans ce grand royaume.
Quelque part; pour chaque population des sous groupements du royaume; nous sommes des leurs et ils sont des nôtres.
- Qui n'a pas de descendance d'un de ces villages de ce grand prestige humanitaire..?!
- Qu'on soit de Guenzathe, Wizran, Thaourirthe Ouavla (une partie d''ath avla), Thizi Allouane, Hendis, Thighilte Oumeggal, Bouchekfa, Thimdouchine, Aourir, Edj'Dhidha, Iwegranen..., Ce sont l'ensemble des villages d'athe R'zine ( qui tiennent tous leurs noms de R'zana) avant de prendre comme nom : Guindouze plutard.
- Allant vers Boudjllil, passant par Larev3a Thaqdhimte, parcourant Thakhlichthe, Avaliche, Ikhervane, Thala el'Vir, Hamda, ath Wihdhane, Thigrine, Aydassen, Ath Saîdha, Thaourirthe Ahmedh ou Moussa, Thanssaouthe, Ath Ahlassa,
-Revenant de Thaqoravthee, ath Saci, Azrou Oualloul, Zina, Thavoua3ennante (tabou3nant), Mouka, Thiniri, Vel3agual, Ath Sradj, Elkalâa, Thazla, Louggane, Vouqdhen, Ferracha, Thaourirthe Gouchene, ouchanen, louggan et d'autres...
La diversité de ces lieux est grandiose. Des monuments; dans chacune des tribus; crient fort une gloire, une puissance, un vécu, une sensation si forte, se plongé dans l'histoire; ainsi vouloir en savoir plus : sur leurs vies, leurs quotidiens, leurs malheurs et bonheurs.
Le temoignage de leurs coins de rues, des portes des maisons, des greniers et des oliviers les pénétrants. L'air étant si pur, le petit vent souffle à l'oreil garnit de chants d'arbres et d'oiseaux, évoque une curiosité profonde. Celle d'écrire, de revoir, de chercher et partager tout ce reste d'une époque. Tantôt riche en arguments et pauvre en sources et moyens sociaux à présent. Perd, petit à petit, ses couleurs, qui un jour; reflète; l'image d'une grande civilisation.
Certains des noms de ces villages, montrent bien qu'il y avait une forte vie.
Aydassen eu son nom de Monsieur Dassin.
Un juif bijoutier, rejoint ces lieux; avait une fille appelée Saïda. Il apportait avec lui son métier de Bijoutier travaillant l'Or et l'argent. L'exerça, transmis à ses habitants. Ceux dont était réceptifs apprentissage et capable de l'exercer.
Avant beaucoup apporté sur deux lieux : aydassen et ath saidha.
Les berbères habitant ces deux tribus étant des hommes libres, dignes de confiance, pas de place à l'hypocrisie; voulant honoré cet homme; et avoir la galanterie de lui attribuer le mérite de prendre comme nom de ces deux villages; son nom et celui de sa fille. Il a beaucoup fait et laissa, il a été honoré.
Aussi un membre de la famille Taleb, Bijoutier devenant. Travaillant l'argent "Elfetta" et l'Or "edhev"; partait un jour à "Ath Yenni", commercialiser ses oeuvres; Sérieusement apprécié. Il se voit insisté d'y rester. L'ont tenu de force les Honnorant d'un apprentissage à ce métier. Restant et vivant ainsi; eu une descendance; porte, toujours, son nom à ce jours. D'entre eux, gardent contacte et liens en famille et en amitié.
Un constantinois de souche; Directeur Technique à l'Usine Blanqui sur Alger, pour l'industrie de boites jetables en carton; boites et goblet. Gendre du frère de la famille Haddad Mahmoud; est à l'origine de l'information qu'il y de cela, Quatorze 14 à Quinze 15 siècles; que des commerçants d'Ighil Ali partant exposer et proposer leurs produits sur Constantine.
À savoir en premier; l'Or, le blé.
puis les raisins, les figues, les figues sèches "thazerthe", les figues de barbaries "akarmous", les Olives, les Piments, Huile d'Olive...et autres.
Alors que les juifs sur ces lieux ont remarqué leurs sérieux, la qualité de leurs produits et la ponctualité à chaque jour du "Souk". Ces juifs ont dû unir les représentants des tribus des villages de constantine, leurs ont instauré l'idée d'inviter ces commerçants si honnêtes et serieux à s'installer, pour de bon.
Le blé de qualité cultivé sur les terres plates du royaume, (apporté de quelque part, sur les terres chaudes d'autres régions par des juifs); sera transporté sur les haut plateaux; ne l'avant pas encore; faisant fortune des terres vastes et étendues; avec présences des eaux en quantités, autre que dans le royaume.
L' extension vient plutard, sur l'ensemble des hauts plateaux du bout en bout.
Après plusieurs essai pour les retenir; les refus de ces commerçants ont finalement accepte la juste proposition de s'installer ainsi la Création de la ville de Constantine. L'Or, le blé et tous leurs objets commerciale, porté à Constantine.
D'où beaucoup de famille à savoir, les Sellal, Mellal, Abzar, Haddad, Lahneche, Daba, Djaouda, Bencherif, Djettane, Boudjemâa, Bendahmane, Felah qui sont des "issi3lithen", Dahmani, Oussalah, Zetchi, Boulked, Adjoute, Ouarkoub, Azzoug, Hamouche, Kaid, Hermouche, Bendechache, Belmihoub, Belarbi, Adrouche et pleins d'autres familles se sont installés.
Le travail sur l'Or, en terme de bijoux, arrivait à ighil ali sur la main d'un juif vers aydassen qui fait en profiter ses gents d'apprendre ce métier.
Le commerce, avec sa diversité des articles; surtout les tissus, apportait par les juifs. Tous les travaux d'artisanat;
en teme de : bijouterie, ferronnerie, boucherie, menuiserie, coiffure, ébénisterie, mercerie, cordonnerie, confection des tamis, et toute autre tache;
enseigné et apportée par les juifs en Algérie.
Ce sont les premiers à procéder, sur les différentes terres du globe.
L'agroalimentaire, l'agriculture, les bétails; ce sont eux. Pour ceux qui ne souvent pas et n'acceptant; revoir les histoires des prophètes. Noah, Mois, Jacob, Abraham et autres.
Le Passage des chrétiens à ighil ali :
Un bateau commercial sortant des portuaires sud de la France; en direction de l'ouest du méditerranéen; faisant naufrage, en plein hiver, sur les côtes de Jijel; entre le 15ème et le 16ème siècle. Portant, des vivres de l'habillement, des tissus et autre. Fait en bois, à cet époque là. Ses dommages été importants; ne pouvant le rénové. Sans compté les pertes en humains et matériel qu'il contait.
Les restants de ses chrétiens pratiquants; été bouleversés, ne savant quoi faire; que méditer Dieu; alors que la crainte les guettent. Que serait leurs sort ?! Comment allons nous être traités par les occupants de ces terres ?!
Ainsi le souci et de pointes; cherchèrent des collectivités où ils ne seront trop mal traités. Il était les restant des 300 environs; à avoir quitté les ports français. Ils se divisèrent en 03 groupes, marchèrent en rôdeurs. Dont un groupe s'installa au siege des soeurs blanches dit "thimassourine" aujourd'hui.
Les deux autres groupes prennent place à
"ath Yenni" et "Michelet" respectivement. N'en trouvant changement de ce brusque changement inattendue de leurs sort feront églises et prièrent Dieu.
Les femmes se séparons des hommes crièrent "Thimassourines" maison dessoeurs blanches et le dit "Jean Amrouche", aujourdhui, maison des pères blancs. Surtout que les nouvelles les accueillant; étant musulmanes, ne tolérant la mixité. Il se forcent sur ces temps et deviennent mère blanches et soeurs blanches. Ceux qui été moins ambitieux à l'idée, se marieront, eu d'enfants.
Faut croire que la France est la mère de l'église. Leurs histoire en est témoin.
L'arrivée de la france coloniale en Algérie et ses chrétiens :
Durant leurs présence sur ces lieux, ils ont apprit notre longue et nous avons apprit la leur. Ils ont transmis leurs savoir, leurs bonnes manières, nous avons beaucoup apprit. Femmes et hommes s'instruisaient en études comme en métiers.
Les femmes ont apprit : La langue, les études, les chants, la couture, le tricotage, le crochet, les draps, commment désinfecter ses aléas et les vêtements; et surtout comment réussir ses tâches ménagères dans leurs foyers et être au sommet des espérances conjugales. Être apprécié dans son foyers par les siens.
Pour les hommes aussi : La langue, les études, les chants, les métiers, comme la conduite des chauffeurs, la mécanique, l'électricité; et la perfection des métiers acquis déjà.
Une fois la france coloniale déposa les pieds ici, ils se sont regroupés et les ont intercepté. Essayant de défendre la population de façon qu'elle ne souffrira.
Le temps passe; les morts de ces bons français autre que les colons, prennent comme cimetière, la dite en leurs noms thimeqvarthe t'massourine juste côté sur leurs terres.
Les survivants qui ont choisit de rejoindre leurs payé d'origine; étaient principalement les familles. Ceux qui ont choisit de rester; les derniers à quittèrent ighil ali; vers le début des années 80 du siècle précédant. Le tout dernier, été le père Du plon. Passait sa vie entre la France et ighil ali, voulant crée une école d'informatique pour les jeunes vers la fin des années 90. Il a pris ighil ali dans son coeur; mort il n'y a beaucoup de cela en france. Que Dieu aie son âme.
Le premier poteau électrique allumé dans la wilaya de "Bejaia" vit le jour à "ighil Ali en 1938" avant qu'il ne soit allumé à Boujie, venant de Bouira, passant par Beni Mansour qui ne bénéficie pas encore de l'électricité là traversant. Une plaque clouée sur ce poteau portant ces remarques.
On ne doit se différencier les uns les autres. Je le redis : nous sommes des leurs et ils sont des nôtres. Sinon pourquoi on sait que nos familles, à présent, à l'etranger; que ça soit dans le continent Americain, le Canada, l'Europe, l'Asie, l'Afrique ou même en Australie. On se dit qu'ils sont des nôtres. Car une dynastie s'étale en géographie comme sur l'axe des temps. Une dynastie du royaume d'ath abbas, jusqu'aux premiers hommes. Nos ancêtres Jugurta, Massinissa, Mastanabel, Syphax, Elkahina, Thinhinane, Dihia et plusieurs d'autres encore.
Plus, on fait semblant de se distinguer, plus nos chemins se croisent d'avantage. Plus loins encore, jusqu'à l'arrivée à notre père à tous Adam et Ève.
Les Multimédias de nos jours; que ce soit de par leurs bienfaits comme rédiger cet écrit et vous qui le lise à présent, peu être partout sur terre; ou encore; leurs méfaits comme lorsque nous lisons qu'il se peut que le monde se prépare pour une guerre nucléaire au début du mois d'Octobre..!?
Faisons le peu dont nous disposons entre nos mains. Le petit quelque chose qui chérit la personne, quelque soit proche ou lointaine; un acte, un geste, une parole qui nous va droit au coeur; qui régénère l'âme et ses recoins de la sensation; qui plait tant au miséricordieux; sujet de chaqu'un de ses messagers sur terre pour but d'unir, en amitié, en fraternité, en amour, en famille.
Avoir le coeur léger et l'âme souple à vouloir vivre longtemps à méditer tout ce qui nous enchante, nous plaît tant, à attendre le Dieu qui nous tond la main, tous, à marcher sur les sentiers de la vie et ceux du paradis.
Gloire à la vie, à l'amour, à la fraternité, à l'amitié à la bonté de vouloir dire : heureux d'être parmi vous, satisfait de ce que je fait et de ce que je reçois de la haut; prêts pour rejoindre Dieu d'un sourir qui recouvre mon visage d'un humble humain, d'une humble personne, d'entre plusieurs d'autre depuis la toute création jusqu'au dernier jugement.
Bonne lecture.
Excusez moi si j'étais long et lent.
Mes sympathies.
Réalisé et rédigé par Kaid kamel, Mai 2020.