13/09/2023
Histoire fictive de selfbo***ge :
Le Bouncer et ma couche pour des jouissances folles
résumé : Le selfbo***ge en bouncer et couche d'une Little un soir d’orage était une mauvaise idée
Comme beaucoup d’ABDL, AB ou DL, j’ai des fantasmes et rêves. Mon idéal serait d’avoir un daddy dom gentil, attentionné, câlin mais qui soit un peu autoritaire avec la little capricieuse. Et oui, sans une certaines forme d’autorité et de contraintes, je suis bordélique, foutrac avec une part de folie douce. Ma vielle maison est souvent en grand bazar, même mes nounours s’y perdent, c’est dire. Il faut dire qu cette maison est grande, isolée et avec beaucoup de dépendances. C’est une ancienne bergerie au flan d’une colline en dehors du village.
Mon père l’a restaurée avant de quitter ce monde un soir d’orage. Il avait tenu à rentrer le motoculteur pour le protéger de la pluie quand l’orage a commencé. J’avais 14 ans quand c’est arrivé. Il avait mis son imperméable et ses bottes avant de sortir au pas de course. Je le regardais courir dans la cour sans éviter les flaques alors que quand je marchais dedans il me grondait. Soudain, il y a eu un éclair de feu qui a tout éclairé, le tonnerre a immédiatement fait vibrer les murs. Sur le coup, j’ai fermé les yeux et quand je les ai ouverts il était allongé dans l’eau, son corps fumait.
J’ai attendu longtemps qu’il se lève, cela n’est jamais arrivé. Un corps calciné ne se lève pas. Comme il était veuf, j’ai été prise en charge par ma tante, une vielle mégère pas commode et mon oncle, un pervers qui m’a donnée des fessées cul nu malgré mon âge. Je le soupçonne de m’en avoir données rien que pour voir et toucher mes fesses de jeune fille.
Passons !
Je me suis retrouvée chez moi qu’à 21 ans, l’âge de la majorité à l’époque. Entre mon salaire et les héritages de famille, à 36 ans je suis une propriétaire aisée et toujours célibataire. En effet, je n’arrive pas à trouver le daddy dom de mes rêves, de mes fantasmes. Les hommes et moi, cela fait deux, je n’en ai connu qu’un qui m’a sautée, mal et trop vite avant de se barrer. Aujourd’hui, je vie en compagnie de mes fidèles nounours. J’ai essayé l’amour avec les filles, si c’était bien bon, cela n’a pas donné, pour moi, le résultat rêvé. Finalement je suis bien seule avec mes nounours.
Pour ma sexualité, j’ai des copains adorables que j’ai achetés chez ABCplaisir, la boutique qui a acheté et sauvé le site Abkingdom. Comme personne ne vient chez moi, ils traînent un peu partout et me font souvent des clins d’oeil. C’est comme les couches et tenues de bébé adulte, cela me permet de rêver dans la douceur de ces tissus tout doux. Les soirs d’orage, je régresse, mets une couche, un body, une grenouillère pour aller jouer dans les dépendances. Entre la couche et la culotte plastique, il y a souvent un vibromasseur, parfois deux.
Le daddy dom de mes fantasmes m’a dit que je n’ai pas le droit de rentrer tant qu’il pleut, ni de retirer les vibros puisque j’ai ajouté des anneaux à mes grenouillères. Je les cadenasse avant d’aller m’abriter dans la bergerie et attend que la pluie s’arrête pour rentrer. Des fois cela dure longtemps et je jouis plusieurs fois avant que les piles ou batteries ne s’épuisent.
Il m’est arrivée d’y faire du selfbo***ge soft car j’ai trop peur de rester bloquée. J’utilise les menottes qui ne s’ouvrent pas sans clé de chez ABCplaisir et laisse les clés à la maison. Menottée mains dans le dos, je ne peux pas guider mes vibros, c’est à la fois frustrant et excitant de ne pas pouvoir gérer ni contrôler. Il y a donc des fois où je n’arrive pas à j***r et des fois où j’aimerai avoir encore plus d’orgasmes mais après le premier, je m’arrange toujours pour le ou les déplacer parce que les bzzz juste après avoir joui c’est trop fort. Pourtant j’ai souvent rêvé d’être obligée de j***r plein de fois et de perdre la tête ainsi.
J’ai donc étudié tous les scénarios de selfbo***ge du site Fessestivites qui lui a dédié une rubrique mais, comme indiqué précédemment, j’ai trop peur d’être bloquée et de mourir. En effet, si je me bloquais, personne ne viendrait me secourir avant des lustres, autant dire que je serai desséchée avant que quelqu’un vienne chez moi voir pourquoi j’ai disparu.
Et puis j’ai vu qu’un gîte fétichiste allait ouvrir les portes et que les célibataires auraient un accueil privilégié, qu’ils pourraient s’amuser seul en étant sécurisés. J’ai suivi ce sujet pendant des mois et, quand j’ai pu voir les vidéos de présentations des lieux, j’ai mouillé ma culotte de désir. La vidéos des zones fétichistes mettait le feu aux poudres de ma libido et la vidéo de la salle secrète a fait l’effet d’une bombe atomique.
La vidéos des zones fétichistes
Visiter sur Youtube la salle aux secrets
Quand sur leur site, j’ai vu qu’ils pouvaient sécuriser les selfbo***ges des clients, être les personnes de confiance, je me suis mise à rêver, à fantasmer comme une malade. J’allais pouvoir vivre à fond une partie de mes fantasmes sans danger, sans prendre le risque de mourir de faim et de soif.
Et oui, la fille foutrac, kamikaze a osé réserver une semaine pour des vacances associant tourisme, fétichismes et surtout, gros délires. Trois heures de voyage au total en TGV grâce à la RENFE qui propose une ligne directe jusqu’à Saragosse, où j’ai loué une voiture pour 90 euros la semaine !
Juste avant d’arriver au gîte, la fière little kamikaze était soudainement moins fière, elle avait le trac et un peu peur. Peur d’arriver seule chez des gens dans un lieu isolé en pleine nature. L’accueil chaleureux et zen m’a permis de me décontracter, mes craintes ont laissé la place à mes folles envies.
Discuter avec les propriétaires qui sont vraiment zens, vous donne presque l’impression d’être chez des amis coquins. En effet, lors de la visite des lieux, servant aussi à faire l’état des lieux, ils vous parlent et vous présentent les choses comme si c’était normal de jouer dans un donjon, dans la nurserie, de faire du selfbo***ge, de faire un espace game dans la tenue de notre choix.
Surprenant !
Surprenant de sentir à ce point qu’ils sont complètement détachés de ce qui est tabou, secret, intime. Pour eux, c’est normal ! Normal de vous faire voir comment le lit cage de la chambre Love ou de la nurserie peut se fermer à clé. S’en est presque déstabilisant de sentir autant de liberté !
La little kamikaze a rapidement retrouvé ses aises, son inconscience, ses envies de faire des folies. Elle rougissait quand même un peu quand elle a emprunté la grenouillère qui se cadenasse, une culotte en plastique, des menottes, des cadenas, la ficelle aux clés des entraves. Lorsque le propriétaire lui a proposé l’écarteur de jambes après lui avoir offert une des couches de leur sponsor FranceABDL, elle n’a pas osé répondre, le gros « oui j’en rêve » est resté bloqué dans sa bouche. Par contre, elle a accepté que, dans la semaine, il lui organise un Espace game. « Dans la semaine » lui permettait de s’auto « apprivoiser » dans ces lieux de perdition.
La visite du verger où elle pouvait aller manger des fruits, l’a beaucoup moins intéressée que le parcours de santé des coquins en cours de création. Le propriétaire lui a expliqué que le parcours de santé, permettrait aux clients de faire du sport de diverses façons en lui donnant quelques exemples. La little kamikaze qui est tout sauf sportive, s’est imaginée faire du sport avec des sextoys comme compagnons de jeu. Autant dire qu’en ces lieux, il vous vient de drôle d’envies, de drôles d’idées.
Le soir même, j’ai mangé seule dans mon gîte en lisant les deux classeurs. J’avais commandé le repas à 9,50 euros, celui que vous trouvez dans votre réfrigérateur en arrivant. La lecture du classeur des vraies bonnes mauvaises idées, m’a presque faites mouiller la chaise sur laquelle j’étais assise. « Ce sont de vrais fous ces gens » je suis dit presque à chaque page. Si bien¸que je n’ai pas t**dé à me rendre au donjon et à la nurserie où j’ai essayé le lit cage. Hummm que cela doit être grisant d’y être enfermée en couche par un daddy dom après une bonne fessée.
Si je me suis promis de faire un ice-timer pour voir ce que cela donne d’y être enfermée, j’avais une autre envie : tester le bouncer. J’ai donc enfilé le gros pantalon puis le harnais avant de me suspendre à l’aide du treuil. La kamikaze à voulu tester aussi la hauteur, ma tête touchait presque le plafond qui est pourtant bien haut.
Après être redescendue il me fallait absolument réaliser avec ce bouncer un selfbo***ge jouissif sans possibilité de fuite après mes jouissances ! ! !
J’ai donc mis ma couche et la culotte en plastique avec un vibro entre les deux avant de remettre la grenouillère et le pantalon puis le harnais. Les vibrations « en bas » me donnaient déjà « chaud ». J’ai eu envie d’en rajouter ! J’ai pris le trépieds en métal pour y bloquer un magic wand filaire de façon à ce qu’il appuie sur mon sexe quand je me serai suspendue. J’ai ajouté des bracelets à mes chevilles pour faire remonter mes chevilles avec des cordelettes que j’ai fixées aux harnais. Ainsi, il me serait impossible de pousser le trépieds si je ne voulais plus j***r. J’ai fait tout ça avec le truc qui vibrait entre ma couche et ma culotte en plastique, autant dire que j’avais « chaud » de partout.
Pour la dernière ligne droite des folies, j’ai bloqué les menottes dans le harnais, après y avoir attaché la longue ficelle de survie, celle où il y a les clés des menottes et cadenas.
Ensuite je me suis faite monter pour que mon minou puisse dialoguer avec le magic wand massager. J’ai remonté mes chevilles pour les attacher au harnais avec les cordelettes. J’ai allumé le magic avant de fermer les menottes en mettant les mains dans mon dos.
La cochonne suspendue s’éclatait, elle adorait être entravée sans pouvoir fuir les vibrations, qui allaient irrémédiablement la faire j***r. En même temps, elle redoutait un peu de réaliser son fantasme d’empiler les jouissances sans pouvoir les fuir.
Un éclair à illuminé le donjon. Ce n’était pas un orgasme mais un orage comme me l’a confirmé le tonnerre quelques secondes plus t**d. Le pied, c’était comme à la maison mais en deux fois mieux. Les yeux fermés, la cochonne attachée savourait les vibrations. Elle sentait arriver une douce chaleur dans son ventre, douce chaleur qui, comme de la lave coulant d’un volcan a fini par atteindre sa plus tendre intimité. Les murs du donjon pourraient vous dire que j’ai crié presque aussi fort que le tonnerre quand j’ai éclaté, explosé, implosé dans une jouissance paroxystique. C’était démentiel de ne pouvoir retirer les deux vibromasseurs qui refusaient de faire une pause.
Soudain, la lumière s’est éteinte après un éclair, juste avant que le ciel nous tombe sur la tête.
Si le magic wand massager s’est arrêté, celui sur batterie continuait, je caressais l’espoir de pouvoir j***r encore, que cela serait aussi fort que mon précédent orgasme qui avait été démentiel et très long. Si l’espoir fait vivre, j’ai bien senti qu’il aurait fallu les deux vibros pour continuer de m’envoler pour aller jouer avec les nuages et les éclairs.
Oh mon dieu nonnnn ! C’est ce que j’ai crié quand j’ai pris conscience que sans électricité je ne pourrai pas descendre du bouncer sans prendre le risque de me fracasser.
Je ne caressais plus l’espoir de pouvoir j***r encore mais que l’électricité revienne. J’ai donc tiré sur la longue ficelle pour récupérer les clés des menottes. Dix mètres de ficelle à petits bouts par petits bouts, c’est long ! Quand enfin je les ai eus dans les mains, il m’a encore fallu cinq minutes pour parvenir à ouvrir les menottes parce que le harnais me gênait.
Enfin libre, ou du moins mes mains, j’ai commencé par libérer les chevilles pour essayer de voir, à l’aveugle dans le noir, si je pouvais descendre sans me fracasser. Si j’ai pu ouvrir l’attache de devant, mon poids ne me permettait pas de sortir du harnais. Le télécommande du treuil ne servait à rien sans électricité. La rage m’est venue, j’ai dit des tas de mots vulgaires qui n’ont servi qu’à me défouler. Je rêvais de contrainte, de bo***ge, j’étais servie et mon daddy dom était l’EDF local.
Si le bouncer c’est trop génial, sur la durée cela finit par être inconfortable. Heureusement que j’avais une couche, elle servait un peu de matelas ou de rembourrage ! La little kamikaze a du prendre son mal en patience en compagnie d’un vibro en fin de vie.
La little kamikaze a perdu patience au bout de X heures, elle a tout essayé pour se libérer mais en vain. Pour soulager sa minette éplorée, elle a fini par rattacher ses chevilles afin de diminuer le poids l’écrasant. Le harnais supportant ses jambes a rendu la position moins inconfortable.
La little kamikaze a trouvé le temps TRES LONG.
La little kamikaze a maudit l’EDF local.
La little kamikaze a bien mouillé sa couche de rage et sans plaisir.
La little kamikaze a pris conscience que le propriétaires du gîte finirait par venir la libérer, MAIS qu’il allait la voir en mauvaise posture. La honte à venir était angoissante. Qu’allait-il dire ? Allait-il rigoler ? Allait-il se moquer d’elle ?
La little kamikaze a vu le soleil se lever à travers la fenêtre occultant la vue.
La little kamikaze a fini par faire d’autres pipis avant de décider de se retenir par peur d’avoir des fuites.
La little kamikaze a touché le fond vers dix heures quand la porte du donjon s’est ouverte et que le propriétaire du gîte est entré. Il n’a pas rigolé, il ne s’est pas moqué et lui a juste demandé si elle avait besoin d’aide. la gorge bloquée, elle n’a pas pu répondre tant elle avait honte, elle a juste bougé la tête pour lui dire « oui ».
En constatant qu’il n’y avait plus d’électricité au donjon, il est allé chercher une chaise qu’il a glissée sous ses pieds après avoir retiré le trépieds maintenant le magic wand massager de la honte. Le sourire du sauveur n’était pas moqueur, il semblait compatir à mes soucis.
L’électricité est coupée, les batteries des centrales photovoltaïques se rechargent et assureront le minimum vital si l’électricité n’est pas rétablit rapidement. Je vous demande donc de l’économiser au maximum, nous cuisinerons au gaz pour midi et vous serez notre invitée car vous ne devez pas utiliser la cuisinière. Au pire, vous pouvez vous faire un café et prendre une do**he mais, là aussi très courte pour économiser le cumulus. Désolé mais ces soucis sont indépendants de notre volonté.
La little kamikaze a accepté d’être aidée pour se libérer, elle a murmuré un timide « merci » en regardant son sauveur quitter les lieux. Rassurée et comme pour le remercier, elle n’a pas pris de do**he, elle a juste changé de couche et fait une toilette à la lingette avant de se faire un café. Elle s’est couchée pour une grasse matinée.
Vers 13 heures, le propriétaire est venu la réveiller en tapant à la porte. Il lui a indiqué qu’ils faisait des grillades accompagnées de pommes de terre à la braise et qu’ils lui offraient aussi l’apéritif sur la terrasse couverte. Comme la little kamikaze vêtue de la grenouillère semblait encore gênée, il l’a rassurée en lui disant que cela ne gênerait personne si elle restait vêtue comme ça pour le repas. Ce sadique lui a juste indiqué qu’il avait sortie la chaise haute pour adulte et qu’elle pourrait y prendre place si elle en avait envie.
Une demi-heure plus t**d, la little foutrac était assise sur la chaise haute pour adulte et buvait une sangria au biberon. Sa honte était partie, elle vivait sa vie, ses délires, ses fantasmes comme si elle était en famille, disons plutôt, une sorte de famille d’accueil très particulière certes !
Fin
TSM
Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.
Le site du gîte fétichiste et B**M est ici :
Bienvenue au Gîte FÉTICHISTE Le gîte est un havre de paix, au calme, dans la nature et à proximité de très nombreux lieux touristiques. Avec un jardin arboré, une terrasse et l’accès à notre piscine il y a tout ce qu’il faut pour agrémenter vos vacances. Le parking est facile et gratui...