Destination Partage

Destination Partage Destination Partage, c'est une Union de Comités d'Entreprise et d'Associations pour réfléchir et agir autour des politiques vacances

Destination Partage s’engage à :

Décrire sur son site internet et pour chaque partenaire les caractéristiques évoquées ci-dessus,

Classer chaque opérateur sur la base des atouts et des particularités de son offre globale mais également sur les rapports qualité/prix en fonction de la gamme : Confort « Simple, Bon, Grand »

Signaler « l’offre abordable/petit budget », mais aussi l’offre intégrant

des services (Wifi, etc.) et plus encore l’offre intégrant dans un « tout compris » des prestations appréciées (ex : sauna, whirlpool bath, …)

Délivrer des « coups de cœur », (nous avons particulièrement aimé …)

Défendre ses valeurs : en premier lieu le droit aux vacances pour tous mais aussi la responsabilité sociale et environnementale. Vous informer sur les offres privilégiées de nos partenaires et/ ou les promotions, la prise en compte des revenus (QF), des bons caf, des remises complémentaires pour les titulaires Vacaf, les Villages Vacances, les Maisons Familiales, les Résidences Locatives, les Campings, les Mobil Homes. Signaler également la possibilité d’acheter du linéaire, des allotements, avec remises importantes et rétrocessions, sous certaines conditions à définir entre Destination Partage et chaque partenaire.

L'avion c'est moins cher que le train ! Nous avons tous entendu au moins une fois cette affirmation. Est-ce exact ? Dans...
30/11/2024

L'avion c'est moins cher que le train ! Nous avons tous entendu au moins une fois cette affirmation. Est-ce exact ? Dans cet article portant sur les voyages longue distance, qui sont essentiellement effectués pour des motifs de loisirs et tourisme, Carbone 4 vous propose le résultat de quelques petits calculs sur la question, résultat qui change significativement selon la base de comparaison : https://lnkd.in/emZ285xe

Nous avons l'habitude, quand nous comparons les modes de transport, de tout ramener en émissions ou en cout par km parcouru. Mais, en fait, cette approche se discute beaucoup. Car ce que montre l'expérience est que, quand nous partons en vacances, nous nous déplaçons en moyenne 4 heures pour aller au lieu de destination, quel que soit le mode choisi.

Dit autrement, quand nous prenons l'avion plutôt que le train, ce n'est pas pour aller plus vite au même endroit, mais pour aller plus loin dans le même temps. Du coup, il devient légitime de comparer les modes non pas sur la base de la distance, mais sur la base de l'heure de transport.

A ce moment, l'avion ressort comme nettement plus cher, et 25 fois plus émissif que le train par heure de trajet. Et, à nouveau, "statistiquement" cela n'est pas complètement illégitime de se baser sur le temps, puisque c'est comme cela que nous arbitrons au niveau de la population dans son ensemble.

Est-ce que le fait de moins prendre l'avion serait un renoncement aux voyages ? Bien sur que non. Ca serait avant tout renoncer aux séjours courts, mais est-ce que cela serait très grave ? L'argument de l'ouverture aux autres semble difficile à utiliser en pareil cas : peut-on vraiment argumenter que qu'il est possible de découvrir d'autres cultures et d'autres pays en 3 jours ou même une semaine ?

Il n'y a évidemment pas que le trajet dans les émissions associées à un voyage : il faut aussi tenir compte de l'hébergement, des loisirs effectués (bateau, ski, jet ski, parachutisme et randonnée n'ont pas la même empreinte carbone !), et éventuellement de la nourriture (encore que l'on aurait aussi mangé si l'on était resté chez soi !).

Sauf exception, il n'y a en pratique qu'en voyageant en train que le déplacement devient secondaire devant les autres émissions du séjour.

Si vous avez envie de savoir ce que "pèsent" vos activités de loisirs, vous pouvez le découvrir au travers de l'empreinte carbone personnelle proposée par MyCO2 : https://lnkd.in/eF2fyjae

C'est gratuit et ca peut rapporter gros ! (en émissions économisées)
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Dans l’hôtellerie, toutes gammes confondues, le prix moyen d’une nuit d’hôtel a bondi de 26 % depuis 2019, selon les don...
18/10/2024

Dans l’hôtellerie, toutes gammes confondues, le prix moyen d’une nuit d’hôtel a bondi de 26 % depuis 2019, selon les données du cabinet MKG, basées sur 2 400 établissements en France. A Paris, cette hausse est plus marquée : 37 %. Une nuit dans un trois-étoiles coûte désormais 134 euros en moyenne dans le pays, contre 97 euros en 2019. Le tarif moyen d’une location sur Airbnb, en France, a connu une augmentation de 39 % depuis 2019, selon les données extraites par le cabinet AirDNA. Quant au prix moyen d’un billet d’avion vers l’étranger, depuis la France, il s’est renchéri de 32 % entre 2017 et 2023, selon la direction générale de l’aviation civile.

Autre illustration : le prix des séjours au ski. Pour six jours de remontées mécaniques aux Gets, une station de taille moyenne en Haute-Savoie, il faudra compter, cet hiver, 291 euros par adulte, soit une hausse de 28 % en cinq ans. A Val-Thorens (Savoie), parmi les stations les plus chères des Alpes, ce tarif atteint 320 euros (contre 250 euros pour le même forfait lors de l’hiver 2019-2020). Les colonies de vacances ne sont pas épargnées. A l’été 2022, une semaine de tennis à l’UCPA en Seine-et-Marne était proposée à 620 euros. Deux ans plus t**d, ce même séjour est à 740 euros (+ 20 %).

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Les professionnels avancent de multiples arguments pour justifier ces hausses : flambée des prix de l’énergie, des matières premières, de la blanchisserie, des coûts de transport ou remboursement des prêts garantis par l’Etat accordés durant la pandémie… Le tout combiné à des augmentations de salaires accordées pour attirer des employés, alors que ce secteur fut déserté par les candidats après le Covid-19.

Montée en gamme
Dans certains cas, la hausse des tarifs reflète aussi des opérations de rénovation. C’est le cas pour les Center Parcs, engagés dans un vaste de plan de rénovation de leurs villages. Résultat : une nuit dans un cottage coûte en moyenne 178 euros (chiffres 2023), contre 137 euros en 2019. « Tous les acteurs du tourisme veulent monter en gamme, parce que c’est plus rentable. Mais ce faisant, on abandonne des segments de clientèle, observe Jérôme Pasquet, président des Villages Clubs du Soleil. Ce sont des millions de clients domestiques en moins, qui se compensent en partie par des clients internationaux. »

Ces augmentations de prix ont aussi permis à certains d’améliorer leurs marges. Dans l’hôtellerie, les résultats d’exploitation ont connu une progression nette au cours de ces cinq dernières années, selon le dernier baromètre de l’industrie hôtelière réalisé par KPMG. En particulier pour les hôtels quatre étoiles et plus. Ainsi l’hôtellerie est désormais le secteur le plus recherché par les investisseurs immobiliers. D’autant que le haut de gamme semble échapper à la crise, porté par la croissance de la clientèle étrangère, et par des vacanciers peu sensibles aux hausses de prix.

Face à ces coûts plus élevés, les Français partent moins loin, moins longtemps, moins souvent. « Mais davantage dans l’hébergement non marchand, c’est-à-dire chez la famille ou des amis », observe Didier Arino, dont le cabinet, Protourisme, réalise chaque année une enquête sur les vacances des Français. Ainsi, dans les villages vacances VVF, les durées moyennes raccourcissent, avec « de plus en plus de séjours de quatre à cinq jours et de moins en moins de séjours d’une semaine ou plus », illustre le directeur de ce réseau, Stéphane Le Bihan. Les choix de villages se font davantage à proximité du domicile, et les clients les moins fortunés ont « disparu ». En revanche, « on récupère ceux qui allaient dans des clubs ou campings de gamme supérieure, mais qui sont refroidis par les tarifs », explique Stéphane Le Bihan. Dans ses villages situés à la montagne, les familles « prennent deux ou trois jours de forfait et, le reste du temps, font d’autres activités moins chères, de la randonnée, de la luge », raconte-t-il.

« Ne pas sortir sa carte bancaire en permanence »
Signe des temps, le système d’échange de maisons, qui fait partie de cette galaxie touristique « non marchande », a le vent en poupe. HomeExchange, 175 000 membres, enregistre une croissance de son nombre d’adhérents « de 50 % par an depuis trois ans », indique son président, Emmanuel Arnaud. Cet été, le nombre d’échanges finalisés en France a bondi de 34 % en un an. « La motivation principale est cette volonté de partir pour pas cher. Notre cœur de cible, ce sont les familles avec enfants et notamment les enseignants », précise-t-il.

Autre niche qui en profite : le « tout-compris ». Les clubs de vacances proposant de la pension complète ou de la demi-pension réalisent de bonnes performances. « On paie tout avant, la nourriture comme les activités pour les enfants, alors il y a cette idée qu’on maîtrise son budget. On n’a pas à sortir sa carte bancaire en permanence », raconte Alexis Gardy, président du réseau de clubs Belambra, qui a enregistré une hausse de 9 % de sa fréquentation cet été. Sur Airbnb, la location de très grandes maisons, où plusieurs familles peuvent partager les frais, est également plus recherchée.

« La fracture s’élargit entre ceux qui ont la culture des vacances et vont dépenser de plus en plus pour voyager – quitte à partir un peu moins souvent –, et ceux qui ne partiront plus, parce que les prix ont trop augmenté », observe Jean Pinard. Lui s’inquiète de la manière dont les géants du numérique, de Netflix à Amazon, empiètent sur un temps libre jadis consacré aux loisirs et aux vacances. Pour le tourisme, la bataille pour reconquérir des clients se joue aussi ici.

Jessica Gourdon

Hôtels, vols, loisirs, parcs d’attractions… Les hausses de prix depuis cinq ans ont été largement supérieures à l’inflation. Le secteur du tourisme espère tirer parti des vacances de la Toussaint, qui démarrent samedi en France.

Le voyage sous influence.Il faut lire ce double interview de Saskia COUSIN et Sébastien Jacquot qui nous invitent à comp...
26/09/2024

Le voyage sous influence.

Il faut lire ce double interview de Saskia COUSIN et Sébastien Jacquot qui nous invitent à comprendre comment le voyage, et plus largement les vacances sont influencées par des principes de distinction et d’attractivité.

https://lnkd.in/eXkAztZd

Les imaginaires ont la peau dure et sont finalement très bien entretenus, surtout quand ils visent à modeler notre désir d'ailleurs qui n'a finalement pas grand chose à voir avec la norme des pratiques de vacances des français.

Non, partir à l'autre bout du monde n'est pas la norme, et les auteurs de nous rappeler que "La crise sanitaire n’a fait que remettre en lumière ce qui avait été éclipsé : la prégnance d’autres mobilités de loisirs, souvent méprisées ou ignorées".

Il faut lire cet article et accepter que malgré toutes les bonnes intentions partagées pendant la crise sanitaire, rien n'a changé et j'ai peur que le rapport que va partager l'ADEME demain sur l'évolution du BEGES tourisme entre 2018 et 2022, nous le rappelle crûment!

Un autre rapport partagé ce matin par Alexis Chailloux sur le transport aérien va dans le même sens, en rappelant que les vols de loisir représentent 75% des émissions de CO2 , et que les vols low cost n’ont pas révolutionné la sociologie des passagers aériens. Ils ont surtout permis à des personnes qui prenaient déjà l’avion de le prendre encore plus souvent.

https://lnkd.in/d9gBH7iX

Bref rien ne change! Pire on en arrive à faire de l'écotourisme la nouvelle norme de ce qui serait durable dans le tourisme, en l'opposant à la masse du tourisme balnéaire. Peu importe si le bilan carbone d'une famille qui passe une semaine de vacances à Mimizan est 10 fois inférieur à la famille qui part aux Lofoten, il s'agit de faire de la rando en Norvège la norme d'un tourisme

Perso je ne suis pas pour opposer les modes de vacances, donc les touristes, on le sait les CSP+ partiront plus loin que les CSP-, c'est ainsi, mais la priorité c'est de faire de la proximité, des loisirs, une vraie stratégie en faveur d'un tourisme plus inclusif et plus durable.

Alors que la compétence tourisme est partagée, personne ne s'émeut que la compétence loisirs ne soit jamais abordée.

C'est pourtant ça l'enjeu de notre secteur. Développer la proximité, les loisirs, l'envie d'être ensemble, l'envie de partir ici chez nous !

On en parle à Bordeaux dans les cadres des rencontre d'ATD et à Fouesnant dans le cadre des rencontres de l'UNAT - Union Nationale des Associations de Tourisme et de plein air.

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04/07/2024
Les craintes liées à l’impact de l’inflation sur les vacances augmententL’inflation / la baisse du pouvoir d’achat est t...
08/02/2024

Les craintes liées à l’impact de l’inflation sur les vacances augmentent
L’inflation / la baisse du pouvoir d’achat est toujours le premier facteur qui pourrait impacter négativement les vacances et elle est ressentie par un nombre croissant de Français (64 % vs 51 % en février 2023). La fin du mois est une préoccupation nettement plus vive que la fin du monde : ils sont près de trois fois moins à craindre les phénomènes météorologiques (24 %) et seulement 11 % les contraintes environnementales qui les obligeraient à voyager par exemple moins loin et / ou moins souvent.
Il faut noter que le nombre de répondants qui affirment que pouvoir partir en vacances risque de devenir de plus en plus compliqué augmente de deux points par rapport à février 2023 (66 % vs 64 %).

Avec une inflation qui reste le sujet de préoccupation principal des Français, ces derniers continuent à faire évoluer leur consommation de vacances et de loisirs. Néanmoins, les vacances restent un…

LES STATIONS DE MONTAGNE FACE AU CHANGEMENT CLIMATIQUE15Synthèse du Rapport public thématique de la Cour des comptes1. M...
06/02/2024

LES STATIONS DE MONTAGNE FACE AU CHANGEMENT CLIMATIQUE

15
Synthèse du Rapport public thématique de la Cour des comptes
1. Mettre en place un observatoire national regroupant toutes les données de vulnérabilité en montagne accessibles à tous les acteurs locaux (ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires).
2.Faire évoluer le cadre normatif afin que les autorisations de prélèvements d’eau destinés à la production de neige tiennent compte des prospectives climatiques (ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires).
3. Formaliser des plans d’adaptation au changement climatique, déclinant les plans de massifs prévus par la loi Climat et résilience (autorités organisatrices, ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires).
4. Conditionner tout soutien public à l’investissement dans les stations au contenu des plans d’adaptation au changement climatique (ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, régions, départements).
5. Mettre en place une gouvernance des stations de montagne ne relevant plus du seul échelon communal (ministère de l’intérieur et des outre-mer, collectivités territoriales).
6. Mettre en place un fonds d’adaptation au changement climatique destiné à financer les actions de diversification et de déconstruction des installations obsolètes, alimenté par le produit de la taxe sur les remontées mécaniques (ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, ministère de l’économie et des finances et de la souveraineté industrielle et numérique).

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