Gilet jaune region quimperlé riec mellac moelan clohars trevoux baye

Gilet jaune region quimperlé riec mellac moelan clohars trevoux baye Les citoyens en colère & les gilets jaunes de la région de quimperlé

11/02/2020

la démocratie participative s’exercera à Quimperlé sur la base de 3 valeurs clés : la transparence, la participation des citoyens, la collaboration entre tous. Nous mettrons en place différentes structures avec budgets participatifs, permettant l’exercice de cette démocratie et la particip...

11/02/2020

Elle est la première. La liste « Quimperlé, décidons ensemble », a son local de campagne. Il se trouve, place Hervo, près des Halles, en basse-ville.

11/02/2020
07/02/2020

À l’invitation du collectif local du Pacte pour la transition écologique, les cinq candidats aux municipales à Quimperlé (Finistère) se sont retrouvés, lundi soir, le 3 janvier, au centre Guéhenno, pour parler environnement.

07/02/2020

"Quimperlé Décidons Ensemble" - liste citoyenne, élections municipales 2020.
Démocratie participative, économie sociale et solidaire, écologie, santé, culture, tourisme, sécurité
Site web : https://quimperledecidonsensemble.fr/

26/01/2020

Notre équipe, réunie sous la bannière “Quimperlé, décidons ensemble”, est bien décidée à relever ces défis que sont les Transitions sociétales et environnementales, en remettant les Citoyens au centre d’un modèle de “gouvernance municipale partagée”, allant de la prise en compte des idées, à la participation aux débats puis à la “votation” des choix .
⚡merci de partager un maximum autour de vous !⚡

18/06/2019

La ministre du Travail présentait, aux côtés d'Édouard Philippe, les grandes lignes d'une réforme aussi vaste qu'explosive. -----...

Partagez autour de vous (cliquez sur l'image puis "partager")Merci (y)
20/05/2019

Partagez autour de vous (cliquez sur l'image puis "partager")
Merci (y)

11/05/2019
05/05/2019

Le 4 mai, pour l'acte 25 des Gilets Jaunes, aucun incident n'a été recensé. Pas un coup échangé du côté des manifestants, comme de celui des forces de l'ordre. Pas de projectile, ni de tir de gaz lacrymogène. Les Gilets jaunes ne seraient-ils subitement plus une "foule haineuse"? Ou le choix...

Mercredi 1er mai, les Gilets Jaunes ont invité la population à une rencontre au bar l’O’Keltia, à Quimperlé (Finistère),...
02/05/2019

Mercredi 1er mai, les Gilets Jaunes ont invité la population à une rencontre au bar l’O’Keltia, à Quimperlé (Finistère), après la projection du film J’veux du soleil. Une occasion pour rappeler qu’ils n’abandonnent pas leur combat.

Tonnerre d’applaudissements à la fin du film J’veux du soleil de François Ruffin. Un road-movie durant lequel le député part à la rencontre des Gilets jaunes. Après une heure vingt de projection au cinéma La Bobine de Quimperlé (Finistère), les Gilets jaunes et une quinzaine de spectateurs se sont retrouvés au bar l’O’Keltia, mercredi 1er mai.
« Les actions des Gilets jaunes ne se réduisent pas uniquement à une présence sur les ronds-points. Elles sont aussi dans les rencontres, note Éric, questionné sur l’objectif de l’événement. Nous voulons contrecarrer l’image d’un collectif violent et xénophobe propagée par les médias audiovisuels au sujet des Gilets jaunes. »

« Les Gilets jaunes sont victimes d’amalgames »
« La population pense que le mouvement des Gilets jaunes se meurt. Alors que ce n’est pas du tout le cas ! », livre Marie-France. Une intuition véridique au regard de la présence de Kristelle Caniou : « Je suis venue voir ce qu’il restait du mouvement, confie la jeune femme. J’ai entendu dire qu’ils n’étaient que des casseurs. Qu’ils représentaient un danger démocratique. Les Gilets jaunes sont victimes d’amalgames. »

De son côté, Cédric Painvin voulait en savoir davantage sur l’état d’esprit des Gilets jaunes, plusieurs mois après le début du mouvement.

À l’entrée du bar, se trouvait Richard Renaudier, militant du parti France insoumise. « Je suis venu découvrir ce mouvement qui bouge la France. Je souhaite qu’il entraîne un réel changement », affirme-t-il.

Près du comptoir, Laurent échangeait avec un couple : « Ils voulaient en savoir davantage sur l’évolution du mouvement. »

« Nous ne lâchons rien ! »
Les violences policières dont ils déclarent avoir été victimes durant la manifestation du 16 mars à Paris ; leur déception au regard des annonces récentes du président de la République à la suite des Grands débats. Telles sont les deux principales raisons pour lesquelles les Gilets jaunes de Quimperlé souhaitent poursuivre leur combat. « Nous ne nous faisions pas d’illusions quant aux annonces de Macron, mais là, il ne répond à aucune de nos demandes. Nous ne lâcherons rien ! », déclarait le collectif.

Source : https://www.ouest-france.fr/bretagne/quimperle-29300/quimperle-gilets-jaunes-toujours-debout-6332798

02/05/2019

«INTRUSION DANS UN HÔPITAL» : DÉMONTAGE D'UNE INTOX

- «On était faits comme des rats» : témoignages -

Ce 1er mai, la répression a été d'une sauvagerie inouïe. Pour justifier les attaques inqualifiables contre la liberté de manifester commises à Paris, le gouvernement monte une intox extrêmement grave. Et tous les médias suivent.

C'est Castaner qui lance la première salve dès l'après-midi. Selon le ministre de l’intérieur, l’hôpital de la Pitié Salpétrière aurait été «attaqué» par des dizaines de militants d’ultragauche «black blocs». Pour faire monter l'intox au maximum, il se rend sur place, accompagné de journalistes. BFM enchaîne, et parle d'une «intrusion de casseurs», d'un «hôpital pris pour cible».

On évoque ensuite des «chaînes cassées» par «des gilets jaunes et des gens masqués» qui auraient «tenté de pénétrer dans le service de réanimation». Le directeur des hôpitaux de Paris, proche de Macron, reprend le mensonge : une «intrusion violente» dans un «service de réanimation». Même chose pour la ministre de la santé qui se dit «très choquée».

Bref, le tableau est apocalyptique. Les manifestants seraient en fait de véritables barbares assoiffés de sang, venus spécialement pour vandaliser un lieu de soin et attaquer des patients. Qui peut y croire? En dehors de macronistes radicalisés et de médias fanatisés : personne.

Voici en quelques témoignages, la réalité des faits :

- Un témoin raconte : «J'ai vu ces manifestants à l'entrée de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière qui voulaient se réfugier parce qu'une colonne de CRS arrivait par le haut du boulevard [...] puis la commissaire a repéré ces gens à l'entrée, elle a ordonné à ses policiers de rentrer et de les dégager.»

- Un médic confirme : «Je suis street médic, j'y étais à ce moment là. Beaucoup de gens se sont réfugiés dans l'enceinte de l’hôpital pour fuir un gazage de masse et une charge de CRS qui a eu lieu dans l'allée de l’hôpital.»

- Sur Facebook une manifestante, Naty Ta, explique en détail : «Oui, il a été demandé aux vigiles d’ouvrir la grille pour qu’on puisse s’abriter des canons d’eau et des gaz. Ils n’ont pas voulu nous ouvrir, on était fait comme des rats. Les gars qui ont forcés la chaîne […] ont permis que l’on puisse s’abriter. Y’avait rien de notre côté juste nous quelques retraités, quelques jeunes NON cagoulés. 10 minutes après, les CRS sont rentrés dans l’enceinte de l’hôpital pour nous gazer et nous matraquer... à l’intérieur de l’hôpital ! Je me suis bien fait traiter de "sa**pe, dégage" par un CRS. Pour quelle raison? Parce que on s’est juste ABRITÉS des gaz. en tout cas merci aux infirmiers de nous avoir aidés avec les gouttes pour les yeux !»

- Un quatrième témoignage corrobore : «Un groupe de manifestant poursuivi par une brigade à moto se réfugient dans la Pitié. Ils ont pénétré dans le bâtiment mais jamais dans la réa.»

En résumé : tous les témoignages concordent. Des manifestants paniqués, pourchassés par une police ultra-violente se sont réfugiés dans la cour de l’hôpital. Ils ont été traqués et frappés jusque dans la cour, mais il n'y a évidemment pas eu d'intrusion dans les services de soin.

Pour rappel, le gouvernement Macron lançait l'an dernier une immense attaque contre les hôpitaux et le système de santé publique. Les soignants tiraient la sonnette d'alarme, sans être écoutés. Aujourd'hui, le même gouvernement monte de toute pièce une affaire «d'intrusion» dans un hôpital pour justifier sa violence inouïe. Ceux qui saccagent les hôpitaux publics inventent des «violences» contre un lieu de soin. Abject.

Mais le mensonge est vraiment trop gros pour être avalé.

28/04/2019

Il y a d’un côté cette photographie d’Emmanuel Macron penché devant la tente d’un sans-abri et de l’autre ce chiffre.

Adresse

Rue De Croaz Chuz
Quimperlé
29300

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Gilet jaune region quimperlé riec mellac moelan clohars trevoux baye publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter L'entreprise

Envoyer un message à Gilet jaune region quimperlé riec mellac moelan clohars trevoux baye:

Vidéos

Partager