12/04/2024
La Cour administrative d’appel de Toulouse a rejeté ce jeudi 11 avril la requête en sursis à exécution du jugement annulant les permis précaires délivrés aux trois concessions de plages du Grand Travers.
25 années de concessions sont ainsi balayées et ne pourront plus faire profiter, à ces emplacements, les locaux comme les touristes de leurs activités.
Il va donc falloir regrouper toutes ces concessions à proximité immédiate des habitations et des autres restaurants de front de mer, dans une incohérence totale.
Il est grand temps que nos dirigeants mettent enfin un terme à cette dérive portée par les chantres de la décroissance, qui viennent ruiner tous les efforts de développement harmonieux et raisonné de notre Territoire. Comme le mouvement des agriculteurs l’a encore dénoncé récemment, il faut se débarrasser de ce fatras administratif et de ces normes destructrices de notre économie et de notre qualité de vie.
Je redis avec force mon attachement aux concessions de plages, lesquelles sont pourvoyeuses de nombreux emplois locaux, travaillent de concert avec les producteurs du territoire et incarnent en cela un maillon fort des circuits-courts, d’ailleurs appelés de leurs vœux par les associations environnementales.
Elles constituent un pilier de notre attractivité, jouent un rôle prépondérant dans la sécurisation de nos plages, mettent à disposition des sanitaires à destination du public - y compris hors clientèle.
Nous enclenchons donc les solutions alternatives sur lesquelles nous avions déjà travaillé par anticipation, et nous nous battrons pour que les textes réglementaires incohérents soient modifiés.