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Selon la définition de l'ONU, "lorsqu'un territoire prélève 25 % ou plus de ses ressources renouvelables en eau douce, o...
06/01/2023

Selon la définition de l'ONU, "lorsqu'un territoire prélève 25 % ou plus de ses ressources renouvelables en eau douce, on considère qu'il est en situation de stress hydrique". À l'échelle mondiale, seulement un peu plus de 18 % du total des ressources renouvelables en eau douce étaient prélevées en 2018. Mais à l'échelle régionale cependant, certains territoires connaissent déjà de graves problèmes de pénurie d'eau. Dotés d'un climat naturellement aride ou semi-aride, l'Afrique du Nord et le Moyen-Orient présentent les niveaux de stress hydrique les plus élevés au monde et subissent déjà de plein fouet les effets du changement climatique. Ailleurs sur la planète, certains pays d'Asie centrale et du Sud, mais aussi d'Amérique latine et d'Europe (Espagne, Italie,...) sont déjà classés en niveau de risque "élevé".

Comme le montrent les projections du World Resources Institute pour 2040, la raréfaction des ressources en eau est malheureusement amenée à s'aggraver. Un rapport de l'Economist Intelligence Unit indique que "l'urbanisation galopante, la croissance démographique, le changement climatique et le développement économique exercent une pression sur les systèmes d'approvisionnement en eau". Selon les prévisions, 44 pays seront confrontés à des niveaux de stress hydrique "extrêmement élevés" ou "élevés" à l'horizon 2040. Comme l'avertit ce rapport, "dans le même temps, l'élévation du niveau des mers place un nombre croissant de territoires, notamment en Asie de l'Est et du Sud-Est, dans une situation de risque accru d'inondations, pouvant submerger les systèmes d'assainissement et polluer les sources d'eau potable".
(Source fr.statista.com)

L'UE déclare la guerre au plastique : les négociateurs des États membres de l'UE et du Parlement européen viennent en ef...
26/07/2022

L'UE déclare la guerre au plastique : les négociateurs des États membres de l'UE et du Parlement européen viennent en effet de se mettre d'accord pour interdire à l'avenir de nombreux produits en plastique à usage unique.
Ce type de déchet représente à lui seul environ 70 % des déchets qui polluent plages et océans. L'infographie qui suit reprend les données de la NOAA (Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique). Elle montre le temps estimé nécessaire à différents objets du quotidien pour se biodégrader dans un environnement marin. Si un mégot de cigarette peut prendre une décennie à se dégrader, il faut compter le double pour un sac de course en plastique. D'autres objets font cependant bien pire en matière de biodégradabilité : les bouteilles en plastique et les couches jetables peuvent prendre environ 400 ans ou plus pour disparaître et le fil de pêche en nylon 600 ans.
(Source fr.statista.com)

Une étude néerlandaise fait état, pour la première fois mais avec un échantillon réduit, de la découverte de micro-parti...
27/03/2022

Une étude néerlandaise fait état, pour la première fois mais avec un échantillon réduit, de la découverte de micro-particules de plastique dans le sang humain. Une découverte qui soulève des interrogations sur une éventuelle pénétration de ces particules dans les organes.

Les auteurs de cette étude, publiée jeudi 24 mars dans Environment International, ont analysé des échantillons sanguins de 22 donneurs anonymes, tous des volontaires en bonne santé, et découvert des microplastiques chez 17 d'entre eux. La moitié des échantillons contenait des traces de PET (polytéréphtalate d'éthylène), l'un des plastiques les plus utilisés dans le monde, notamment pour la fabrication de bouteilles et de fibres polyester.

Plus d'un tiers renfermait du polystyrène, utilisé entre autres pour des emballages alimentaires, un quart du polyéthylène. «Pour la première fois, nous avons été capables de détecter et de quantifier de tels microplastiques dans du sang humain», a déclaré Dick Vethaak, un écotoxicologue de l'université libre d'Amsterdam. «C'est la preuve que nous avons des plastiques dans notre corps - et nous ne devrions pas», a-t-il dit à l'AFP, jugeant nécessaire d'autres recherches sur l'impact possible sur la santé.
(Source CNEWS avec AFP)

À La Réunion près de 40% de l’eau prélevée n’arrive jamais à destination.L’eau ne disparaît pas par magie, il peut s’agi...
29/10/2021

À La Réunion près de 40% de l’eau prélevée n’arrive jamais à destination.

L’eau ne disparaît pas par magie, il peut s’agir de vol, autrement des branchements illégaux ou de fuites sur le réseau de canalisations.

Les pertes les plus importantes sont enregistrées à Sainte-Rose avec seulement un quart de l’eau prélevée qui arrive réellement à destination. Les pertes sont également conséquentes à Trois-Bassins, Cilaos, Salazie, Saint-Benoît et Petite-Île.

La situation est moins mauvaise au Port, Bras-Panon et Sainte-Suzanne. Dans ces trois communes, les pertes se limitent au maximum à 25% de l’eau qui est prélevée.

Sur l’ensemble du territoire, presque 40% de l’eau potable n’arrivent jamais à destination. Les pertes sont conséquentes.

Les besoins en eau potable à La Réunion.

En 2018 à la Réunion, près de 200 millions de m3 d’eau ont été prélevées dans la nature :

Les trois-quarts de l’eau potable ont servi à alimenter le réseau d’adduction en eau potable, 20 % a été utilisé pour l’irrigation , 6% pour l’industrie. 1% de l’eau prélevée a servi à réalimenter la nappe de la Rivière des Galets.

Ces dernières années, la quantité d’eau prélevée dans la nature a tendance à diminuer légèrement. C’est paradoxal car notre population augmente.

Cela s’explique d’une part par une baisse de la consommation par abonné ; et d’autre part une diminution significative des besoins agricoles.

Tous ces chiffres, fournis par l’Office de l’eau, semblent aller vers une amélioration. Ils pourraient encore s’améliorer, à condition de réduire drastiquement le niveau des pertes sur les réseaux d’eau potable.
(Source: LINFO.RE – créé le 25.11.2020 – La rédaction)

Pollution plastique de l’eau : pas d’impact sur la santé, jusqu’à quand ?Selon un rapport de l’Organisation mondiale de ...
31/08/2021

Pollution plastique de l’eau : pas d’impact sur la santé,
jusqu’à quand ?

Selon un rapport de l’Organisation mondiale de la santé publié ce 22 août, les niveaux actuellement connus de micro-plastiques dans l’eau potable seraient "sans danger". Mais au rythme où ils se répandent, sachant notamment que les consommateurs de produits marins ingéreraient jusqu'à 11.000 microparticules de plastique chaque année, et vu le peu d'études fiables sur le sujet, cette affirmation pourrait vite s'avérer téméraire.

Sur les trois risques qu'elle a étudiés (risque d'ingestion, risque chimique et risque de bactéries agglomérées), l'OMS estime « faible » l'impact sur la santé humaine des micro-plastiques présents dans l'eau potable.

Néanmoins, une étude publiée par l'université de Gand, en Belgique, montre que les consommateurs de produits marins ingéreraient jusqu'à 11.000 microparticules de plastique chaque année. Jusqu'à 1% de ces microparticules sont absorbées par le corps humain.

En outre, deux bémols doivent être apportés à cette évaluation rassurante. Le sujet reste aujourd'hui mal documenté. Il existe en effet peu d'études fiables, et celles qui existent sont difficilement comparables. C'est pourquoi l'OMS incite les chercheurs à se livrer à une évaluation approfondie sur la base de méthodes standardisées.

Péril en la demeure

On craint en effet que le risque d'absorption de très petites particules (les nano-particules) soit plus élevé que ce qui est aujourd'hui documenté.

Surtout, si les émissions de plastiques se poursuivent à leur rythme actuel, le risque pour les écosystèmes aquatique serait nettement plus important, ce qui entraînerait de façon quasi-mécanique un danger accru sur la santé humaine.

Les déchets plastiques causent déjà la mort de plus de 1 million d'oiseaux marins et de plus de 100.000 mammifères marins chaque année, et l'on estime que, en 2050, 99% des animaux marins auront ingéré du plastique.

Jusqu'à un tiers de croissance en moins

L'OMS souligne également le rôle essentiel du traitement des eaux usées, dont l'action consiste notamment à supprimer 90% du micro-plastique.

En outre, une étude rendue publique par la Banque mondiale en début de semaine faisait état d'une dégradation de la qualité de l'eau et de son impact sur la croissance économique de certains pays. Les pays en développement, notamment, pourraient voir leur croissance amputée d'un tiers en raison d'une détérioration de cette qualité de l'eau. Or, le plastique est, avec les bactéries et les produits chimiques, l'un des responsables de cette détérioration.

(Crédits: Dominique Pialot, latribune.fr)

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