Le Villageois (ouakam)

Le Villageois (ouakam) Page d'information sur le village de Ouakam. Aprés un long silence je reprend ma plûme à la Mémoire du créateur cette Page Babacar Fagaye Diop.

Pour dénoncer et informer la Population de Ouakam de ceux qui se passent dans leur village Natal

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La colère de la population ouakamoise

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la mairie est interpelée

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07/03/2024

Belle retrouvaille cette ancienne photographie, qui évoquera peut-être des souvenirs chez les Ouakamois. On aperçois l’école élémentaire Mamadou Diagne et à côté l’ancien dispensaire qui aujourd’hui accueille la Maison des Personnes Handicapées de l’association Colombin.

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07/03/2024

Wakam (Ouakam) est une commune d’arrondissement de la ville de Dakar célèbre pour ses lieux d’intérêt touristiques tels que les collines des Mamelles, l’ancien phare, le Monument de la Renaissance Africaine, et la très suggestive Mosquée de la Divinité.
Il y a cependant un aspect particulier, peu connu par les touristes: sa structure traditionnelle liée à ses origines qui celle d’un ancien village Lebu, dont l’identité est conservé dans les quartiers historiques tels que Taglu, Mbul, Bulga, Lewona, Rip, Sinc et Guy Soor.
Les cases en paillote ont disparus, ainsi que les greniers à mil, les petits marigots et les amples champs cultivés entre un quartier et l’autre, mais ces dédales du ruelles, non conformes à la planification du Dakar colonial, sont témoignage du passé. Peut-être un comité pourrait organiser des visites guidés, centrés sur l’histoire et la culture Lebu. Ça deviendrais aussi une ressource touristique.
Wakam tirerait son nom, d’après les traditions orales, de «Kam», terme à accoster à «kàmb» ou «kan» qui en wolof signifie «fosse, dépression».
Ce lieu où habitaient les premiers habitants de l’emplacement actuel, appelés Waa-Kam (ceux de Kam), aurait été aux alentours de Yoof, et une querelle entre voisins aurait poussé les habitants de Kam à chercher une nouvelle zone où habiter (El Hadji Djibril Gueye cité par Lamarana Balde 1983) Cette idée est en accord avec une idée selon la quelle Yoof serait le village Lebu (Michel 1934), d’où les habitants se sont à peu à peu essaimé vers le reste de la presqu’île fondant les autres villages.
La légende veut que le chasseur Aale Ndóoy découvrit un endroit particulièrement propice à l’habitation aux pieds des Mamelles et non loin de plage, permettant tant bien les activités de pêches que celles agricoles.
En tous cas ne peut pas s’empêcher d’observer que le Wakam actuelle dans sa partie historique se trouve effectivement dans une dépression, entre les Mamelles à l’ouest et différentes comme celle du Point K à l’est, et celle du Fort au nord-est.
Une autre version (Armand Angrand cité par Brigaud 1962) voudrait que «Kam» était le nom d’un arbre Kam-ga autour aurait été fondé le premier noyau du village.
Une étude des cartes anciennes à partir de la fin du XIXe siècle, nous permettrait aussi de décrire l’évolution du village au fil des années. On y distingue clairement les penc de Taglu et Mbul, qui maintiennent leur position au fil du temps. Pour les autres la situation mérite une analyse plus approfondie.
Les premiers bâtiments coloniaux à Wakam furent le phare des mamelles, et puis le terrible camp des disciplinaires, situé sur la petite colline au sud est du village, devenu par la suite un camp d’infanterie coloniale. Enfin le camp d’aviation, édifié au sud du village.
La mosquée qui apparaît sur ce cliché de Edmond Fortier, édifiée au début du XXe siècle et qui se trouvait juste sur le coté de Mbul, dans une position certainement centrale (aujourd’hui appelée Mosquée Centrale), fut un des tout premiers bâtiments en maçonnerie de Wakam et certainement le plus grand à l’époque. Son style était semblable à celui des autres mosquées des villes sénégalaises de l’époque comme celle de Saint-Louis et de la rue Blanchot à Dakar, avec un toit en tuiles et deux minarets. Une étude approfondie de ce cas permettrait aussi de dire avec précision à quelle quartier correspondait l'agglomération d'habitations qu'on voit juste au centre de la photo.

Bibliographie :

Brigaud F. 1962 Histoire traditionnelle du Sénégal, Centre de recherches été de Documentation: Saint-Louis du Sénégal.

Lamarana Balde M. 1983 L’urbanisation des villages traditionnels du Cap-Vert, le cas de Ouakam (mémoire de maitrise), UCAD: Dakar.

Michel, C. 1934 L’organisation coutumière de la collectivité Lebou de Dakar, Bulletin du Comité d'études historiques et scientifiques de l'Afrique occidentale française.

08/12/2023

Le prince de Ouakam

23/08/2023

Thierno cisse il dit qu’il habite à ouakam
Il se trouve présentement aux états unies

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