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Offre lui le sourire avec la Carte Visa de BGFIBank.La Saint Valentin approche, qu'as tu prevu ?bankrdc
08/02/2023

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Une belle journée pour être à Nyamoma                               Contributor : Bukavu Explorer
26/09/2021

Une belle journée pour être à Nyamoma


Contributor :
Bukavu Explorer

LE PONT MATADI (anciennement pont Maréchal)Fruit de la coopération zaïro-japonaise et long de 722 mètres sur 35 mètres d...
26/09/2021

LE PONT MATADI (anciennement pont Maréchal)

Fruit de la coopération zaïro-japonaise et long de 722 mètres sur 35 mètres de large, avec une traversée principale de 520 mètres, ce pont suspendu avait été conçu, à l'origine, pour être mixte rail-route, mais le chemin de fer n'a jamais été installé. Le projet de la construire ce pont remonte à la visite officielle du président Mobutu au Japon en 1973. Mais il avait fallu attendre 6 ans, le 17 décembre 1979, pour que soient officiellement lancés les travaux de construction, pour un coût total de 30 milliards de yens, soit 150 millions de dollars américains. Il est inauguré le 20 mai 1983.

Le Pont Maréchal Mobutu, qui accapare tous les superlatifs, est le plus long pont suspendu du continent africain, et le seul qui enjambe le fleuve Congo, l’un des plus grands fleuves au monde, long de 4 700 km et classé cinquième fleuve mondial et deuxième du continent africain par sa longueur, après Le Nil. Il est également l'un des plus importantes réalisations jamais effectuées au Congo depuis son indépendance en termes économiques, après le Barrage d'Inga.

Conçu avec les technologies japonaises de l’époque, il tient encore grâce au génie des employés de l’Organisation des équipements Banana-Kinshasa (OEBK), gestionnaire de ce pont qui symbolise encore aujourd'hui Matadi et facilite les déplacements de la population ainsi que les échanges commerciaux entre les deux rives du fleuve Congo. Les véhicules en provenance des ports de Boma et de Banana pour alimenter les villes de Matadi et de Kinshasa en vivres et autres produits passent également par ce pont.

Depuis décembre 2009, le Pont Maréchal Mobutu est doté d'une barrière électronique construite par une entreprise serbe et Chanimetal pour un coût de 600 000 USD sur fonds propres, afin de maximiser les recettes générées par sa traversée.

"Robert Nzaou, le photographe Congolais qui flirte avec le surréalisme" - Le Temps MagazineSérie Photo: Madia ya Bwala
26/09/2021

"Robert Nzaou, le photographe Congolais qui flirte avec le surréalisme" - Le Temps Magazine
Série Photo: Madia ya Bwala

Avez-vous déjà visiter LA CITE SAINTE  DE NKAMBA?Nkamba, " Jérusalem " est le haut-lieu du Kimbanguisme. La cité est sit...
30/03/2021

Avez-vous déjà visiter LA CITE SAINTE DE NKAMBA?

Nkamba, " Jérusalem " est le haut-lieu du Kimbanguisme. La cité est située à 225 km de Kinshasa en passant par Mbanza-Ngungu et Ngombe Matadi. Elle est bâtie sur une petite colline avec des cases disposées selon un plan schématique comprenant : des maisons d'habitations, des postes de surveillance, un grand escalier, les cases des malades, les maisons des moniteurs, le mausolée du prophète Simon Kimbangu, le Temple avec ses deux tours, l'Hôtel des Rois, le village de Ngombe-Kinsuka à l'ouest. Cette cité " sainte ", historique et touristique, trouve son origine à l'époque de l'ancien Royaume Kongo mais a trouvé sa renommée avec le développement du Kimbanguisme.

La cité sainte de Nkamba est séparée du village de Ngombe Kinsuka par un vallon dans lequel coule une petite rivière dont la source est située à quelques centaines de mètres en amont et qui forme une sorte de piscine naturelle d'une centaine de mètres de long sur une soixantaine de large, et une profondeur de près de deux mètres. Lieu de pèlerinage pour des milliers des pèlerins qui y affluent chaque année, l'eau de cette rivière aurait des vertus pour la guérison des malades. La cité abrite différents clans mais est surtout le lieu qui vit naître Simon Kimbangu le 12 septembre 1887, soit douze ans après l'arrivée des Missionnaires protestants dans l'Etat Indépendant du Congo. Il prophétisait la libération de l'homme noir. Condamné à mort à Mbanza-Ngungu par le pouvoir colonial, il sera transféré et incarcéré à la prison de Kabongo à Lubumbashi où il mourut en 1951. Ses restes furent rapatriés à Nkamba où un mausolée a été érigé. Le site le plus attrayant est sans doute le grand temple de Nkamba inauguré en 1985. C'est un imposant édifice à deux niveaux, trois toitures, deux tours de près de 20 mètres de haut et qui encadrent l'entrée principale constituée de sept voûtes en arche de style gothique permettant l'accès dans le temple. Sa capacité d'accueil est de 37 000 places. La décoration intérieure est un foisonnement de plusieurs tissus multicolores. Le plafond est tendu de la couleur verte au ton foncé - couleur du kimbanguisme.

Quelle est la plus belle chose au monde ? La liberté, j’en suis sûr 😊. Vivre sans contrainte, sans horaires, sans compte...
29/03/2021

Quelle est la plus belle chose au monde ? La liberté, j’en suis sûr 😊. Vivre sans contrainte, sans horaires, sans compte à rendre, sans obligation, sans notion de temps, seul, avec un seul objectif profiter et découvrir.

Les grottes de Mbanza Ngungu Elles constituent l’attrait majeur de Mbanza Ngungu. Découvertes à partir de 1915, ces grot...
01/03/2021

Les grottes de Mbanza Ngungu

Elles constituent l’attrait majeur de Mbanza Ngungu. Découvertes à partir de 1915, ces grottes sont situées au sud-est de la cité. De plusieurs grottes existantes, trois seulement ont été valorisées pour protéger un spécimen rare et unique au monde, à savoir le poisson aveugle. Il s’agit des grottes Lukatu (ex Randour), Dimba ou Finzolua Ndombolozi (ex Tordeur) et Ngovo.

Mais par manque d’entretien, des éboulements et érosions à certains endroits ont eu raison de ces sites et ont obstrué l’entrée. L’accès aux grottes n’est pas toujours aisé même avec un bon 4X4, surtout en saison des pluies. Toutefois, il est agréable de faire l’excursion à pied à partir de la ville. Il faut prévoir à boire et à manger car l’endroit est désert, de même que des torches.
Des chaussures de marche n’y sont pas du luxe car certains passages escarpés dans les grottes sont glissants. Il vaut mieux être en bonne condition physique pour profiter de l’excursion. Actuellement seule la grotte de Finzolua Ndombolozi, située à 5 km, est facilement accessible.

C’est un tunnel naturel, découvert en 1915 par le colonel belge Tordeur. Cette grotte occupe le pied des collines à environ 5 km au sud de Mbanza Ngungu, dans le village de Mbamba Ntoto.
Elle traverse une grande partie du district des Cataractes dont on dit qu’aucun visiteur n’a jamais atteint son bout. A quelques mètres à l’entrée, se trouve à gauche une tribune de 6 mètres sur 4, aménagée pendant la colonisation. Non loin de là on peut visiter la tombe de l’ancêtre et chef du village Finzolua Ndombolozi qui serait né en 1684 suivant son épitaphe. Généralement, la visite ne dépasse pas 965 mètres à l’intérieur de la grotte. Les intrépides touristes peuvent toujours essayer d’aller plus loin…
Il existe des dépôts de guano de chauve-souris encore utilisé comme fumier pour fertiliser le sol des jardins et cultures maraîchères. Cette grotte constitue un lieu merveilleux, dont le mystère constitue son charme. Mais les poissons sont vraiment petits … Les périodes favorables pour des visites sont : mi-décembre à mi-janvier, et juin à octobre. Les visites sont organisées les week-ends et les jours fériés.

Source : Office National du Tourisme RDCongo

LE TSHUKUDUTshukudu, trottinettes en bois fabriquées avec les moyens du bord et capables de transporter jusqu’à 200 kg d...
24/02/2021

LE TSHUKUDU

Tshukudu, trottinettes en bois fabriquées avec les moyens du bord et capables de transporter jusqu’à 200 kg de marchandises pour certains. L’engin, devenu le symbole de la laborieuse capitale volcanique, est omniprésent dans les rues. Au point qu’on lui a même consacré un monument !

Une imposante statue de tshukudu, dont la construction a été financée par un riche homme d’affaires local, triomphe ainsi au centre de l’un des ronds points de l’incontournable boulevard Kanyamuhanga, qui traverse presque toute la ville de Goma.

Nyiragongo via Kivu17H 30 à Goma sur un bateau à destination de Idjwi. Il est rare de voir le Nyiragongo sans se cacher ...
20/02/2021

Nyiragongo via Kivu
17H 30 à Goma sur un bateau à destination de Idjwi. Il est rare de voir le Nyiragongo sans se cacher dans les nuages. Ces rares agréables moments sont possible qu’après la pluie. Il est différent dans la sécheresse.

Source : https://www.mnkfcreatives.com

Lancement aujourd'hui de l'exposition en ligne KOYEBA YANGAMBI appuyée par la Belgique 🇧🇪 et l'UE 🇪🇺.Situés au cœur de l...
10/02/2021

Lancement aujourd'hui de l'exposition en ligne KOYEBA YANGAMBI appuyée par la Belgique 🇧🇪 et l'UE 🇪🇺.

Situés au cœur de la forêt dense humide en République Démocratique du Congo (RDC), les vestiges de la cité de Yangambi sont les témoins privilégiés de sa longue histoire en tant que pôle scientifique en matière de recherche en foresterie et agriculture tropicales.

L’exposition « Koyeba Yangambi » puise son inspiration dans le passé de cette mythique station de recherche, grâce à la collection photographique inédite de la Bibliothèque de l’Institut National pour l’Étude et la Recherche Agronomique (INERA) à Yangambi, et dans le présent à travers des photos récentes d’Axel Fassio dépeignant les activités et les réalisations menées dans le paysage de Yangambi pour tester de nouveaux modèles de développement durable et de conservation de la biodiversité.

Au travers de ces quelques instants figés d’un passé révolu et d’un présent en devenir, « Koyeba Yangambi » se veut être un voyage dans le temps, un devoir de mémoire résolument tourné vers l’avenir. Koyeba, qui signifie connaître en Lingala, nous appelle à valoriser aussi bien cet héritage hors du commun que le potentiel prometteur de Yangambi afin que la RDC devienne la figure de proue du développement et de la recherche scientifique en Afrique centrale et au-delà.

Cette exposition a été rendue possible grâce à l’appui de l’Ambassade de Belgique à Kinshasa et de l’Union européenne.

https://www.cifor.org/fr/feature/koyebayangambi/

Center for International Forestry Research (CIFOR)
Embassy of Belgium in Kinshasa
Union européenne en République démocratique du Congo

La statue « Batteur de Tam-tam de la Fikin », un chef-d’œuvre au cœur de KinshasaTout habitant de la capitale congolaise...
06/02/2021

La statue « Batteur de Tam-tam de la Fikin », un chef-d’œuvre au cœur de Kinshasa

Tout habitant de la capitale congolaise connait sûrement la géante statue « Batteur de Tam-tam de la Fikin », un vrai bijou pour la République Démocratique du Congo. Située à la Foire Internationale de Kinshasa, cette représentation artistique d’un personnage emblématique du 20ème siècle attire, chaque année, des milliers de touristes venus du monde entier.

La célèbre statue « Batteur de Tam-tam de la Fikin » est un hommage mérité à Nkumbi Kinkumbila, batteur de tam-tam originaire du Congo Central, dans la façade Ouest. « Né en 1928 et décédé en 2008, les performances de Nkumbi ont attiré beaucoup plus d’attention lorsque le Mouvement Populaire de la Révolution de la province du Bas-Congo a repris certains de ses battements dans son groupe d’animation »

Etant une œuvre d’esprit, le « Batteur de Tam-tam de la Fikin » vise à mettre en lumière l’art de ce pays au cœur de l’Afrique. « Cette statue est une contribution au rayonnement de l’art plastique de la République Démocratique du Congo. Elle attire l’attention des touristes sur la culture congolaise », note un touriste belge.

Né le 25 décembre 1925 et décède le 13 janvier 2020 après une longue maladie, André Lufwa Mawidi, sculpteur de cette statue, est une icône qui a révolutionné l’art congolaise grâce à son goût de génie. Outre le « Batteur de Tam-tam de la Fikin », ce premier enseignant de l’Académie des Beaux Arts est le sculpteur de plusieurs œuvres dont la statue « Le voyageur » au ministère des Affaires étrangères à Kinshasa, les monuments de Désiré Kabila et Patrice Emery Lumumba au croisement du boulevard du 30 juin dans la même ville.

Source : https://www.afrik.com/rdc-la-statue-batteur-de-tam-tam-de-la-fikin-un-chef-d-oeuvre-au-coeur-de-kinshasa%3famp

LE JARDIN BOTANIQUE D'EALALe Jardin Botanique d’Eala est le plus vieux, ainsi que le plus grand jardin botanique d’Afriq...
04/02/2021

LE JARDIN BOTANIQUE D'EALA

Le Jardin Botanique d’Eala est le plus vieux, ainsi que le plus grand jardin botanique d’Afrique. Au cœur de la forêt équatoriale d’Afrique Centrale, le Jardin a pour mission de répertorier la richesse floristique de la cuvette centrale du Congo, ainsi que d’évaluer le potentiel agricole de la sous-région à travers des recherches agronomiques.

Situé en République Démocratique du Congo (RDC) dans la province de l’Equateur (ex-district de l’Equateur). La province de l’Equateur été autrefois la première province forestière de la RDC avec prés d’un quart des forêts du pays. Le jardin s’étend sur 371 hectares entre le fleuve Congo et son affluent la rivière Ruki à environ 7km de la capitale provinciale Mbandaka. Sur cette superficie, le Jardin d’Eala réunie l’ensemble des écosystèmes (forêts primaires, forêts marécageuse et savane) que l’on trouve en province de l’Equateur.

ICCN

Le Royaume de BunkeyaProche des chutes Kiubo et du parc Upemba, au Katanga (RDC) et de la zone annexe du parc Kundelungu...
03/02/2021

Le Royaume de Bunkeya

Proche des chutes Kiubo et du parc Upemba, au Katanga (RDC) et de la zone annexe du parc Kundelungu à l’Est, Bunkeya est l’ancienne capitale du Royaume de M’Siri (MSIRI, Roi du Katanga né dans l’Usumbwa actuelle Tanzanie, vers 1835 – Bunkeya, 19/12/1892).

C’est aujourd’hui le chef-lieu de la chefferie des Bayeke, dans le district de Lubudi, province du Lualaba en RDC, situé à 200 km au nord ouest de la ville de Lubumbashi et à 75 km de la ville de Likasi en passant par Lwambo.

On peut y visiter :
- l’emplacement de l’assassinat du Roi M’Siri dans l’ancien quartier de la reine Mahanga par le capitaine, ainsi que la tombe dans les parages devenus le cimetière royal, aussi où sont inhumés tous les Mwami (rois) qui se sont succédé et les notables de la chefferie.
- Le Mont IKULU lieu de méditation, de recueillement du M’Siri et de réunion avec les membres de la Cour
- Le quartier de la Reine Marie da Fonseca, la métisse angloportugaise
- La tombe du capitaine Bodson
- Le palais et le tribunal royal
- Le marché
- Les cultures maraichères
- La cité

M’Siri fut le fondateur de l’Empire Yeke au Katanga. De son vrai nom Ngelengwe, il était le fils de Kalasa, un audacieux voyageur que le négoce avait déjà mené en Uganda et qui décida un jour de porter ses affaires vers les régions du cuivre.

Sources Hamaji Magazine

Les chutes de Kayo, Ipera, Kwanza, Munte, Dikolongo, Kalule (Parc National de l'Upemba)Sans doute l'une des plus impress...
31/01/2021

Les chutes de Kayo, Ipera, Kwanza, Munte, Dikolongo, Kalule
(Parc National de l'Upemba)

Sans doute l'une des plus impressionnantes sur la rivière Kalule-nord, la chute de Kayo (80 mètres de haut) est un petit bijou serti entre une végétation luxuriante et cette falaise rocheuse si particulière avec sa structure semblable à un gigantesque mille-feuilles. L'accès au pied de la chute part du bureau du parc, qui fait office de petit lodge sommaire. La descente est délicate car glissant par la bruine permanente. Mais le résultat vaut clairement la peine pour admirer toute la force qui se dégage de ces quantités d'eau jetées avec fracas sur les rochers (à condition de ne pas se casser la figure en chemin !). A l'origine, il était possible de rejoindre depuis Kayo d'autres chutes sur la rivière Kalule-nord : la chute de Dipera (à 1 km à vol d'oiseau), ainsi que celle de Kamwanga, inaccessible actuellement.

https://www.congo-autrement.com/page/rdc-tourisme-2/les-chutes-de-kayo-ipera-kwanza-munte-dikolongo-kalule-parc-national-de-l-upemba.html

Kinkole : le quartier des légendaires « Maboke »Le quartier de Kinkole, avec ses vastes espaces verts, a toujours été un...
25/01/2021

Kinkole : le quartier des légendaires « Maboke »

Le quartier de Kinkole, avec ses vastes espaces verts, a toujours été une des destinations les plus prisées des Kinois ; surtout le week-end.

Tous y viennent pour passer des moments de détente inoubliables et y déguster quelques mets de la cuisine congolaise. Ils se retrouvent généralement autour du « Liboke ». Le -Liboke- (prononcer liboké), au pluriel -Maboke-, est un met bien connu dans le bassin du fleuve Congo, notamment en République Démocratique du Congo et en République du Congo.

Il s’agit d’une préparation de poisson ou viande en papillote avec des feuilles de bananier ou autres, et cuite au four, soit directement sur un grill. La préparation la plus populaire et la plus prisée est celle faite à base de poisson du fleuve assainonnée d’oignons, de tomates et d’un filet d’huile.

À Kinkole, on ne peut pas rater les “Maboke” qui trônent royalement sur les grills sous lesquelles les vendeuses, les -Maman Maboke- attisent le feu. D’ailleurs, une fois le client installé, elles s’approchent de sa table pour vanter leurs produits ,ces plats de poissons . Leur argument est simple : les plats proposés sont préparés avec du poisson frais tout juste sortis de l’eau.

« Les gens préfèrent manger les poissons pêchés et préparés le même jour ; si vous leur mentez, ils le sauront… C’est pourquoi nous nous efforçons d’écouler nos marchandises dans la journée. La santé des gens en dépende. Pour nous vendeuses, cela est un atout de fidélisation de la clientèle », explique Maman Eugénie, la trentaine, exerçant comme vendeuse des Maboke à Kinkole depuis près de 10 ans déjà.

Pour savourer ce délicieux Liboke, le minimum à débourser est 5000 FC les jours ouvrables et 7000 FC de plus les week-ends. « Le prix augmente les week-ends simplement parce que la demande augmente. On a plus de gens qui viennent et le fait d’augmenter le prix ne gâche rien », ajouté Maman Eugénie, vendeuse de maboke.

📸


https://www.lisapo.info/kinkole-le-quartier-des-legendaires-maboke/

Virunga National Park,   Island 🌴 ,📸 Ley Uwera
11/01/2021

Virunga National Park, Island 🌴
,📸 Ley Uwera

Sous le haut patronage de son Excellence le Président de la République Démocratique du Congo Felix Tshisekedi Tshilombo,...
13/12/2020

Sous le haut patronage de son Excellence le Président de la République Démocratique du Congo Felix Tshisekedi Tshilombo, le Ministère du Tourisme en collaboration avec la province de Kinshasa, organisent le premier Salon International du Tourisme de la RDC du 15 au 17 décembre 2020 au Musée National de Kinshasa.

Immense territoire qui regorge de richesses, renfermant d’énormes atouts naturels, ce premier salon a pour mission de vous faire découvrir les richesses et la beauté du pays. Il présentera de nombreuses attractions touristiques nationales.

Avec comme thème « l’investissement et le tourisme en RDC », ne manquez sous aucun prétexte ces 3 journées de découvertes, de conférences, lieu d’échange et de partage.
www.sitrdc.com

Sous le haut patronage de son Excellence le Président de la République Démocratique du Congo Felix Tshisekedi Tshilombo,...
13/12/2020

Sous le haut patronage de son Excellence le Président de la République Démocratique du Congo Felix Tshisekedi Tshilombo, le Ministère du Tourisme en collaboration avec la province de Kinshasa, organisent le premier Salon International du Tourisme de la RDC du 15 au 17 décembre 2020 au Musée National de Kinshasa.

Immense territoire qui regorge de richesses, renfermant d’énormes atouts naturels, ce premier salon a pour mission de vous faire découvrir les richesses et la beauté du pays. Il présentera de nombreuses attractions touristiques nationales.

Avec comme thème « l’investissement et le tourisme en RDC », ne manquez sous aucun prétexte ces 3 journées de découvertes, de conférences, lieu d’échange et de partage.

Le Congo a accueilli le plus grand combat de l’histoire de la boxe (« The Rumble in the Jungle » = « Le combat dans la j...
09/12/2020

Le Congo a accueilli le plus grand combat de l’histoire de la boxe (« The Rumble in the Jungle » = « Le combat dans la jungle ») Muhammad Ali contre George Foreman pour le titre de champion du monde poids lourds de boxe anglaise. Le combat s’est déroulé le 30 octobre 1974 au « Stade du 20 Mai » à Kinshasa.

Fleuve Congo : reportage au cœur d'une légendeVoyager sur le fleuve Congo, c’est se confronter à une légende. Les fabule...
09/12/2020

Fleuve Congo : reportage au cœur d'une légende

Voyager sur le fleuve Congo, c’est se confronter à une légende. Les fabuleux récits d’Henry Morton Stanley (À travers le continent mystérieux), de Joseph Conrad (Au cœur des ténèbres), d’André Gide (Voyage au Congo) ou de V. S. Naipaul (À la courbe du fleuve), ont enflammé l’imagination de générations de lecteurs et sans doute suscité plus d’une vocation d’explorateur.

Mais, près de 140 ans après la traversée du continent africain d’est en ouest par Stanley, c’est surtout un voyage à travers l’Afrique contemporaine. À la lisière de la grande forêt équatoriale, 29 millions de personnes vivent aujourd’hui sur les rives de ce fleuve mythique et de ses affluents.

Sur ses 4 700 kilomètres de longueur, seulement 1 700 sont navigables, de Kinshasa à Kisangani. Ce réseau fluvial constitue l’unique voie de communication dans la région du bassin. Le fleuve Congo a ainsi un rôle social et économique essentiel. C’est une artère vitale pour le pays.

Pour la plupart des habitants de la région, le seul moyen de se déplacer est d’entreprendre un long, très long voyage – de cinq semaines à sept mois ! – sur l’une des nombreuses barges qui naviguent sur le fleuve, transportant marchandises et passagers. Le voyage est extrêmement pénible et dangereux. Durant la journée, le soleil chauffe les barges en métal où sont entassés les voyageurs, principalement des femmes et des enfants ; la nuit, des orages redoutables s’abattent sur les convois.

Une nuit, dans l’obscurité de la forêt, nous avons été surpris par l’un de ces orages. Ou plutôt devrait-on dire un ouragan. La violence des trombes d’eau qui ont rempli instantanément notre pirogue, le craquement des arbres immenses, le déchaînement du vent sur le fleuve, tout cela était terrifiant. Un sentiment de vulnérabilité totale, voilà ce que ressentent les habitants du bassin du Congo. Depuis 2008, 6 000 personnes ont perdu la vie lors d’accidents et de naufrages sur le fleuve ou l’un de ses affluents.

Voyager sur ces convois composés de barges et de pousseurs (jusqu’à dix barges et trois pousseurs, certains convois pouvant atteindre 450 mètres de long), c’est ausculter le Congo – le pays Congo, la République démocratique du Congo (RDC). Tout au long du périple, les barges sont des lieux d’échanges intenses, parfois improbables : du poisson séché contre des médicaments, un crocodile contre des pantalons, des chemises, des strings ou une radio, des porcs contre quelques parfums de pacotille, des ananas contre du sel, des chenilles contre du sucre… À l’approche de chaque zone habitée, des dizaines de pirogues chargées de biens multiples et variés attendent les barges pour se lancer avec frénésie à leur abordage.

Toute l’économie du bassin est reliée au fleuve, et ce depuis très longtemps. Les plantations de palmiers à huile ainsi que les usines de transformation se trouvent sur ses rives, de même que les plantations d’hévéas (longtemps en désuétude, celles-ci ont connu un regain d’activité depuis l’apparition du sida, en raison de la forte demande de latex pour la fabrication des préservatifs) et les exploitations de bois précieux (Sapelli, Sipo, Afrormosia). Il faut souligner que la moitié du bois collecté en RDC l’est de manière illégale, ce qui représente 13 350 tonnes par an. Selon Greenpeace, la France est le premier importateur européen de bois congolais… Le saccage de l’Afrique continue comme si cette terre n’appartenait à personne.

Plongé au cœur de cet environnement, de cette nature si grandiose, l’être humain ne peut qu’éprouver sa propre insignifiance. Ces paysages qui défilent, faits de silence, de vide, de monotonie, de solitude, d’éloignement, évoquent l’éternité, l’infini, la naissance du monde. Monde dont la ligne d’horizon, celle du fleuve, est le point d’équilibre.

Pascal Maitre

Durant la seconde moitié du XIXème siècle, à l’initiative du Roi Léopold II, une mission d’exploration commandée par Sta...
09/12/2020

Durant la seconde moitié du XIXème siècle, à l’initiative du Roi Léopold II, une mission d’exploration commandée par Stanley est chargée de reconnaître le bassin du Congo et d’y installer des stations. Ces pionniers avaient déjà compris que le développement du centre du Continent Africain passait par l’exploitation du fleuve Congo et de ses affluents. Stanley installe en 1881 la première station, « Léopoldville », sur les lieux mêmes du Chantier Naval actuel.

La plus ancienne activité industrielle du Congo était née !
Chanic se développa rapidement et s’établit comme groupe industriel actif en Afrique Centrale et plus t**d en Afrique de l’Ouest. Au-delà de sa production industrielle propre, le groupe se diversifia vers les activités de distribution de marques prestigieuses, connexes au pôle industriel.

Ses origines belges et l’importance de sa filiale Chanimétal à Kinshasa ont toujours été les atouts clés de Chanic en Afrique Centrale.

Chanic
Photos : trautes Photography

MBUDHA, LA SOURCE DES CHIMPANZÉS (CONGO).Au nord-est de la République démocratique du Congo, au cœur d’un éden échoué, l...
03/12/2020

MBUDHA, LA SOURCE DES CHIMPANZÉS (CONGO).

Au nord-est de la République démocratique du Congo, au cœur d’un éden échoué, la biologiste Anne Laudisoit s’embarque pour une exploration scientifique à la rencontre des espèces qui peuplent l’une des dernières « Terra incognita » d’Afrique centrale. Au creux des Monts Bleus, le long d’une vallée luxuriante et inaccessible, palpite une diversité inattendue, un véritable laboratoire de l’évolution. Il y aurait même des chimpanzés…

Le Pont de KinsukaLe pont de Kinsuka est un pont de la commune de Ngaliema, à Kinshasa, sur la rivière Binza. Il relie l...
17/11/2020

Le Pont de Kinsuka
Le pont de Kinsuka est un pont de la commune de Ngaliema, à Kinshasa, sur la rivière Binza. Il relie la commune de Ngaliema à la commune de Mont Ngafula. Il est célèbre parce qu'il figure sur le billet de 500 francs congolais, édition du cinquantenaire.

Le mot Kinsuka signifie « fin fond ». Kinsuka est une subdivision administrative de la commune de Ngaliema, une des 24 communes de Kinshasa. On appelle ce pont le « pont de Kinsuka » tout simplement parce qu'il se trouve à Kinsuka, « le fin fond de Ngaliema ».

Le pont de Kinsuka est malheureusement encombré de plusieurs tonnes de déchets domestiques. Les habitants du quartier ont la mauvaise habitude de déverser leurs ordures de ce pont sur les rives de la rivière Binza et dans la rivière Binza elle-même.

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